469 réponses
par isador il y a 1 mois
Medalegno
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C'est quoi le dit "trou" ?

.Dans quoi ?
.Défonçage ou découpe ?
.De quelle profondeur ou dans quelle épaisseur ?
.Combien ?

Des réponses à ces précisions peuvent dépendre la méthode et les outils.

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Medalegno
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Questions :
.Que prévois-tu en couverture ? Et ce que sous-entend ma question : quel poids ?
.Quel l'objectif premier, pour toi ? D'abord utilitaire, ou alors, d'abord te faire plaisir en faisant une charpente avec de telles sections, et les assemblages qui vont avec ?

Dépendant peut être des réponses à ces questions, et si j'avais à le faire pour moi, j'aurais opté pour une charpente en porte-à-faux, avec une si faible profondeur.
Des poteaux, peut-être d'une section plus importante (pour ne pas qu'ils ploient. Des poteaux chêne de 150, par exemple, plutôt que 120, sur le plan) à l'arrière, fermement scellés au sol ou dans la dalle béton (ou autre solution).
Et pour la partie haute de la charpente, des sections plus faiblement dimensionnées (là, c'est énorme, et donc lourd !), mais suffisantes, bien sûr, et adaptées au poids de la couverture.
Il peut y avoir des assemblages sympa à y réaliser aussi.
Et ça évite un poteau à droite, qui peut limiter le passage.
😉

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Medalegno
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D'abord, vérifier que la machine soit bien alimentée (pas de disjoncteur ou de différentiel, quelque part de déclenché. Dans un tableau électrique, au mur, ou en entrée de machine)
Ensuite, vérifier que tous les arrêts d'urgence soient déclenchés.
Les contacteurs de sécurité, sur une porte, une trappe mal fermée. Quelques fois, ces contacteurs sont activés par la poignée à vis qui maintien la porte fermée, qu'il faut donc visser suffisamment.
Sur certaines scies, un capot de lame, qui ne serait pas bien fermé...
😉

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par Moxalain il y a 1 mois
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Allo, oui...

Ah, non, ça n'est pas DICTUM, ici.
Réessayez au bon numéro ! 😜

Medalegno
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Pour trouver des exemples (relativement) courants, tu peux regarder du côté des couvercles de puits en bois, pour y trouver plein d'exemples de panneaux assemblés sans aucun collage.
Ça peut être pointé, mais aussi, simplement chevillé (donc, que du bois).

Une autre solution, s'inspirer du système de volets à clés

Et une dernière, les portes en bois croisé

Je ne sais pas si ça répondra à ton besoin...
😉

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Medalegno
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Ah, c'est c** de n'y réfléchir qu'après que tout soit monté, et rendu indémontable sans dégâts !

Une solution possible, maintenant. Prévoir un nouveau dos, ajusté à l'intérieur de ta niche. Tu y fixes ta platine support d'écran, par boulonnage, avec rondelles et écrous, à l'arrière. En compensation de la surépaisseur crée par ces rondelles et écrous, tu y fixes/colles des bandes de panneau de l'épaisseur qui va bien. Puis, tu viens coller le tout, à l'intérieur de la niche, au dos existant.
Bien sûr, il faudra déporter tes prises et autres dans le nouveau dos.

De cette façon, tu sécurises tes fixations, et en même temps, tu rigidifies le dos, puisqu'il semble difficile, voire impossible d'aller le raccrocher au mur arrière facilement, en l'état.
😉

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Medalegno
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J'avoue que j'ai du mal à comprendre ton objectif final...🤔

.Tu dis être en train de fabriquer un établi, mais le piètement et le plateau existent déjà... donc tout le principal. Tu serais donc plutôt en train de rénover cet établi, et peut-être en cherchant à l'améliorer, non ?

.Le plateau existant est "déjà lourd", dis-tu, mais tu veux l'épaissir, et il sera en conséquence encore plus lourd.

.Tu voudrais avoir un plateau plus épais, mais dans quel but précis ? Tu dis même ne pas savoir "si c'est pertinent", mais par rapport à quel objectif recherché ?
(Avoir une hauteur de travail plus adaptée ? Une surface plus dure ? un plateau plus rigide ? une apparence plus belle ? un établi globalement plus lourd ? autre raison ?...)

Sinon, pour répondre à ta question finale, qui elle, est pour le coup, plus précise, je suis d'accord avec tous ceux qui te déconseillent un collage direct et en plein massif/CP. À la limite, un vissage à quelques endroits serait moins risqué.

