Il s'agit de restaurer un moulin à eau ?
Ou en tout cas, ça y ressemble, ou ça s'en rapproche.
etiennedesthuilliers qui connait bien ce genre de moulins, t'as apporté des éléments de réponse intéressants. Mais quel que soit le bois que tu retiennes pour ce projet, ça ne sera jamais éternel.
Si tu veux quelque chose de plus durable, et qui reste en un matériau traditionnel, ça pourrait être réalisé en zinc. Ou alors, moins traditionnel, en inox, qui pour le coup aura une durabilité extrême.
Pour en revenir au bois, pour cet usage, surtout n'y appliquer aucune finition, pas plus que l'habiller d'un revêtement. Ça ne ferait que constituer des "pièges" dans lesquels l'eau s'infiltrerait, et contribuerait donc, à contrario de l'effet recherché, à rendre cette goulotte moins durable.
Bonjour.
Pour ne pas te laisser sans réponse, je me lance. Déjà, le fait qu'il n'y en ait pas, est sans doute révélateur de ce qu'il serait possible de te proposer...
Malheureusement, avec un problème de cette ampleur, pas récent, de l'urine de chat qui a imprégné le parquet, non seulement par la surface, mais aussi par les joints entre les lames, et donc par les chants et les extrémités du bois, fait qu'il sera difficile de trouver une solution satisfaisante.
Même en ponçant profondément, ce qui permettrait peut-être d'atténuer l'aspect grisâtre en surface, les bords et bouts des lames de parquet resteraient encore sombres.
Peut-etre qu'avec plusieurs lames démontées, il serait possible de procéder à différents essais de produits, de tester différentes solutions, même si ça reste sans grande garantie de réussite. mais là, parquet en place, tout essai pourrait mener à des effets incontrôlés, et le remède pourrait être pire que le mal.
Désolé.
J'essaie de comprendre...
Donc, tu veux fabriquer des lettres sous forme de caissons (comme tes lettres AP en image dans une de tes réponses), tout en contreplaqué de 5mm, mais avec la possibilité de démonter ces lettres, afin de pouvoir stocker à plat.
Ces lettres faisant +/- 500mm de haut, et approximativement, à la seule vue de l'image, +/- 100mm d'épaisseur.
Déjà, tu risque d'avoir un problème de cintrage, dans tes rayons les plus fermés, à moins que tu n'utilises du CP cintrable.
Sinon, il est prévu quel genre de finition ? Concernant les chants ou jonction, si tu fais un système de queues droites, ça se fini comment ?
Il me paraît difficile de concilier un tel concept de lettres démontables, tout en ayant une finition propre, sans joint ou assemblages visibles, au niveau de ces jonctions.
Une solution pourrait être de coller une épaisseur plus importante, à l'intérieur des lettres, et en retrait du chant de 5mm restant visible, de façon à former une feuillure, pour recevoir tes panneaux de cotés. Puis d'y coller deux bandes magnétiques (de ce genre) (une sur le chant du panneau formant feuillure, l'autre au dos de tes panneaux de cotés.
Vérifie sur les chants, ce qu'on y voit.
Une méthode consiste, pour ce genre volet à lames, à y réaliser des mortaises traversantes, sur chaque lame, puis à y enfiler des clés, en biseau. Peut-être est-ce la méthode qui a été utilisée sur ces volets.
On en parle ici
Ou encore là
En image ci-dessous 
J'ai dû relire plusieurs fois ta question, pour finalement peut-être comprendre ce dont tu parles.
Il n'y aurait pas erreur, entre millimètres et centimètres, dans tes largeurs ?
Parce que si on change ton "60mm de large" par "600mm" ou "60cm", ça deviendrait soudain beaucoup plus compréhensible.
Et on comprendrait donc que tu veux réaliser des panneaux massifs de largeur 600 (pour parler en mm, comme c'est l'habitude, dans le métier), pour constituer les différents éléments de ton mobilier.
Si c'est bien ça, le problème qui peut se poser, c'est que même avec des plateaux de 65mm secs, une fois refendus, et à plus forte raison pour faire des panneaux larges, les pièces obtenues ont souvent tendance à travailler, à tuiler, une fois refendues. Parce que l'hygrométrie à l'intérieur d'un plateau de 65 n'est pas la même, car varie et s'adapte moins vite à celle du milieu ambiant, que les couches en surface.
