bonjour
de ce que je pense comprendre, le moteur peut fonctionner en 220V mono, mais il faut changer les connections du bornier d'alimentation conformément au schéma de la seconde photo. ça ne dit pas si le moteur fonctionne mais si oui, il aura besoin de 6,2 A au lieu de 3,6 en triphasé, ça devrait passer sur une prise 220V standard.
pour la puissance, ça ne me parait pas énorme, mais avec des outils bien affutés (scie, dégau...) et en ne forçant pas, ça devrait le faire
bonjour
dans une vie précédente, on réglait ce problème avec un morceau de bois assez tendre (saule par ex.) légèrement conique, qu'on entrait à force (un coup de maillet...)
pour l'étanchéité, un peu d'argile dans les filets, une ou deux épaisseurs de chiffon autour du bout de bois, et roulez jeunesse...
bonjour
pour moi, la partie gauche, portée par un seul poteau, sera soumise à un couple de torsion qui ne pourra que conduire à un gauchissement et à la perte de verticalité du poteau, sauf à fixer le haut du poteau au mur, ou mieux, fixer la totalité de la panne qui deviendrait une panne muraillère.
bonjour
pour les mèches à queue ronde, ça ne fonctionne pas sauf à utiliser un mandrin additionnel monté sur une queue hexagonale, sinon ça glisse
pour l'adaptation queue carrée vers queue hexagonale, ça existe, par ex chez
fine-tools.com/bohr1.html
peut-être aussi chez
bonjour
j'utilise une fraise hélicoïdale de 8 mm, série longue (coupe de 42 mm) à coupe dextrogyre (positive, extrait les copeaux vers le haut). pour les mortaises de 8 mm, j'utilise le guide parallèle de la défonceuse, et je fais une série de plongées en progressant de 4-5 mm à chaque fois, avant de faire un-deux aller-retour pour égaliser les joues de la mortaise.
pour des mortaises de plus de 8 mm de large, j'utilise un gabarit en CP de 6 ou 8 mm et une bague à copier, en procédant de la même manière
pour le gabarit, je trace sur les deux faces les axes correspondant à la mortaise,
je découpe la "fenêtre" du gabarit en fonction de la bague à copier, de la fraise et des dimensions de mortaise souhaitées, symétrique aux deux axes perpendiculaires. je trace les projections des axes dans la fenêtre, sur l'épaisseur du gabarit. dessous, je fixe un tasseau corroyé (3 vis tête fraisée) parallèle au grand axe de la mortaise, à la distance voulue pour placer la mortaise (en général au centre du montant). je fixe le gabarit avec deux serre-joints , en me basant sur le petit axe de la future mortaise, tracé sur le montant, et en avant...
pour les marques de fraise, le choix est vaste
pour ma part j'utilise une CMT ou une Fraiser qui sont très semblables
honnêtement, c'est possible moyennant certaines précautions
1) ne pas dépasser la charge limite indiquée par le constructeur (pour moi, 80 kg pour une sandero stepway avec barres longitudinales fixes plus barres transversales amovibles)
2) utiliser des sangles à cliquet pour bien fixer les panneaux, sans risque de jeu.
pour du CP 122 x 244, avec des sangles de 4 à 5 m, une par barre transversale, pas de problème. penser à mettre une protection sur les chants et sous le cliquet, pour éviter les marques. si le bout libre de a sangle est trop long, le coincer dans la portière pour éviter qu'il ne fasse trop le drapeau... je n'utilise pas les crochets des sangles mais passe le brin le plus long dans l'anneau du plus court, pour faire une "ceinture" continue qui passe sous les barres de toit et au dessus des panneaux (à l'aller et au retour) - aucun risque de ripage ou de décrochage en cas de choc ou autre...
penser que le porte-à-faux à l'arrière empêchera d'ouvrir correctement le hayon (sortir les sangles avant de mettre les panneaux sur le toit...)
avec du panneau 122 x 244 le porte à faux à l'avant sera de l'ordre de 70 - 80 cm, ça permet de jeter un œil sur le chargement, de temps en temps
3) après, avec du CP très fin (8 mm et en dessous) il y a des risques de casse dès que la vitesse monte un peu, un peu comme un parapluie sous la bourrasque. le panneau remonte vers le haut, il faut donc mettre les lambourdes, renforts, panneaux les plus épais... sur le dessus ou, à la limite, insérer le panneau mince en sandwich entre panneaux épais.
j'ai ainsi récupéré dernièrement deux chargements de 3 CP (du haut en bas 9, 6 et 18 mm pour le premier, trois fois 12 mm pour le second), en roulant à 60 - 70 max, sans que ça ne vibre ni ne bouge
du point de vue maréchaussée, comme la charge ne dépasse pas les dimensions du véhicule, ça ne devrait pas poser problème...
si je comprends bien, c'est simplement pour régler la position de la table. Donc pas nécessaire d'avoir une coulisse de tiroir.
si c'est uniquement pour régler l'inclinaison, je mettrais à l'arrière deux rainures en arc de cercle avec quelques trous pour passer des chevillettes (clous...) correspondant aux inclinaisons souhaitées, ou plus simplement deux biellettes attaquant une crémaillère
si c'est pour régler à la fois hauteur et inclinaison, on peut combiner biellettes à l'arrière, glissières à l'avant. un dessin sera sans doute plus parlant
bonjour
avec une défonçeuse et une fraise assez longue, il est tout à fait possible d'utiliser des gabarits de ce type, un pour chaque angle souhaité, qu'ils soient fabriqués en contreplaqué de 8-10 mm ou autre.
prévoir un système de fixation pour le stabiliser sur la poutre (butée, serre-joint, sangles...)
Je dirais peu importe, dès qu'on utilise toujours le même... après tout, certains mesurent en pouces, et les anciens d'avant le système métrique avaient une multitude de systèmes d'unité, ça ne les a pas empêché de faire des chefs-d’œuvre. Il faut seulement être sûr de l'origine (le "zéro") et que les graduations soient équidistantes sur toute la longueur
perso, si le diamètre de la fraise est supérieur à celui du trou dans la semelle, il y a danger
pour insérer la fraise il faudra descendre à fond la défonceuse. en admettant que la queue de la fraise soit assez longue pour cela, la moindre fausse manœuvre (si, si, ça peut arriver à tout le monde, moi compris) et c'est la catastrophe!
la rencontre de la fraise en rotation et de la semelle, c'est l'assurance d'esquinter les deux et éventuellement de recevoir des morceaux de métal tranchant dans les mains, les bras, les yeux...
Il faut que la fraise tourne librement pendant toute la course possible de la défonceuse, elle ne doit pouvoir entrer en contact qu'avec la pièce à usiner, et encore pas n'importe comment!