Mais si tu nous disais avec plus de précision ce qu'est la finalité recherchée, nous pourrions peut-être encore mieux te conseiller.
😉

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par biper57 il y a 1 mois
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Tu pourrais peut-être chercher du côté de jardineries, de grossistes en fournitures pour paysagistes, ou agricoles, ou encore certaines boites spécialisées, dont certains vendent des piquets en châtaigner, destinés généralement à faire des piquets de clôture, ou alors ce qu'on appelle de la "ganivelle".
Les diamètres sont souvent assez gros, ou parfois, carrément fendus, mais on en trouve aussi en diamètre 30 à 40, même si plus rare.
C'est que j'avais trouvé, il y a quelques années, pour un agencement avec une déco de ferme ancienne.

Pour l'assemblage de bois ronds, il existe des kits pour tenons ronds, comme ici. Bon, tu n'auras pas le même aspect aussi bien ajusté et jointif que sur l'image... sur laquelle il y a vraiment quelque chose de curieux, pour ne pas dire de fake !
😉

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Medalegno
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En dehors des vérifications de base, si c'est une entreprise vendant sur internet, inconnue, jeune, qui plus est, qu'en est-il concernant le transport ?
De tels vitrages, ça ne se transporte pas comme un paquet de nouilles. Ça exige des précautions d'emballage, de manutention, au transport et lors des ruptures de charge. Donc pas forcément compatible avec les réseaux de type messagerie, classiques. Donc, un coût loin d'être négligeable.
Qu'annonce ce(s) vendeur(s), sur ces aspects ?
😉

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par Fab21 il y a 1 mois
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Ouch, "3500x env450 de large x50 voir 60" !!!
Et bien bon courage !
😉

Medalegno
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C'est quoi cette pièce formant seuil ? En béton, pierre reconstituée ?

Si c'est une porte d'entrée, ça ne doit pas être très confortable, en effet, d'avoir un pas si faible, par rapport à la barre des volets.

Comme ça je proposerai une marche réalisée en lame de terrasse, et affleurante avec le niveau supérieur de ce seuil, et non dessous.
De cette façon, ça devient plus confortable, en élargissant le pas disponible, tout en y incluant la largeur disponible en avant de la barre métal, plutôt que d'en créer un nouveau, mais qui en dehors et plus bas que le seuil existant.
Cette marche peut être juste posée, et juste bloquée pour ne pas qu'elle bouge, tout en restant facilement enlevable, pour nettoyer en dessous.
😉

Edit : J'ai dessiné ça vite fait, pour visualiser l'idée (ci-dessous). Bon, c'est sans doute un peu trop large ! Une largeur de pas de 180 à 200 serait peut-être plus adaptée et suffisante (pas incluant donc la largeur jusqu'au rail des volets). Mais de cette façon, ça reste affleurant, et ça n'oblige pas à être encore plus en arrière, pour ouvrir la porte.

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par Erebor il y a 1 mois
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Donnée importante, il faudrait d'abord que tu nous dises la valeur que tu accordes à un rein, déjà ! 😂

Sinon, plein de choix possibles.
Pour ma part, en vue de ma retraite, j'avais acheté ça, il y a 1 an et demi.
550€, mais on en voit parfois de moins chères. Mais beaucoup de plus chères aussi... Beaucoup trop, pour certaines d'ailleurs.

De 2008, mais très peu servi... car les 2 précédents propriétaires ne savaient pas la régler, une fois perdus les réglages d'origine. J'ai donc eu à changer les roulements des guides de lame, et les rerégler, pour qu'elle remarche parfaitement.
Quelques entretiens et nettoyages ici ou là, et dérouillage superficiel de la table, et elle était comme neuve.

Sinon, en fonctionnalités supplémentaires, j'ai refait une base solidaire de la machine, avec de grosses roulettes avec frein, pour pouvoir la déplacer. Tout en permettant une hauteur de table correcte et confortable. Et j'ai aussi ajouté une extension de table, que je trouvais un peu étroite.

Elle existe sous l'appellation "LUREM SOLO 4", mais aussi "SAR 400", suivant les époques.

Elle a aussi la particularité d'avoir, pour des coupes en angle, le corps de la machine qui peut s'incliner, la table restant horizontale. Mais je n'ai jamais eu l'occasion d'en avoir besoin, hormis quelques essais, juste pour voir.

Il y a quelques jours, j'y délignais des bûches d'if, donc bois bien dur, de 150 à 180mm, sans aucune difficulté.
Bref, j'en suis très satisfait.
Voilà, voilà. Tu fais ce que tu veux de tout ça !
😉

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Medalegno
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Ah, personne ne t'a répondu. Je me lance, alors ! 😄

1) Qu'as-tu prévu comme poignées, sur tes portes et tiroirs ?
Ou alors, tu prévois un système sans poignées, du genre "Tip on" ?
Si c'est avec des poignées, tous tes tiroirs n'ouvrent clairement pas.
Si c'est avec un système de "Touche-lâche" ou Tip on, ça ouvre, mais avec le jeu latéral des tiroirs, ceux-ci vont immanquablement frotter sur la porte basse à droite.

