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Medalegno
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Tout dépend de comment seront vus, ou pas, le haut du casson et/ou les côtés. Mais il n'y a pas de solution simple, pour ce genre de cas.

Si rien n'est vu (ou si c'est replaqué par la suite):
. Je fixe un panneau d'appui, guide temporaire, avec un (ou +) serre-joint, à l'intérieur du côté ou montant. Ce panneau guide présente une pente de l'angle voulu, sur son chant supérieur.

. Ensuite, je positionne mon panneau haut, eu appui sur mon panneau guide, de façon à ce qu'il affleure en haut.

. Puis je viens pointer par l'extérieur à 41° (à la pointeuse à AC) /!\ Il faut d'abord bien positionner sa pointeuse, autant pour la hauteur que pour l'angle. Bien prévoir sa longueur de pointe également. Sinon, c'est la sortie assurée !
Éventuellement, faire un tracé pour positionner.

. Pour renforcer et assembler définitivement le tout, je perce, toujours par l'extérieur et au bon angle, des trous diam 8. Puis j'y enfonce et colle des tourillons de 8 .

De cette manière, il est relativement facile de positionner puis bloquer ses pièces en position. Puis de les assembler définitivement sans que les panneaux glissent entre eux. Mais il est clair que ça n'est pas la solution la plus propre, vue de l'extérieur.

Si tout l'extérieur est vu :
Il reste la solution Lamello, avec un jeu de cales de positionnement, pour s'adapter aux différentes pièces et angles rentrants ou sortants.
Pour l'angle du haut, on peut le faire avec des Lamello n°20, en éloignant l'entaille de l'angle. Mais pour le bas, il faut passer aux n° 0, pour ne pas que ça traverse.

(Pour la Zeta, elle peut être utilisable pour l'assemblage du haut. Mais pour le bas, je ne vois pas comment, ni ce qu'elle permettrait de mieux que la Lamello classique, puisqu'on a un problème de profondeur)
😉

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par ptithomme il y a 1 mois
Medalegno

L'épaisseur de la laque est infime, quelques petits dixièmes, tout au plus. En tout cas, on est très très très loin des deux millimètres que tu prévois ! (Sauf à ce que ce soit une laque "structurée")

Pour ta question sur les panneaux en GSB, il est clair qu'ils privilégient le plus bas prix, pour ce qu'ils achètent.
Je ne suis pas utilisateur (ou alors très occasionnellement) de panneaux venus de GSB, mais les MDF de marques vendus chez les négociants n'étant plus aujourd'hui ce qu'ils étaient... on peut s'attendre à ce que ce soit pire, sur ceux trouvés en GSB.
😉

Medalegno
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Les guides lames de scies à rubans, avant que n'arrivent des systèmes à roulements d'aujourd'hui (ou encore plus récents, en céramique), étaient effectivement faits en bois, oui. Le principe peut donc être considéré aujourd'hui comme archaïque (dans le sens du mot ancien), mais pas pour autant comme inefficace, nos anciens s'en sont servis sans problème durant des décennies... et même quelques-uns présents ici, en ont peut-être aussi eu l'occasion, j'en fais partie.

C'est d'ailleurs le système qu'on devine sur la machine dont tu parles, ici.

Au moins, quand c'est trop usé, pas besoin de chercher les références des roulements, puis de trouver où s'en procurer ! Juste quelques pièces de bois dur à préparer, puis à mettre en place et régler... normalement, on a ce qu'il faut sous la main !

Ceci dit, il en existe plusieurs variantes. Des photos des supports de ta machine auraient permis de t'en dire plus.

Pour ce qui serait du col de cygne, c'est de la fonte, sur ce modèle... Mais si celui du cygne est plutôt souple, peu de chance qu'il en soit autant pour le bâti en fonte de cette machine. Aucun risque qu'il se déforme, donc. Il peut y avoir de l'usure dans certains mécanismes, mais peu probable sur une machine de cette époque.

Reste la lame, effectivement. Pour le confirmer, il faut faire tourner la machine, lame en place et réglée. Si en avançant une pièce peu épaisse, sans forcer plus que de besoin, juste ce qu'il faut pour qu'elle coupe, et qu'elle dévie rapidement, c'est clairement l'avoyage qui est à mettre en cause.

