

Étonnant, en effet, cette longueur de 620, annoncée sur la doc de cette machine. D'autant que pour toutes leurs autres ponceuses à bande, c'est toujours 610, que ce soit en 76, ou 100 mm.
Ceci dit, ça n'est que 10mm de plus, sur la longueur développée de la bande, soit 5mm sur la bande montée. Ce que le système de tension compensera sans problème.

Concernant le type de colle, voilà plusieurs fois que tu poses ici, plus ou moins, la même question.
Pour des ouvrages intérieurs, la colle vinylique convient parfaitement, comme le disent la très grande majorité des réponses qui t'ont été faites.
Pour le grammage de colle, c'est généralement aux alentours de 150gr/m², ce qui, pour mieux visualiser quand on l'applique, représente 1,5/10e de millimètre. Nul besoin de plus (ca peut être contre-productif, et aussi du gaspillage), ni de double encollage (mêmes raisons).
Pour le mode de serrage de tes CP, j'imagine qu'il s'agit de tes limons ou crémaillères de l'escalier dont tu parlais hier ?
Sans savoir de quel équipement tu disposes, mais à minima des serre-joints, j'imagine, tu débites tous tes CP en largeur (avec un peu de surlargeur, pour les tirer à ta cote finie une fois collé).
Tu prépares des longues cales, bien droites, rigides, afin de servir de support pour serrer tes panneaux, et avoir une pression la mieux répartie possible, sur tes collages qui sont en CP 12mm.
Ensuite, suivant tes longueurs, tu colles par lot de 3 CP pour constituer chaque pièce, soit une par une, soit regroupées par pièces de mêmes longueurs.
Sur des tréteaux où tu auras disposé deux grandes cales de longueurs, tu déposes tes panneaux (rapidement après application de la colle !), le deuxième jeu de cale par-dessus. Ensuite, tu serres le tout avec des serre-joints répartis de chaque coté.

Une ou quelques images de plus, vues de bout, et sur le chant n'auraient pas été inutiles, pour comprendre avec plus de certitude le principe de ces persiennes.
Ma première impression est qu'il s'agit d'un principe moins courant que celui qu'on trouve généralement, pour ce type de volets.
Ici, les lames auraient un chant incliné, et non en V, entre elles. Avec une mouchette usinée en continu, puis enlevée par une nouvelle opération d'usinage, sauf dans les parties où passent les ferrures, peut-être ?
Pour les ferrures, il peut s'agir, comme pour des volets plus courants avec usinage en V, de paumelles reliées par des tiges métalliques traversantes, et serties en bout pour assurer l'assemblage.
Mais sans plus d'images, ce ne sont que des hypothèses.

"le couchage en hauteur ne convient pas à des enfants de moins de 6 ans". C'est la mention que doivent comporter de façon visible les lits en hauteur.
Mention que TU DOIS y faire figurer aussi, pour être conforme à la loi ! (voir ici, notamment les article 5, 6... mais aussi l'article 9, en cas de non-respect)
Parles-en à ton client. Et montres lui l'article en lien ci-après.
S'il y tient tout de même (pour une question de place, chez lui, par exemple), fais lui signer une décharge comme quoi, tu lui as bien fait prendre connaissance de l'article ici.
De cette façon, en cas de problème, toi tu n'en as pas.

Si ta question concerne uniquement la résistance d'un collage, la colle suffit amplement, et un assemblage, quel qu'il soit, n'en apportera pas plus. (Et colle vinylique, qui suffit largement aussi, dans le cas d'ouvrages intérieurs)
Par contre, pour faciliter le bon positionnement et l'affleurage de tes différentes pièces, lors de collages (ce qui peut en conséquence, permettre de ne pas perdre de temps. On n'en a jamais de trop, quand on colle !), un assemblage peut aider, oui.
Pour des collages en quantités importantes, une fraise à enture autobloquante permet de juste serrer dès après l'application de la colle, puis d'enlever immédiatement les serres-joint, si tu n'en as pas suffisamment.
ATTENTION à bien stocker les pièces, ensuite, jusqu'à prise complète du collage... Et ne pas trop les manipuler de suite, ça va de soi !
Voilà, voilà !
Pour ta seconde question, je cède la place à des plus spécialistes que moi.