2) Tu as aussi un souci, au niveau de la jonction (image ci-dessous). Sur quoi ferres-tu tes portes, avec quel type de charnières ?
Un souci sur le meuble gauche, et un autre sur le meuble droite.

3) Pour la porte de droite, pas très pratique, ce sens d'ouverture. Un ferrage côté angle serait plus logique et facile d'utilisation. Ce souci étant d'ailleurs une conséquence du point 2.

La solution à ces trois poblèmes serait d'avoir un fileur, à gauche et à droite de la jonction en angle des deux meubles. Cela te permettrait de laisser passer tes tiroirs sans problème, de ferrer les portes. Pour le meuble gauche, ça pourrait être une fausse façade, qui fermerait la partie non vue du meuble sur toute la hauteur (au lieu de tous tes petits bouts de montants), permettrait le ferrage, et formerait aussi fileur, pour cette partie...

Voilà, voilà, pour quelques constats rapides.
😉

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Medalegno
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Tu es bricoleur, mais sans aucune expérience en menuiserie, dis-tu.

Hmmmm, Sacré défi ! Même s'il ne s'agit ici que des portes et habillages de côté, un tel projet requiert une grande précision, de la minutie, toutes choses qui ne peuvent s'obtenir qu'avec de la pratique et donc de l'expérience, pour avoir un résultat propre et satisfaisant.

Mais ces remarques préalables faites, pour le panneau replaqué chêne, pourquoi ne pas partir sur de l'aggloméré plaqué chêne (je parle bien là de placage, donc une "pellicule" de vrai bois, à ne pas confondre avec le mélaminé, qui est une reproduction imprimée). Tu aurais un panneau identique en surface, tout aussi qualitatif, tout aussi adapté en termes de résistance, en tout cas pour une cuisine, plus facile à trouver, et bien moins cher.
*Ici, un lien vers la page Dispano (un des grossistes les plus représentés en France) consacrée à ces panneaux replaqués. Je joins également l'image des prix comparés, latté VS aggloméré replaqué chêne, mais identiques sur les autres caractéristiques, en dessous ⤵

Pour le choix des jonctions de tes alaises de pourtour, c'est d'abord un choix esthétique. Pour la réalisation, il faudrait une scie à ongle de qualité correcte ainsi qu'une lame adaptée et parfaitement affûtée (je ne sais pas ce que tu as), dans une solution comme dans l'autre. Les coupes droites étant plus simples à faire que les coupes d'onglet.
Si tu optes pour les coupes droites, des baguettes qui filent à la verticale, recouvrant les extrémités des horizontales, serait une disposition plus habituelle. Dans un esprit montants/traverses d'une menuiserie. (contrairement à ce qu'on croit voir sur ta perspective).

Pour l'assemblage de ces baguettes... déjà, tu parles de "CLOUER" 😳😫
Premièrement, en terme technique, on parlerait là de pointes, et non de clous. Mais sur le plan de la technique et de la finition, c'est vraiment pas ce qu'il y a de mieux !
Collé, serré, puis au besoin, affleuré et poncé ensuite. Même si là encore, c'est une opération minutieuse et longue qui ne s'improvise pas.

Concernant le placage des chants, c'est très simple... mais une fois qu'on en a l'expérience, une nouvelle fois. Pour le collage, pas réellement de difficulté, mais pour l'affleurage, je ne peux que te conseiller de t'entrainer d'abord sur des panneaux perdus. Et avec du chant placage ! Sur des chants ABS ou papier qu'on trouve en GSB, c'est encore relativement facile. Mais avec du placage, on se laisse vite entrainer par le fil du bois, ce qui peut entrainer des éclats ou arrachements. L'idéal étant de faire ces affleurages avec une scie à placage. Même une affleureuse peut avoir tendance à provoquer des arrachements.

Autre recommandation importante, puisque tu envisages cette fabrication en panneaux revêtus de placage : Entraîne-toi au ponçage de ces panneaux, là encore sur des panneaux perdus, avant de t'attaquer à tes panneaux définitifs. Tu seras amené à en faire, avant finition, mais aussi lors d'affleurage des baguettes. Et sur du placage, on se laisse vite entrainer à "la perce" (c'est-à-dire aller plus profond que les quelques 5 ou 6/10e d'épaisseur du placage). Y compris moi, ancien professionnel, on s'est tous fait avoir !
Être super soigneux lors de chaque étape de la fabrication, avec ce type de panneau sensible, aussi. Le moindre marquage, tracés, tâches (de colle notamment), rayures, chocs, etc, entraineront vite vers cette "perce" quand on cherchera à les éliminer.

