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Medalegno

Mouais...🤔
Quand tu voudras travailler à ton établi, tu ne pourras le faire que lorsque le temps est correct ?
Et après une pluie, il te faudra attendre que ton établi soit sec, pour y travailler ?
Les ouvrages, ou le bois que tu y travailleras, ils resteront aussi dehors, lorsque tu n'y seras pas ?
Même question pour les outils que tu y utiliseras.

Tu dis avoir de la place à l'extérieur. Ne serait-ce pas plus judicieux d'y envisager la construction d'un local, ou d'un abri à minima, d'abord ?
😉

Medalegno
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Un socle (même si d'autres peuvent l'appeler différemment)

Son utilité ? Permettre de créer une surface plane et parfaitement de niveau, avant de venir y poser le(s) meuble(s). Ensuite, une plinthe y sera fixée, après avoir été "trainée", pour l'ajuster au mieux au sol, si nécessaire.

Une autre alternative étant de mettre des pieds vérins réglables, directement fixés sous le meuble. Mais qui seront moins faciles à régler. La plinthe venant se fixer, là aussi, après mise en place et réglage du meuble.
😉

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Medalegno
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Avec une combinée 220 correcte, avec des fers classiques, tu peux dégauchir ou raboter du bois dur sans problème, même jusqu'a 3mm (en fonction de la largeur, bien sûr, Plus la pièce sera large, moins on aura de prise).
Aucune raison qu'equipée de plaquettes, ça ne puisse pas le faire aussi.

D'ailleurs, aucune nécessité à ce que ce soit un arbre à plaquettes. Ça peut avoir un intérêt, mais c'est loin d'être indispensable.
😉

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Medalegno

Les serre-joints touchaient la colle. Classique.

Medalegno

Je ne connais pas ce produit.
Par contre, je connais un système, encore plus économique, dont celui-ci est peut-être inspiré.

Un défonçage dans le même esprit, de la même forme de type "boutonnière", mais avec une simple fraise droite, sur le plat. Facile à faire, de façon répétitive et précise, avec un gabarit, et une défonceuse munie d'une bague à copier.

Sur le chant, le "bitoniau" en forme de queue d'aronde est remplacé par une simple vis, tête fraisée. Celle-ci est légèrement limée ou meulée, sous le fraisage, de manière à la rendre un poil plus coupante. La vis est vissée (logique) dans le chant, légèrement inclinée, de façon à ce que, lorsqu'on l'enfonce dans sa boutonnière, elle vienne serrer l'ensemble.

C'est peut-être un peu moins résistant que la quincaillerie que tu présentes... mais sur le plan économie, y'a pas moins cher !
😉

Medalegno
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Contrebalancé ? Sur le principe, oui. Mais dans quelques cas très précis, et rares, ça peut ne pas être indispensable.

"une colonne de 35 cm de profondeur" nous dis-tu... Mais le reste ?

Hauteur, largeur ?
Du frêne, mais quel type ? Placage jointé ou autre feuille type contre-collé ? De quelle épaisseur ?

Comment est faite la colonne à l'intérieur ?
Comment est-elle fixée à... ce à quoi elle doit l'être ?
😉

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Medalegno
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Sur un endroit pas très vu, et, ce qui à la fois sera un avantage, car peu abîmé, tu approches la flamme d'un briquet.
Pas besoin de trop insister, hein ! 🔥

L'odeur de cire sera remarquable rapidement, et la surface deviendra plus glissante.

Pour l'huile, sur des chaises de cet âge, je doute. D'autant plus que ça n'est pas le plus recommandé, toujours parce qu'il s'agit de chaises. Mais l'odeur d'huile qui crame se reconnait aussi.

Le vernis sera le plus long à réagir... mais dégagera une odeur âcre, lorsque ce sera le cas. Mais là, tu arrêtes tour de suite !!!

Tu peux aussi faire ces essais, en recueillant dans un récipient en métal ou verre, quelques "pellicules", en raclant la surface. Puis tu testes à l'écart.
😉

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Medalegno
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Bonjour. Je vois que personne ne te répond. Je vais m'y atteler, alors !😀

Je lis que ça sera une porte de communication entre une habitation et un garage. Tu as donc besoin d'un minimum d'étanchéité, je suppose ?

