bonjour
à mon sens une ceinture de 5-7 cm devrait grandement améliorer la rigidité du plateau et permettre un écartement confortable des pieds, à moins que les pieds ne soient eux même reliés par des longerons de dimension équivalente, auquel cas la ceinture aura plus un rôle esthétique et pourra être réduite, de l'ordre de 30-40 mm suivant les goûts
Bonjour
pour ce que j'en comprends, l'assemblage des lames en V permet de faciliter le montage et de rigidifier l'ensemble. sans cela, les lames pourraient plier indépendamment l'une de l'autre, et être brisées plus facilement sous un impact même relativement faible.
la partie mâle est faisable au rabot (double chanfrein à 45°), il faut seulement marquer le milieu du chant et à 1/2 épaisseur du chant à partir du bord. il est aussi possible à la scie sous table, en maîtrisant bien les réglages. La partie femelle est aussi faisable à la scie sous table, ou avec une défonceuse montée sous table avec une fraise en V à 90°, ou encore au guillaume avec un montage permettant de suivre un angle à 45°..
Bonjour
je ne suis pas sûr d'avoir tout compris, mais il me vient quelques remarques :
Les pièces horizontales en 100100 2m assemblées par collage chevillage à mi-bois me semblent présenter un gros risque de faiblesse
Il existe des possibilités d'avoir des pièces de section rectangulaires (par ex. environ 60*150) en 4 m de long qui seront plus résistantes pour un poids inférieur, et sans le risque de voir le collage céder en conditions humides, avec éclatement des extrémités des pièces.
Pour moi, le contreventement doit se faire par triangulation dans toutes les directions, tout ce qui est parallélogramme est par nature déformable (ici en cas de poussée horizontale)
Attention aux pièges à eau lors des assemblages .
La glycine est une liane ligneuse pérenne qui peut exercer une pression sous l'effet du vent, mais qui peut aussi à la longue disjoindre des assemblages, en particulier en s'insérant entre les lames, mais aussi au niveau des contreventements. Je veillerais à l'installer sur un tuteur (fils de fer, grillage...) indépendant de la structure, et contrôlerais périodiquement qu'elle ne s'en approche pas...
la défonceuse travaillant en rotation dans le plan horizontal (contrairement à la scie sous table), pas besoin de "guide parallèle" avec rails. un guide avec un axe à un bout (un banal boulon, avec écrou papillon), proche du bord de la table et une fixation par serre-joint à l'autre bout est tout aussi efficace et beaucoup plus facile à régler, sans risque de coinçage si on manque de jeu dans les rails. si c'est pour travailler en bord de pièce, on commence par faire le passage pour la fraise. si c'est pour travailler loin des bords, on peut si nécessaire faire un (des) trous supplémentaires pour l'axe. Si on règle la largeur de passe au niveau du serre-joint, soit à 2 fois la distance axe-fraise, on aura un déplacement de 2 (cm, mm) pour seulement 1 (cm, mm) au niveau de la fraise, ce qui permet d'être 2 fois plus précis.
bonjour
peut-être effectivement un rail en haut qui servirait de guidage à 2 roulettes à gorge en tandem, supportant le haut du second battant. les 2 roulettes en tandem pour éviter le déraillement lors du pivotement par rapport au battant lors du mouvement d'ouverture/fermeture.
en alternative, une roulette-bille sous le second battant, si le sol est lisse, sous réserve d'en trouver une de dimension adéquate et qui fonctionne sans trop de jeu et d'accoups
Bonjour,
comme JulesL un domino aligné sur la rainure, mais plutôt du 10 mm (plus proche du 1/3 de l'épaisseur de la pièce), et aussi centré sur la pièce en bout.
une fois collé, rien ne bougera
par contre, la mortaise en croix fait perdre l'intérêt de la domino, qui est la rapidité d'exécution, puisqu'il faudrait recouper un domino pour compléter l'assemblage (sauf à trouver ou fabriquer spécialement des dominos en croix )
si je comprends bien, les éléments de volet sont à la verticale, donc le profil en V est sans rapport avec un risque de piège à eau. par contre, il doit faciliter le centrage/affleurage des lames lors du montage avec les tiges filetées de 6 mm.
je ferais le perçage à 6 (6.5) mm en premier à la perceuse à colonne, puis je ferais la rainure en V bien centré à la toupie pour tout le monde, puis les deux chanfreins en complément, en deux passes avec le même fer décalé de 7 mm (1/2 lame), en retournant les lames.