Pour la finition, pour ma part, je déconseillerai les huiles, Rubio ou autres, surtout pour une cuisine.
😉

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Medalegno
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Le problème peut surtout se poser dans le cas de pièces courtes et étroites. Pour des pièces plus larges et longues, (et à priori, tout de même bien plus courantes), reposant au moins en bonne partie sur la table, pas de risque.

Sinon, même conseil que normandie, en première solution. Confectionne-toi quelques bagues en un matériau dur. Je viens de regarder ce qu'il appelle "Richlite" aux USA. A priori, ce qu'on aurait de plus approchant dans nos contrées européennes serait du "stratifié compact"... mais pas forcément facile à trouver en petite quantité, pour un amateur. A moins que ton oncle ait des pistes ?
Mais tu peux aussi le faire en contreplaqué dur. En CP bouleau notamment.

Mais encore plus simple, dans les quelques cas ou ça poserait vraiment problème, il suffit de poser et fixer un panneau en guise de table, au-dessus de la table de la machine. De cette façon, tu découpes au plus juste dans ce panneau, le passage de l'outil, de façon à être au plus proche. Demande à ton oncle, il va te montrer !
En plus, j'ai l'impression que le puits de toupie n'est pas extrêmement profond (sur la première image). Cette solution te permettrait en plus de pouvoir travailler plus facilement avec l'outil dessous.

Mais ne va surtout pas t'acheter d'autres outils !
😉

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Medalegno

Puisque ta question porte sur la sécurité à la scie "sous table" (ce qui vaut pour toute autre scie circulaire, à format, ou plus largement, scie à ruban), la première mesure de sécurité, c'est d'UTILISER LES PROTECTEURS !

Combien voit-on d'amateurs, ou de youtubeurs sur qui les premiers prennent exemple, utiliser leurs machines sans protecteur ?!?!?
Protecteur obligatoire à la vente, en UE, faut-il le rappeler. Donc qu'on ne me dise pas qu'il n'y en a pas. Mais je sais aussi que beaucoup de ces youtubeurs prennent eux-mêmes exemple sur des youtubeurs américains, chez qui, les réglementations en matière de sécurité sont loin d'être les mêmes. Et tant mieux, si sur au moins sur ce plan de la sécurité, en Europe il y a certaines normes et obligations !

Ancien professionnel (retraité aujourd'hui), j'ai toujours, et dans toutes les entreprises, grosses mais aussi plus petites, où je suis passé, utilisé ces protecteurs.
Ils n'étaient enlevés que pour des usinages très particuliers, et qui n'étaient vraiment pas possibles sans l'enlever. Mais une fois terminé ces sciages spécifiques, le protecteur était immédiatement remis en place. Par contre, lorsqu'ils étaient enlevés, nous utilisions autant que possible d'autres moyens de protection ou poussoirs, pour tout de même travailler avec une sécurité minimale.
Ces principes sont même une règle, dans beaucoup d'entreprises, car on y sait ce que ça peut coûter de ne pas le faire !

Même si c'est une ancienne machine, ou une scie circulaire portative fixée sous une table de sa fabrication, il n'est pas très compliqué pour quelqu'un qui, souhaitant se lancer dans des travaux de fabrication en menuiserie, donc, il faut l'espérer, doté d'un peu d'imagination et d'ingéniosité, de le fabriquer soi-même.

Pour ce qui concerne les poussoirs, même idée. Cela fait des décennies, des générations de menuisiers, que ceux-ci ont imaginé des tas de poussoirs de toutes sortes, tout-à fait efficaces, adaptés à la main de chacun, réalisés avec ce qu'ils avaient à portée de main, (souvent dans des chutes, d'ailleurs), avant qu'internet nous propose tous ces machins en plastique vendus à prix d'or. (Pourquoi se priveraient-ils, puisque des tas d'amateurs achètent en masse tous leurs bibelots, se disant que "la sécurité, ça n'a pas de prix" !)
Des poussoirs réalisés avec un bout de bois, une extrémité arrondie pour servir de poignée, l'autre en forme de "fourche" pour s'adapter et maintenir au mieux aux pièces de bois à pousser. Des boites, adaptés à de petites pièces à toupiller, avec un "anti-dérapant" maison à l'intérieur (abrasif, colle néoprène, etc), ou que sais-je encore, j'ai dû en réaliser des quantités. Bien plus souples que ces protecteurs qui soi-disant savent tout faire, mais dont on trouve vite les limites, ils ne coûtent qu'un peu de temps... et d'imagination. Encore faut-il en avoir.
😉