Si c'est collé (et BIEN collé, évidemment) ça sera parfait (et à propos de colle, la vinylique suffit amplement).
Comme pour pas mal d'autres collages de bois massif, avec un sens de fil parallèle (dessus de meuble, plateau de table ou autre, grands panneaux massifs en général, etc), les lamellos (ou autre système d'entures, rainures et languette,domino, etc) n'ont pour seul intérêt que de permettre de bien guider les pièces, et assurer un bon affleurage, au moment du collage.
Si tu peux assurer ces impératifs sans lamello, aucun souci. Mais si ça t'aide, tu peux t'en servir. Mais pour la tenue du collage, une fois sec, aucune résistance supplémentaire à en attendre.


Le transfert en lui-même ne posera pas de problème. (Je me souviens avoir livré des meubles par temps très froids, ou aussi très chaud, humide... sans que ça ne pose le moindre problème). Le bois met tout de même un peu de temps à réagir aux conditions ambiantes.
Par contre, c'est par rapport aux conditions de ton atelier (dont on a parlé par ailleurs) qui peut poser problème.
Mais un transport de quelques kilomètres, même sans grande protection, rien à craindre.
Oups, il s'agit de transporter de ton atelier vers la maison !
Dans ce cas, les autres répondeurs t'ont déjà donné des pistes. Il faut le faire de façon progressive. Peut-être commencer par les entreposer dans un garage, si tu as. Et le laisser s'y stabiliser...

Bonjour.
Sa "remise en service", dis tu ? Mais après quoi ?
J'imagine que si tu envisages un rebobinage, c'est que tu as bien vérifié que la panne ne venait pas d'ailleurs, en amont, au préalable.
Mais 1000€, ça me parait tout de même énorme !
Il y a 2 ans, j'avais changé un moteur de toupie par un neuf, trouvé ici, pour moins de 350€. Et il y a certainement d'autres vendeurs du même genre.

Haffner était un fabricant allemand de machines à bois et accessoires très réputé, chez les menuisiers, jusqu'aux années 80, 90, puis qui a décliné et a fini par disparaitre début des années 2010.
Ici, un catalogue de leurs productions, datant de 2000.
On trouvait dans beaucoup d'ateliers, entre autres choses, beaucoup d'entraineurs de toupie de cette marque, très appréciés, notamment pour leurs variateurs, et leur robustesse. Il s'y trouvait aussi pas mal d'électro-portatif de cette marque, qui était d'ailleurs une référence, chez les menuisiers. (ce qu'est devenu plus tard la marque ELU, puis ensuite FESTO, devenu plus tard FESTOOL).... On en trouve encore plein, sur LBC !
Aujourd'hui, le nom HAFFNER subsiste encore, mais sans doute, et un peu à la manière de LUREM, il s'agit d'une autre boite (américaine) qui a racheté le nom, juste pour bénéficier de sa réputation passée. Et en récupérant du même coup de quelques brevets, j'imagine. Leurs productions actuelles sont plus particulièrement orientées sur des machines pour production de menuiserie alu ou PVC, il me semble.
Rien d'étonnant à ce que tu n'obtiennes aucune réponse, donc.
Sur ta machine, il doit bien y avoir une plaque, quelque part ?
Sinon, je dirais que ça date des années 70 ou 80. On voyait quelques-unes de ces scies verticales, dans des ateliers, mais encore plus dans les magasins de bricolage, à l'époque.

Tout d'abord, il eut été intéressant de mettre le lien de la source d'où vient l'image que tu nous montres.
Pour répondre à ta question, il existe une boite italienne du nom d'ALPI qui est connue pour ce genre de choses. Ils ont à la base une gamme de produits standards, le plus connu et diffusé étant "ALPIlignum".
Ils sont spécialisés dans divers produits à base de placages, teintés dans la masse. Mais ils ont aussi, ou fabriquent à la demande, des produits, toujours avec à la base ces mêmes placages teintés, recollés, puis une nouvelle fois tranchés pour former des motifs originaux, ou alors des massifs lamellé collé.
Mais c'est souvent à la demande d'architectes ou de designers, que sont prescrits, puis commandés et fabriqués ces produits, en particulier pour les produits en "massif" reconstitués, à chaque fois originaux.
À noter que, un peu comme pour le panneau que tu montres, il peut parfois s'agir de panneaux revêtus d'un de leurs placages sur le plat, mais également sur les chants en bouts, avec le fil du placage qui suit parfaitement, ce qui peut donner l'illusion d'être du massif.
Pour ces massifs reconstitués, c'est dans la gamme "Massello (Massif) ALPItav". Mais il n'y a aucun produit visible, car comme ils l'annoncent : "È la versione massello disponibile su richiesta per tutti legni ALPI" (C'est la version massive disponible sur demande pour tous les bois ALPI.)
Quelques exemples, en images ci-dessous, de ce qu'ils font (et pour la dernière image, des pièces en massifs reconstitués)

