Merci benjams pour toutes ces explications.
En effet pour moi l'affûtage tronçonnage = de biais par rapport a la lame.
L'idée est de la destiner au jardin pas l'établi donc pour couler des branches de bois vert, sur pied.
Je vais garder l'affûtage tel quel du coup.
Je ne veux en aucun cas vous enlèver le droit de vous insurger cependant vous faites fausse route, messieurs, quand la question n'est pas de dire que les rabots d'occasion sont de mauvais rabot coupable de mauvais travail. Ou encore qu'un Lie Nielsen flambant neuf vaut mieux qu'un Goldenberg en bois de 50ans d'age.
Il s'agit d'ailleurs même pas d'une question mais d'un coup de gueule déguisé en question concernant les difficultés qu'il peut y avoir à trouver des rabots de qualité, neuf ou d'occasion. D'un côté avec les pénuries, de l'autre des occasions où il y a à boire et à manger.
La différence, je l'ai comparée.
J'ai eu la chance d'avoir entre les main dans la même journée du Dictum, du lie Nielsen et du Clifton lors d'un stage proposé par Sébastien GROS.
Mes conclusions personnelles:
Les dictums sont en dessous, c'est indéniable.
Cependant ça se joue dans les ajustements qui enlèvent du confort a l'usage.
Mon n°5 Dictum est très bon il fait des aussi beaux copeaux que le lie Nielsen à affûtage équivalent cependant je dois le re-reglé très (trop) régulièrement car il y a des jeux de-ci de-la qui font que le fer tourne sur lui même car le presseur se dessert tout seul car la surface de contact est légèrement oblique. Ça se rattrape mais je ne le fait pas de peur d'empirer la situation.
A côté lie Nielsen et Clifton, rien a redire.
J'ai d'ailleurs commandé un n° Clifton en suivant le stage. Et j'en suis super content. Achat plaisir mais pas que.
Artanux c'est de les rémunérer qui est interdis non ?
labulle mémoire et recherche.
J'avais trouvé le projet intéressant donc je me suis rappelé que quelque chose comme ça était déjà référencé sur l'AdB.
Bonjour sylvainlefrancomtois, à partir de quelle taille on n'est plus sur une petite pièce ?
En quoi sa (votre?) méthode est différente de celle que l'on peut voir chez d'autres anglo-saxon?
Ok, donc ce n'est pas différent des youtubeurs que je regarde
Sans vouloir rentrer dans des débats qui ne peuvent que mal finir, c'est dommage de généraliser alors que certains font ça plutôt bien.
Au plaisir d'en discuter à Épinal.
J'ai un âge qui m'a permis de me construire sans le numérique et a éplucher une encyclopédie pour avoir des connaissances. Je suis aussi de ceux qui pensent que certaines traditions ont disparue pour de mauvaises raisons (industrie, fabrication de masse, ...) Et je le regrette.
L'excellence à la française, c'est bien mais je n'y ai jamais eu accès en tant qu'amateur qui ne souhaite pas en faire son métier. Donc sortie des filliaires d'apprentissage tu te démerdes. Et aujourd'hui quant tu te démerdes c'est avec les savoirs qui sont partagés et disponible.
La question serait aussi de savoir pourquoi arrivé un moment on n'a plus eu que trop peu d'ouvrages de référence sur la menuiserie à la française au rabot en bois et à la scie à a cadre, et que ça n'a pas suivi sur le numérique comme on su le faire les anglo-saxons.
Quant à LA pratique, il n'y a qu'en théorie qu'il y en a qu'une bonne. Dans les faits le but est d'avoir un assemblage juste qui fera son oeuvre. Si je retouche mon tenon ou ma mortaise pour que l'assemblage tienne mieux je ne vois pas où est le problème, mais peut être suis-je trop pragmatique.
Quant à l'assomption que ça différencie le pro de l'amateur, a mon humble avis le pro a une mortaiseuse dans son atelier et le ciseau ne sera la que pour une éventuelle retouche s'il concède d'en faire une.
Mais je serai ravi d'en parler à Épinal, on va organiser une table ronde
Ce qui est cher pour de l'épicéa