L'option 2 est tout-à possible, puisqu'il me semble comprendre que c'est celle qui te conviendrait le mieux.
Il faudra, dans ce cas, faire (ou faire faire, si tu n'en as pas la possibilité ou les outils) des ferrures déportées, et renforcées, pour atteindre le décalage souhaité.
Afin de compenser la poussée que provoquera le décalage du centre de gravité, des galets de guidage, en partie basse, seront nécessaires.
Pour atténuer le poids de la porte, il est possible de faire un système de roulette d'appui, en bas.
Dans cette situation, j'imagine, par exemple, une roulette fixée au sol, et qui viendrait rouler dans une rainure pratiquée dans le chant inférieur de la porte, afin de l'y cacher (et aussi de guider, accessoirement).
Si l'épaisseur de la porte seule n'est pas suffisante pour la rainure, tu peux y rapporter une plinthe, en surépaisseur.

Mais une autre solution est possible. Je ne sais pas si tu y as pensé, ou alors déjà écartée.
Elle consisterait à laisser le rail coté renfoncement de la cloison, sur la poutre comme dans ta solution 2. Mais laisser la porte suspendue à l'aplomb de ce rail. Mais aussi rapporter de part d'autre de ton ouverture, 2 montants en bois, pour fermer l'espace entre la poutre et le mur.

Pour un minimum d'étanchéité, et tenant compte de tes surfaces irrégulières, des joints balais peuvent être une solution, quel que soit le montage retenu.
Mais il est également possible de faire mieux. Ça sera juste un peu plus compliqué, et plus exigeant pour ce qui concerne la précision et les jeux à laisser. Mais c'est faisable.
😉

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par Baudet il y a 1 mois
Medalegno
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Je suis passé par là, il y a deux ans... Et même en tant que professionnel du bois (ancien, depuis quelques mois), c'est vraiment une toute autre spécialité.
Il faut oublier pas mal de façon d'aborder l'usinage du bois, lorsqu'on débute en tournage. D'abord parce que ça n'est plus un outil coupant en rotation qui coupe le bois, mais cette fois, c'est le bois qui est en rotation, face à un outil fixe.
Ça oblige aussi à trouver plein de techniques, de manières de faire, de montages adaptés à diverses situations, d'astuces...

Il y a une revue chez BLB Bois. Et des hors séries. Mais tu peux aussi acheter indépendamment chaque ancien numéro.

Il y a aussi des vidéos Youtube. Ça permet déjà de voir, et avoir quelques notions de base, pour commencer. (On est toujours impatient, de commencer, ou d'utiliser un nouvel outil !)

Bon, sur Youtube, il y a vraiment en quantité, de ces vidéos sur le thème du tournage.
Et il y a aussi à boire et à manger ! Notamment des vidéos faites parfois par des gens qui apprennent eux-même, en même temps qu'ils cherchent à transmettre... des techniques ou savoir faire, qu'ils ne connaissent qu'à peine, voire pas du tout ! Bref, pas toujours très intéressant.

Je te fais ici, une petite sélection très courte de chaines Youtube ou de vidéos, réellement utiles, je pense, pour apprendre quelque chose, et les bonnes façons de faire, au moins pour débuter.
John Rander. Malgré son nom, (et son origine, américaine il me semble), il est installé en France !

La Maison du tournage : Initiation au tournage sur bois : Utilisation de la gouge à dégrossir.

Bonne découverte !
😉

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Medalegno

Une vis ? (qui se monte et se démonte. Mais dont la tête reste apparente)

Un petit coin en bois, par-dessous dans l'emmanchement ? (qui s'auto-bloque, quand ça descend. Se débloque quand on remonte la "bague". Et plus discret qu'une vis)
😉

Medalegno

Problème sans doute dû à un problème, au moment du séchage du bois. Je l'expliquais d'ailleurs ici, même si l'essence de bois et les effets sont différents.
Phénomène de plus en plus courant aujourd'hui, malheureusement (faut aller vite, de plus en plus vite. Y compris pour le séchage !).

