Bonjour
Je pense que tu as voulu parler de poulies en bois, une (ou 3) maitresses sur l'arbre moteur, et 3 esclaves sur l'entraînement du tour, un peu comme pour les perceuses à colonne.
La démultiplication est égale au rapport entre les diamètres poulie maîtresse / poulie esclave
à supposer que tu veuilles obtenir 3 vitesses de tournage, approximativement 300, 1000 et 3000 t/min
par ex poulie maitresse diamètre 180 mm, esclave D = 60 mm -> vitesse moteur X 3 soit 2745 t/min
D poulie maitresse = D poulie esclave = 120 mm -> vitesse moteur x 1 (915 t/min)
D poulie maitresse = 60 mm, D poulie esclave = 180 mm -> vitesse moteur x 1/3 (305 t/min)
Prévoir un système de réglage de la tension de la courroie pour limiter le patinage
Peut-être serait-il possible de recycler un jeu de poulies de perceuse à colonne, la gamme de vitesse étant possiblement la même, avec l'éventualité de 5 rapports pour plus de souplesse....
Bonjour
pourquoi des dormants qui risquent de se déformer pour des panneaux un peu larges, et pour lesquels il sera difficile d'avoir une poussée dans l'axe du panneau (il y aura toujours un petit jeu dans les trous, pour pouvoir insérer les mors...)
Je viens de faire 3 "presses du pauvre" chacune constituée de 2 lambourdes (dans mon cas 2 tasseaux en pin 45x45) percées d'une série de trous de 8 mm (en perçant les deux en même temps, pour éviter les erreurs)
les lambourdes sont reliées par 2 boulons (M8 TRCC) avec deux entretoises carrées en bois qui servent de mors et un coin permet de serrer le panneau dans le sens de la largeur. En serrant les 2 boulons, les lambourdes prennent le panneau en sandwich et limitent le risque de tuilage.
Si le panneau est moins épais que les coins et entretoises (20 mm), il suffit d'ajouter un chute de CP ou autre pour pouvoir serrer le panneau à plat
les contraintes dans les lambourdes sont dans le sens de la longueur, le risque de fléchissement est nul
Bonjour,
je rejoins Erebor sur les difficultés techniques pour réaliser ce type de clôture en bois, tant pour des raisons de stabilité que de durée dans le temps.
Pour ce qui est de la durée du bois debout, il est possible que le brûlage plus l'huilage (huile de lin) soit une solution, si on aime le noir, et le veinage du bois. Par contre je ne vois pas comment faire tenir des "poteaux" indépendants sauf à utiliser de grosses sections, avec un coût en proportion (bois plus platines).
Je pense qu'il serait judicieux que tu fasses une recherche sur l'AdB (mot clé "palissade", "cloture"), et que tu vadrouilles sur les sites comme
Attention aussi à ne pas trop sur-dimensionner les fondations, il ne s'agit sans doute pas d'un mur de soutènement. En général, seuls les poteaux d'angle et les poteaux de barrière qui supportent des poussées latérales assez fortes nécessitent des fondations à 50 cm ou plus, en fonction du type de sol. Sur terrain plat, une longrine en béton armé de 20 cm de large et 30-40 cm de hauteur, enterrée à 20-25 cm est largement suffisante pour supporter un muret ou une clôture.
Bonjour
je ne connais pas le résultat sur du rubio, mais je nettoie les pinceaux ayant servi pour passer de l'huile "de teck", de lin, ou des peintures, en les laissant tremper un jour ou deux dans de l'ammoniaque commercial, dans un récipient étanche (c'est moins désagréable que les solvants organiques genre white spirit, mais faut pas pousser). L'ammoniaque lui même (en quantité raisonnable) n'est pas vraiment polluant, et peut servir d'engrais azoté - les micro-organismes du sol le transforment en nitrates utilisables par les plantes.
je pense que tu peux utiliser une rondelle en carton, genre boite à chaussure ou un peu moins épais. J'utilisais cette solution pour empêcher le patinage sur une disqueuse de 300 mm pour couper la ferraille, ça marchait sans problème.
la découpe peut être approximative en périphérie dès lors que la surface de contact lame-flasque est correcte
Juste vérifier que les unités utilisées par le tableur ou de la calculette sont les bonnes (degré ou radians, le cercle complet fait 360° ou 2 pi radians (2 x 3.1416...), donc le cas échéant convertir les mesures d'angle (1° = 2 pi radians/360).
Sinon, les calculs de type 2r × cos(α/2) provoquent des arrachements capillaires et des crises de nerfs dommageables pour le matériel et la paix des ménages
Bonjour Oak
Je ne suis pas sûr que cela puisse t'aider, mais voici une vidéo de Mr Chickadee qui construit un cellier vouté.
youtube.com/wa...h?v=G-_gWrdUQZ8
Peut-être que ce type de charpente provisoire, montée sur cale (coin ou cric hydraulique) déplacée d'un élément de voûte au suivant, pourrait le faire, en supposant que les pierres soient placées depuis le dessus (du moins les clefs de voûte)
Bonjour
J'avais une première pierre à eau 200/800 pour affuter les couteaux, qui s'est creusée très rapidement (surtout le coté 200)
J'ai pu récupérer le 800 avec du papier abrasif à l'eau, grain 180, sur une plaque de verre, mais ça a pris du temps... pour le coté 200 j'ai calé avant la fin...
J'ai ensuite acheté une suehiro 3000 qui a été livrée avec une petite pierre pour l'aplanir, qui à vue de nez a un grain beaucoup plus grossier (200-300 ?) et qui est beaucoup plus petite (62 mm de long, la suehiro fait 73 m de large)
Je la passe (eau) très régulièrement en insistant sur les bords et les bouts, ça fait ventouse et on sent bien là où il faut insister.
Je l'utilise aussi sur la pierre à grain 800 pour l'entretenir.
De ce que j'ai compris, le grain de la pierre à dresser est toujours plus grossier que celui de la pierre qui doit être dressée, et la pâte obtenue dans l'opération permet d'affuter plus vite les outils. Je ne suis pas sûr que les petites stries éventuelles soient gênantes. Au contraire, dès lors qu'il n'y a pas de creux ni de bosses, les stries piègent les particules abrasives et les limailles, et doivent se colmater assez rapidement, sans effet négatif sur l'affutage.
voila ce que je peux partager comme expérience...