Le frêne n'est pas le bois le moins nerveux qui soit.
Mais aussi :
ATTENTION à la recherche absolue de "bois sec" !
Cette quête me semble être devenue un mantra, un graal, pour beaucoup d'amateurs ou d'ex-amateurs devenus pros. Sauf que ça n'est pas juste du bois "le plus sec possible", qu'il faut avoir pour éviter les soucis de déformation, après fabrication.
Un bois sous les 10% peut même être contre-productif, et risqué.
Le bois étant hygroscopique, il trouvera son hygrométrie d'équilibre, par rapport l'endroit où il sera placé, et suivant l'hygrométrie ambiante et la température des lieux. Un bois qui serait trop sec reprendra de l'humidité et se déformera. De la même manière qu'un bois qui serait trop humide.
Un ouvrage en bois devra donc être donc d'une hygrométrie proche de celle qui sera son hygrométrie d'équilibre, dans l'endroit où il sera placé, dès sa fabrication.
À savoir aussi que l'hygrométrie ambiante varie, suivant les régions (ainsi que les saisons).
Concernant la colle, je vais reprendre un commentaire, que curieusement, je viens juste de faire à une autre question sur l'ADB, et commentaire que je fais souvent d'ailleurs :
contrairement à ce que beaucoup se sont laissé mettre dans la tête par plusieurs "influenceur-menuisiers" sur Youtube, la colle PU pour des travaux intérieur n'a aucun intérêt !
La colle vinylique à d'ailleurs une résistance plus importante que la PU.
Et dans le même esprit, la colle PU qui aurait pour intérêt de boucher les jeux ou interstices des assemblages, c'est vrai qu'elle bouche, en gonflant. Mais ça n'apporte rien, en termes de résistance.
EDIT : Sur le sujet de l'hygrométrie d'équilibre, je viens de découvrir ça sur l'ADB, par sylvainlefrancomtois :

Un montant, rajouté sur chaque côté, en bas. Plus une équerre escamotable du genre de celles en image ci-dessous, qui vient s'y fixer (ça existe jusqu'à 600 de profondeur).
Et si nécessaire, des traverses de renfort, ou alors carrément un cadre, pour rigidifier le panneau relevable, si celui-ci est trop souple.


Tu veux une trappe d'accès aux branchements LV et SL. OK
Mais pourquoi vouloir y faire une boite sous cette trappe qui ne sera pas souvent ouverte, qui donc au mieux ne servira que de "range-m...e" pour des trucs rarement utilisés, puisque peu accessible. Et qui sera donc encombrée, quand il y aura besoin d'accéder aux branchements.
Boite qui, dans une telle pièce, peut un jour être exposée, ou à de l'humidité, voire des écoulements d'eau
- Parce que c'est "moche", dis-tu ? Mais si ça n'est pas visible, et peu accessible, ouvert qu'en cas de besoin...
Voilà pour quelques réflexions, qui ne sont que les miennes, sur le bien fondé d'y rajouter une boite. Mais passons si c'est ton choix.
Par contre, dans tout ton descriptif, je suis resté bloqué à ton histoire de "cadre en douglas de 22mm de large". Je ne vois pas ce que ça peut être, où ça devrait être...
Donc, avant de plus amples informations sur ce point, je dirais qu'il est possible de faire ça :
Réaliser une feuillure en périphérie de la trappe.
Ajouter un tasseau formant feuillure d'appui en périphérie de la découpe.
. Comme souhaité, rien ne dépasse en dessous. C'est affleurant dessus...
Si tu persistes sur ton idée de boite, il faudrait alors faire en sorte que celle-ci repose sur un tasseau moins haut que celui représenté, puis que la trappe y soit posée, avec une feuillure plus haute et plus large.

Ce genre de chose ?
Sauf que ça se met avec une agrafeuse spécifique. Je n'ai jamais vu qu'il en existait à mettre au marteau, mais peut-être que ça existe. Ou qu'il reste possible de mettre celles-là au marteau. Attention aux doigts

Déjà, au titre de la garantie légale de conformité, tu peux demander à ton vendeur, sinon un échange, au moins une réduction, sur le prix. Il faut le savoir.
Ensuite, sans gros plan, difficile de dire comment il est monté, et donc se démonte. Mais il est très certainement démontable, car c'est un élément mécanique standard qui est vendu un peu partout.
En recherchant sur internet, ou ici, en indiquant le diamètre de filetage (en "M", 10, 12 ou autre) tu trouveras de quoi la remplacer rapidement, et sans doute pour moins cher qu'en passant par le constructeur ou revendeur.