Ça peut s'atténuer légèrement avec le temps, mais c'est vrai que sur un ouvrage neuf, ça peut être décevant.
Pour ma part, quand ça m'arrive, je fais une légère retouche de teinte, pour égaliser et atténuer ces variations. Mais il faut le faire avant finition, sur le bois brut.

À voir, si ton fournisseur sait le faire... mais il est vrai que ce sont généralement des poseurs qui interviennent chez les clients, pas forcément habitués à ce genre de reprise. Pour des interventions de ce style, il me fallait d'ailleurs souvent y aller moi-même.

Mais ce qu'il faut retenir, c'est qu'une reprise est tout à fait possible. Ça nécessite de décaper/poncer totalement le vernis sur les faces concernées. Faire la retouche, puis revernir. Mais tout dépend de ce qu'est ton fournisseur, simple revendeur et poseur de menuiseries, ou alors fabricant (Ce qui ne rend pas le défaut esthétique plus acceptable, pour autant).
😉

Medalegno

Faudrait demander à FrancoisB.
Il semblerait qu'il ait acheté une du même modèle, il y a quelques années. Et on y voit cette même pièce !
😉

par MonsieurRoze il y a 1 mois
Medalegno

Puisque tu ne nous fais pas connaître l'importance de l'angle de cette configuration, difficile de te donner un avis ferme, sur le fait qu'il soit nécessaire de faire un angle sur le chant de la porte tout à droite, coté charnière. Peut-être que oui, peut-être que non.
Pour le chant de porte tout à gauche, ça n'est pas utile techniquement, mais esthétiquement, impossible de te répondre, toujours sans connaître l'angle.
Et la jonction de portes intérmédiaire, tu gardes 90°.

Pour les charnières invisibles, il existe des modèles, pour tous ces cas (- de 90°, comme + de 90), chez Blum France, par exemple. Mais eux aussi te demanderont l'angle précis, pour pouvoir te faire une réponse complète.
😉

par Nicoel il y a 1 mois
Medalegno

Les 4mm, c'est le diamètre ?

Avec un gabarit, dans lequel tu viens insérer, tour à tour, ta boite puis son couvercle. Pour le perçage, à la perceuse à colonne, avec un guide et des butées, pour que le gabarit reprenne la même place, par exemple...
😉

Medalegno
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Qu'est-ce que tu appelles une "affleureuse "classique"" entre guillemets ?

Pour l'affleurage, pour ma part, je préfère une affleureuse avec un guidage indépendant de la fraise, comme je l'expliquais ici.

Pour le roulement triangulaire, il a surtout l'intérêt d'éviter certains défauts, dus à un copiage "trop parfait", si on affleure un panneau dont le chant est encore brut, sur de l'aggloméré, particulièrement.
Au contraire, un roulement rond suivra tous les défauts et irrégularités, et parfois aussi un trou, sur un chant agglo brut ou CP, parfois même avec un stratifié avec un relief marqué.

Pour ne pas marquer les chants ABS, une bonne solution est d'avoir une affleureuse avec un frein de roulement (ou de s'en faire un soi-même). De cette façon, le roulement ne tourne que lorsqu'il est en contact avec le chant, et s'arrête lorsqu'il ne touche plus. Car il arrive souvent qu'au moment du contact avec le chant, le roulement est en rotation à haute vitesse, et vient alors frotter (et se freiner) et marquer le chant.

Pour le Delrin, en lui-même, si on a des roulements en état (et pas des roulements qui ont chauffé et qui en conséquence, sont bloqués, ce qu'on voit parfois), pour moi ça n'apporte rien de plus. En tout cas si on a pris les précautions dont je parlais au-dessus.
😉

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Medalegno
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Des paumelles à larder !
Plusieurs solutions existent et ont été proposées.
J'en ai aussi vu une autre qui consiste à le faire à la toupie avec une lame de scie*.

Éventuellement, dans un second temps, on rajoute à chaque extrémité de la rainure obtenue, une pièce de bois plate, collée, pour boucher les surlongueurs inclinées de la rainure, dues à cette façon de faire... Ou alors, pas bouché du tout ! (je l'ai vu aussi)

Avantage de le faire de cette manière :
.Très rapide, pour la phase toupillage.
.Un peu plus long, si on bouche les extrémités.

*A condition d'avoir une lame qui va bien, bien sûr !
😉

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