Il est possible de mettre un système à roulement, moyennant quelques adaptations, mais ça n'est pas indispensable, et si ta lame (tu n'en as qu'une seule ?) est asymétrique, ça ne résoudra pas le problème.
😉

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par Pg38080 il y a 1 mois
Medalegno

Je réponds de façon groupée ici, à toutes tes questions récentes concernant différents rabots électriques.

Toutes ces productions viennent d'un même pays "exotique", y compris celle avec un nom à consonance germanique.
Ça n'est certes pas de la haute qualité, pas plus que je dirais que c'est de la mauvaise, c'est juste la qualité qu'on peut avoir pour ces prix. Pour résumer, on en a pour son argent. Ni plus, ni moins.

Dans cette gamme de prix, il ne faut pas s'attendre à de la qualité, précision, fiabilité, durabilité et réparabilité qu'auront des matériels plus orientés vers les professionnels.
Mais pour un usage amateur, peu intensif et peu exigeant en termes de précision, ça peut en satisfaire certains.

Se rappeler tout de même qu'un rabot électrique, même de marque pro, ne permettra pas la précision d'un corroyage manuel, ou à l'autre extrême, d'une dégauchisseuse correcte.
Ça reste pour beaucoup de professionnels, un outil de dégrossissage rapide, sans nécessité de grande précision, particulièrement en chantier. En atelier, il n'est que peu utilisé.

Pour le rabot sur support, pareil. Ça peut permettre des dégauchissages assez approximatifs, sur des pièces assez courtes. Mais il ne faut pas en attendre beaucoup plus.
😉

par Alex43 il y a 1 mois
Medalegno
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Tes deux pieds, s'ils sont soudés, semblent assez robustes.
Mais à ce qu'on devine de ton plan, s'ils empêcheraient bien tout mouvement latéral, quelque chose est nécessaire pour éviter les mouvements longitudinaux de la table, une fois montée.
Sauf que si tu nous montres un plan avec des formes de queues d'arondes, difficile de comprendre ce que c'est.
Une traverse, en long, soudée au niveau de la pointe basse de ton V et reliant les deux pieds, pourrait être une solution.
Une autre pourrait être d'avoir des platines de fixation soudées, relativement longues pour assurer une fixation ferme, robuste et limitant les possibilités de mouvement, sous tes traverses chêne.
Ça, c'est un point à retravailler.

Pour le plateau verre, sur le principe, pas de problème. La largeur des traverses (assez faible) n'induira pas de variation de largeur trop gênante.
Par contre, il est à conseiller d'y mettre du verre trempé.
Pour la sécurité, en cas de choc, déjà. Puis aussi pour le préserver des rayures. (Si ton plateau de verre est déjà fait, il est tout-fait possible de le faire tremper après. C'est d'ailleurs ce que l'on fait pour tout verre usiné ou percé. Ces opérations sont d'abord faites sur du verre ordinaire, puis vient ensuite l'opération de trempage. À savoir que ces usinages et perçages sont impossibles, une fois le verre trempé)

Pour les rallonges, il faut oublier ton principe. Ça ne marche pas, surtout des queues d'aronde dans ce sens, et de si faible épaisseur. Au premier essai de montage dans ton atelier, ça casse !
Une solution pourrait être de prévoir des tubes d'une bonne section, qui viendraient, lorsque nécessaire, se fixer sous tes traverses, éventuellement dans les platines de fixation proposées plus haut, mais très longues et déjà taraudées pour accueillir ces tubes.
Une fois ces tubes solidement boulonnés, tu y poses tes rallonges, avec un système de fixation également, mais qui ici peut être plus léger.
😉

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Medalegno

Et bien, ça n'est pas une porte neuve, mais une porte de récup, et qui est sale, c'est tout. Alors la crasse, on la nettoie...
😜

Medalegno
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Je rebondis sur cette question, déjà ancienne, mais sans doute remontée grâce à un commentaire récent.

Nombreuses et régulières sont les questions concernant, ou directement le collage, ou l'assemblage et collage d'ouvrage bois, massif ou panneaux dérivés destinés à un usage intérieur.
Beaucoup pensent trouver en la colle PU (je parle bien de colle, celle qui mousse, et non pas de mastic, mastic-colle ou colle de montage PU, genre PU40 ou similaire), une garantie de meilleur collage.