l'épaisseur est à 14 mm, sans doute pour permettre de replier 2 ou 3 éléments, en fonction des ferrures/gonds
la largeur des lames doit tenir compte de la rainure, mais aussi des possibilités de la perceuse à colonne, quoique si la course est limitée à 50 ou 60 mm, il est toujours possible de finir le perçage avec un vilebrequin ou une perceuse portative, le guidage sur 50 mm sera suffisamment correct. le diamètre de perçage peut être un poil plus grand (6.5 mm) pour faciliter le passage des tiges filetées (à tester en fonction du bois et de la précision de perçage obtenue)
PS je viens de voir le commentaire sur le nombre de trous, d'où l'idée d'un montage sur la perceuse à colonne qui permette de percer sans être obligé de mesurer à chaque fois et sans forcer pour maintenir la lame à percer : tablette rigide d'envergure > 1/2 longueur des lames, guide (fence) perpendiculaire sur toute la longueur avec passage du mandrin, butée réglable (tasseau + serre joint). Il doit être possible de régler une fois pour toute le centrage du perçage en fixant la tablette dans les trous oblongs de la table réglable de la perceuse à colonne. Il ne restera qu'à évacuer les copeaux entre deux perçages pour éviter les dérives
avec la scie sous table, je délignerais d'abord les tasseaux avec une surcote pour être tranquille. ensuite, je ferais un gabarit au bon angle, à intercaler entre le guide parallèle et le tasseau à scier pour obtenir le bon angle. le gabarit serait à fixer au tasseau (double-face ou petites vis, ou mieux configuré en poussoir avec talon plus ergots pour éviter que le tasseau ne remonte), pour assurer un sciage linéaire. le gabarit peut être tracé puis découpé à la SAR, éventuellement fini au rabot.
les deux cotés du tasseau seront mis à l'angle successivement par retournement de la pièce
Utiliser un deuxième poussoir pour bien plaquer la pièce à couper + gabarit sur le guide latéral. Il faut aussi régler l'angle de la scie pour que les chants des tasseaux soient jointifs... quelque chose comme 83.6°... donc attention lors du calcul des largeurs en haut et en bas,tenir compte de l'épaisseur pour obtenir la bonne mesure, le périmètre externe étant forcément plus important. de même bien réfléchir à l'inclinaison de la lame lors de la taille du second coté du tasseau, qui doit avoir une forme de trapèze isocèle aussi bien de face que de profil le plus simple est sans doute de faire le premier chant de tous les tasseaux et de refaire le réglage de la scie avant de faire le deuxième chant.
ce que je tenterais pour les reboucher, pâte à bois ou enduit de rebouchage. Choisir la teinte qui approche le plus. pour les trous les plus importants, insérer un morceau de bois d'aspect compatible dans la pâte à bois encore fraîche. éventuellement, texturer la surface encore fraîche avec une brosse métallique dans le sens des fibres. une fois sec, possiblement teindre les raccords avec des teintes diluées (brou de noix, sienne brûlée...) par touches successives si l'aspect est trop clair, et pour casser les contours des réparations. Mais ce n'est que mon avis personnel, les professionnels ont sans doute des méthodes plus élaborées.
Au XVIIIème, l'"acacia" (robinier) originaire d'Amérique du Nord, n'était pas encore courant en Europe, ce qui fait qu'il n'était probablement pas utilisé pour faire des chevilles (ni des piquet de vigne ou de clôture).
Par contre chêne, hêtre et fruitiers étaient bien là.
Cela dit, tant que le bois de la cheville ne jure pas sur le meuble...
bonjour
sa planche jumelle a le fil/contrefil dans l'autre sens, alors qu'elle lui ressemble comme une sœur, donc soit le sens des fibres est visible sur la tranche, soit il faut tester au rabot, sauf à pouvoir reconstituer le plot et ses imperfections pour en déduire la direction des fibres par rapport au plan de sciage...
Bonjour,
à mon sens ce type de mèche est à utiliser avec un mandrin à 3 mors, type perceuse, vilebrequin ou porte-foret (chignole). l'avantage est qu'il ne nécessite pas de serrer aussi fort le mandrin qu'avec une queue ronde, et qu'il est plus rapide de changer de diamètre de perçage. le porte-embout doit avoir un peu de jeu pour permettre le montage-démontage des embouts de vissage, et comporte d'ailleurs souvent une bille rétractable pour éviter la perte de l'embout.
Bonjour
la masse volumique de la terre de plantation (riche en matière organique, aérée) n'est pas très élevée, de l'ordre de 1 à 1.25 kg/l. celle qui est vendue en sacs de 50 l en jardinerie ne doit pas dépasser 25 kg, soit 0.5 kg/l
si le bac fait 30 cm de large pour 30 cm de profondeur, ça fait 90 l au m linéaire, soit un maximum de 115 kg (ne pas oublier le drainage, sinon les fleurs risquent la noyade)
les jardinières du commerce font moins de 20 cm de profondeur, et géraniums et pétunias s'en contentent...