
la tige filetée peut être scellée lors du coulage du plot béton (il faut juste soigner la positionnement)
sinon, le mieux est de faire un trou et scellement chimique dans le plot.
penser qu'en cas de coup de vent, le support risque de travailler en arrachement. Donc, avec un pied moisé comme sur le schéma joint, il faut une tige filetée assez longue pour pouvoir place un écrou + rondelle à la base et un autre au sommet de l'entretoise du bas du poteau (entretoise qui doit donc être percée sur toute sa hauteur, et dont les vis traversantes doivent laisser le passage de la tige filetée verticale)

C'est tout à fait possible d'utiliser ce genre de pied de poteau
Il faudra cependant l'ancrer au sol (goujons inox à expansion de 8 ou 10 mm, en fonction du pied de poteau), sinon, au premier coup de vent ça risque de faire des dégâts. Il faut juste percer au bon endroit ! (je sais, ça arrive à tout le monde... )

Quand j'étais plus jeune (je suis toujours jeune ) j'ai eu l'occasion d'abattre un campêche à la tronçonneuse. Je me suis retrouvé avec une teinture rose violacée sur le pantalon (le mélange de sciure du cœur et de sueur, sans doute) qui m'a fait me demander si je ne m'étais pas coupé avec la tronçonneuse...
Le colorant extrait du bois (hématoxyline) a notamment été utilisé pour teinter des cellules en vue de leur observation au microscope. C'est aussi un bois quasi imputrescible, résistant aux termites etc., ce qui l'a beaucoup fait utiliser comme piquet de clôture ou traverse de chemin de fer. En plus, les fleurs sentent très bon et donnent un miel à se lécher les doigts

De mieux en mieux, plein de détails, des images qui bougent, j'en ai pour la journée à tout décortiquer
Bel ouvrage, qui ne risque pas de s'effondrer de sitôt
Juste un truc, dans ta vidéo 2, pour compacter le fond des trous normalement il faut une Dame. Ok, tu n'en avais pas sous la main, tu t'y es collé, mais sans ça le fait moins
ça évoque plutôt la danse de Baloo
Blague à part, tu devrais pouvoir trouver ça (une dame) chez d'anciens maçons, ou à défaut en fabriquer (ou faire fabriquer) une - un fer plat épais de la taille de la paume de la main, soudé à la perpendiculaire au bout d'une grosse tige de 1.50 ou 1.70 mm (ou à une douille et avec un beau manche en frêne), +/- 5 kg au total et en avant la musique
Bonne continuation

Bouh, merci andrefy et racmterrof, j'ignorais ce risque, d'autant que je ne frappe pas fort, pour éviter le rebond et les vibrations toujours désagréables
promis, je vais essayer de trouver un ferrailleur...

Merci Folgansky mais je n'ai pas retrouvé l'épisode en question, parmi tous ceux de la série.
le principal, c'est que vos expériences servent à d'autres, et que quelques accidents potentiels soient évités

Ok, je ne pense pas avoir risqué grand chose, la masse n'a pas l'air très dure j'ai fait quelques marques en l'utilisant avec un burin de GSB pour casser du béton. Après pour ce genre de job c'est gants de cuir et lunettes dans tous les cas. Prudence donc comme toujours avec des outils contondants, tranchants, abrasifs, chaud... Prudence mais pas peur.

Kentaro On n'a pas tous la même interprétation des/sensibilité aux odeurs... même chose pour les couleurs, sans parler des sons

Très intéressant
Il est certain que ça altère la composition du bois : l'ammoniac, comme la soude, hydrolyse la cellulose (c'est-à-dire coupe les chaînes de glucose composant la cellulose en composés plus simples). Ce procédé est utilisé pour transformer les pailles (très riches en cellulose et en ligno-cellulose peu digestibles) en fourrages plus digestibles pour les ruminants. On emploie d'ailleurs de l'ammoniaque (solution aqueuse d'ammoniac) ou plutôt une solution d'urée qui se transforme en ammoniaque par l'action de bactéries), qu'on laisse agir quelques semaines à température et pression ambiante, dans une enceinte fermée (bâche plastique). C'est un procédé utilisé depuis une quarantaine d'années (fao.org/3/v4440t/v4440t04.htm) dans pas mal de pays tropicaux.
Il est donc plausible qu'hydrolyser partiellement la cellulose qui relie les fibres de lignine permette de plier plus facilement les bois durs en facilitant le glissement des fibres de lignine les unes par rapport aux autres. Reste à déterminer le temps d'action en fonction de l'épaisseur du bois, et la relation temps d'action - diminution de la résistance mécanique qui risque de limiter l'épaisseur maximale des pièces qu'on pourrait produire, en fonction de l'essence du bois...
Ça ouvre des perspectives pour les boiseux chimistes

C'est vrai que ça parait facile, mais derrière il y a une belle connaissance des techniques asiatiques d'assemblage et de charpente, un peu de CAO (vers 0'35"
) des plans sans doute très précis dans le moindre détail, du bois de premier choix, des outils que je rêve de m'offrir un jour

Bref un personnage impressionnant, et attachant


d'accord avec Erebor pour l'aspect CP et caissons
Dans une vie antérieure j'avais monté un plan de travail en céramique lisse - (grès céram?) de 600x1200 mm le carreau, simplement collé sur un support CP, et ceint d'une alèse en bois peint (mais ça peut être un profilé alu ou autre). l'avantage du grès céram est sa facilité d'entretien, sa planéité et sa pose facile (colle à carrelage en milieu humide)
Si la dimension requise est plus grande qu'une plaque de 600x1200, ça se découpe comme du carrelage, l'astuce étant de bien placer les éléments type plaque de cuisson ou évier pour minimiser les raccords et joints.
De mémoire, c'était aussi relativement peu coûteux, par rapport aux plans de travail mélaminés par ex.

pff... 21 au moins mais bon, à l'époque la télé balbutiait en noir et blanc, pas sûr qu'il reste des archives

trente six seb merci pour le clin d’œil un peu trop ancien pour le coup
Mais ça permet de se souvenir que pendant la fin des années 40 et pendant les années 50, on a reconstruit bien plus que l'équivalent de la cathédrale de Paris, mis en place la sécurité sociale, les prud'hommes, etc., etc., au sortir de la guerre, et sans chouiner. Il est vrai que les classes possédantes faisaient profil bas, vu leur passé récent peu glorieux. Quelque chose a dû foirer depuis

trente six seb intéressant en effet, mais pas sûr que j'aimerais le job, entre le bruit des riveteuses et la hauteur sans assurance. Je m'étais d'ailleurs laissé dire que c'étaient surtout des amérindiens qui faisaient ce boulot, mais peut-être n'étaient-ils pas admis dans le syndicat ?

Pas maaaal!!!!!!!!!
j'aime aussi beaucoup l'éclairage en haut à droite, ça me fait penser à un artiste dont une œuvre apparait dans
plus exactement à alexchinneck.c...oonful-of-light
bonjour
Un schéma, un plan ou un dessin avec des cotes (dimension des bastaings, des étagères...) serait bienvenu pour se faire une idée plus claire.
Qu'entends-tu par "habillage des bastaings, du cadre en pin"?