À ces certitudes, j'ai rappelé plusieurs fois récemment que la PU, hormis pour quelques cas très particuliers, n'avait aucun intérêt pour des ouvrages intérieurs.
La colle vinylique (aussi appelée PVA, PVAC, acétate de polyvinyle, polyacétate de vinyle, etc... ou plus couramment colle blanche) est d'ailleurs d'une résistance supérieure à la PU, contrairement à ce que nombre d'influenceurs-menuisiers sur Youtube laissent entendre.

À oublier aussi le prétendu avantage de la colle qui gonfle, et qui donc rendrait plus résistants des assemblages présentant des jeux importants, en comblant les espaces libres. Comme chacun peu le vérifier, la mousse générée par le gonflement de la colle... ça n'est que de la mousse, n'ayant aucune résistance. Donc cette mousse n'a pas plus de résistance, lorsqu'elle se crée dans les espaces laissés libres dans les assemblages mal ajustés. Oubliez aussi la prétendue étanchéité que cette colle apporterait aux assemblages !

Ajoutant à cela son prix plus élevé, la difficulté à la conserver dans le temps, sans que les conditionnements n'aient été ouverts, ou encore plus, une fois entamés et qu'elle devient rapidement "croustillante", ses aspects salissants et difficile à nettoyer, etc.

Mais je disais, "hormis pour quelques cas très particuliers".
Et justement, le collage à des températures relativement basses, est un cas ou l'usage de la colle PU prend l'avantage, par rapport à la vinylique.
L'application de la vinylique est déconseillée, généralement en dessous des 10°, alors que la colle PU a une température d'utilisation de 5° minimum.

Voilà qui répond, avec beaucoup de retard, c'est vrai, à la question de Greg La bidouille, et peut-être aux questions d'autres.
😉

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Medalegno
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Utiliser du bois massif, du noyer, qui plus est, pour en faire des portes imitant un aspect panneaux et façades modernes, la démarche est originale.

J'ai souvent vu des ouvrages constitués uniquement de panneaux, tentant d'imiter des structures en massif, montants/traverses/panneaux, mais le cas que tu nous exposes, c'est-à-dire un cheminement à l'exact opposé, pas encore !

Petit rappel historique utile (peut-être) : Les panneaux dérivés du bois, (puis les panneaux plaqués ou revêtus de ce qu'on veut, y compris du placage noyer) ont été créés afin de s'affranchir des problèmes que de grandes surfaces en bois massif pouvaient poser, que ce soit en termes de formats, solidité, planeité, stabilité, variations dimensionnelles, poids, etc.

Mais si tu tiens à gâcher du bois pour tenter des expériences dont on connait déjà les résultats...
😉

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Medalegno
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. Éviter les bandes "sans marque" (c'est plus pratique de ne pas avoir de marque, ça évite de se créer une mauvaise réputation !)
Des marques réputées et fiables, il y en a plein :
Les fabricants spécialisés Mirka, Hermes, VSM, Norton, SIA, 3M, Tyrolit, Klingspor... et j'en passe surement plein.
Des marques de distributeurs genre Wurth ou Berner...

Et aussi :

. Utiliser les bandes dans le bon sens. (Dans le mauvais, ça peut se décoller plus vite, même si, d'un autre côté, ça peut en prolonger un peu la vie, lorsqu'elles sont encrassées.)

. Éviter les bandes stockées depuis trop longtemps, et dont le raccord a mal vieilli, et qui se décollent rapidement.

. Éviter de trop faire chauffer les bandes, en cas d'usage intensif, comme tu dis.
Dans un tel cas, il vaut mieux alterner 2 bandes de 2 grains différents, une à gros grain pour un dégrossi, puis une plus fine pour la finition. De cette façon, chaque bande fait ce pour quoi elle est prévue, et cerise sur le gâteau, ça permet de moins les faire chauffer.
😉

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Medalegno
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Le couteau diviseur passe, avec une lame de 260 ?

Couteau diviseur qui sert, à éviter que le bois massif ne serre la lame en arrière, mais aussi et quel que soit le materiau qu'on coupe, A METTRE LE PROTECTEUR !
Ce que, de plus en plus nombreux Youtubeurs, et en conséquence, d'amateurs qui les prennent en exemples, ne font plus ! 😤

Si ça passe (bien vérifier que ce soit le cas en toutes circonstances, à l'intérieur aussi, quand on baisse la lame, ou qu'on la monte à ses maximums, etc), avec un peu de marge tout de même, pas de souci.
😉

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par Snoooky il y a 1 mois
Medalegno

Tu n'as "pas trouvé de sujet qui traitait le problème sur le forum"... Peut-être parce que ça n'est pas réellement un "problème" qui méritait d'être traité, tout simplement.

Avec une fraise avec roulement (je suppose que c'est ce que tu as ?), tu procèdes de cette manière, dans cette vidéo.
Même si ici, il y a un petit accessoire en plus qui permet de mieux garder la machine perpendiculaire au panneau. Pas forcément indispensable, si tu es habile. Ou alors, c'est un accessoire qui n'est pas très difficile à reproduire.

À défaut de fraise avec roulement, et si tu n'as pas de grosse quantité, ça peut aussi se faire avec une cale à poncer et un abrasif 180 au moins. Puis frotter avec un chiffon, pour atténuer l'aspect mat.
😉

Medalegno

À ta question, je comprends que tu ne disposes que d'une défonceuse, pour faire des moulures.

Si tu tiens, précisément à cette moulure, pas beaucoup de choix :
. Faire faire une fraise avec ce profil exact... Ça peut se faire, mais ça risque de ne pas être donné !
. Évoluer en t'équipant d'une toupie, plus un porte-outil qui permette de façonner un fer sur le modèle de l'existant. (Il y a aussi, bien sûr, l'option du "fer à l'ancienne", dans l'arbre de toupie... Je le dis, sinon certains vont me le rappeler... Mais je ne le dis pas, car ce n'est plus très toléré🙃)

Ou alors une alternative :
Modifier le profil de la moulure, en l'adaptant à ce que tu trouveras comme fraise(s) sur le marché.
😉

par Crakoukas il y a 1 mois
Medalegno
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Il est clair que de passer d'une scie, plus dédiée à du chantier, à une vraie scie à format, même de dimensions réduites peut te changer la vie, oui.

Maintenant, pour répondre à la question précise que tu poses, faire le choix entre les deux options que tu as retenues, difficile de le faire à ta place.
Nous ne connaissons pas ta situation (sur de nombreux aspects), ton activité (domaine ou volume), tes projets d'évolution ou de progression, etc... Donc impossible de se prononcer.

D'ailleurs, il est aussi possible d'emprunter, plutôt que d'attendre d'avoir mis suffisamment de côté, pour passer à mieux. Ça peut permettre, moyennant un emprunt, bien sûr, d'être plus performant tout de suite. Mais là encore, il n'y a que toi qui puisses faire ce choix.
😉

Mis à jour
par Lucky2121 il y a 1 mois
Medalegno

La question est très succincte...
Ma réponse sera à l'avenant : OUI !
😜

Medalegno

Si je comprends bien, tu cherches à conserver le chant supérieur intact, parce qu'il sera vu et plaqué ?
Et j'imagine qu'il te restera quelque chose comme 9,5mm en bout à conserver ?

Sinon, tu ne nous dis pas si c'est pour un seul meuble (donc 2, ou 4 bouts à traiter), ou si c'est une technique que tu seras amené à pratiquer en quantité.

. Une première approche peut être faite à la défonceuse. Ou aussi, et pour le coup, une défonceuse sous table telle qu'ont beaucoup de bricoleurs peut avoir un intérêt, avec un repère de démarrage, pour chaque extrémité, tracé sur le guide.

. Ensuite, attention au peu de matière qu'il restera, mais ciseau qui coupe, ou un coup de lame de scie à métaux pour amorcer...
Ou encore une autre possibilité, ce ciseau d'angle à 3 sous, que j'avais acheté il y a quelques années, histoire de tester... Et qui finalement, (une fois correctement affûté dès réception), rend bien des services, est très pratique, rapide et propre. Mais attention toujours à la proximité du bout, ça risque d'être fragile.
😉

Medalegno
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Avec une seule photo, pas très proche, les reflets, et le placage qui a frisé, à la couleur dénaturée par le temps, etc, difficile de répondre avec certitude. D'autant plus les caractéristiques habituelles pour reconnaitre une essence, dans le cas de loupe, sont "noyées" dans les multiples "pattes de chats". Et que plein de loupes, de ce fait, se ressemblent beaucoup.
Ça peut être plein de choses... Mais sans plusieurs photos, plus proches et sous différents angles, pour en déceler les caractéristiques particulières, difficile de se prononcer.
😉

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