Donc, au moins si c'est destiné à réaliser des pièces larges ou des panneaux, mieux vaut privilégier des plateaux d'une épaisseur proche de celle finie, que de refendre dans de la grosse épaisseur.
Ou alors, il faut laisser tes épaisseurs une fois refendues, s'équilibrer et se stabiliser un bon moment, avant de les utiliser.
Déjà, se mettre directement (ou rapidement) à son compte, au sortir de quelque formation que ce soit, n'est pas la meilleure des idées. Sauf à avoir un créneau innovant, un marché de niche où tu pourras rapidement développer l'affaire et conserver ton exclusivité et ta particularité un bon moment. Ce qui est plutôt rare.
En entreprise, ou auprès de professionnels déjà installés dans un métier et sur un marché, on peut y découvrir des façons de faire, qu'elles soient techniques, commerciales, des modes d'organisation différents, on peut s'y faire quelques premiers contacts, commencer à se faire connaître, etc. Toutes choses qu'on n'apprend pas, qui ne s’acquièrent pas à l'école, ou qui ne tombent pas du ciel, si on travaille seul dans son coin.
Pour l'âge, si tu as quelques prédispositions, si tu es motivé et un peu débrouillard, ça n'est pas un problème. Et encore moins à l'âge qui est le tien !
Concernant la spécialité d'ébéniste, ça fait rêver plein de jeunes, ou plein de gens qui envisagent une reconversion. Sauf que pour y trouver du travail, ça se transforme en cauchemar. Et si en plus, tu envisages de te mettre à ton compte, il y a peu de chance que ça soit mieux que ce que tu vis actuellement.
Il y a peu de travail, dans cette spécialité. Beaucoup moins qu'autrefois où il y avait des fabricants (des véritables) de meubles dans toutes les villes. Même en tant que salarié, il n'y aura pas beaucoup de débouchés, si tu veux te limiter à ça.
Le seul domaine assez large, en termes de spécialités, de variété dans ce qu'on produit, et aussi où l'esthétique a de l'importance (pour laquelle, des prédispositions artistiques peuvent avoir un intérêt), c'est la spécialité de l'agencement. Voire l'agencement haut de gamme, où là, ça peut s'approcher de l'ébénisterie. Et c'est un domaine où il y a du travail, des entreprises un peu partout.
Pour le CAP, c'est clair que c'est une première clé, pour entrer dans une entreprise. Mais ensuite, ce sont les compétences que tu réussiras à y acquérir, ta motivation, ta capacité et agilité à résoudre les défis de tous les jours qui feront réellement ta valeur, dans le métier.
Bonne réflexion !
"AHOR, la providence des bricoleurs" ! 
Bon, pas grand-chose sur le net concernant cette marque, hormis cette publicité datée de 1949, ou cet échange ici, ou encore là
Pour la scie à ruban, c'est généralement d'une construction assez simple.
Pour ta Dégau/raboteuse, le principe est peu commun, et difficile d'imaginer comment ça se monte, comment l'avance est entrainée, sans être devant et essayer.
En plus, comme tu ne nous en proposes qu'une seule vue, pas simple de comprendre comment ça marche.
J'imagine que la manivelle en haut sert à régler la hauteur de la table (qui est à l'envers, par rapport à ce qu'on connait habituellement). D'après les 2 vis latérales qu'elle entraîne par chaîne.
Mais plus surprenant, cette manivelle sur le côté
À quoi sert-elle, ou alors ça serait un moyen d'entrainement de l'avance ?!?!?
Étonnant.
Mais peut-être qu'avec d'autres photos...
En effet, ce fer a une limite en épaisseur. Pas possible de faire plus, sauf à bricoler et avoir un joint pas terrible, d'un côté ou de l'autre.
Seule solution, passer à un modèle similaire, mais avec plus de capacité en épaisseur.
Autre point, tu dis tenter de faire ce type d'usinage, dans du "multiplex", qu'on appelle, plus communément, du contreplaqué.
Sauf que dans ce matériau, lors l'usinage à la verticale, les parties les plus fines du profil vont partir en miettes, du fait des plis croisés du CP.
Donc, pour ce matériau non plus, ce type de profil et d'assemblage n'est pas adapté.
Pour les caissons, tu peux très bien faire des caissons double ou triple, suivant ta configuration, et ainsi n'avoir de montants doubles qu'aux jonctions entre 2 caissons.
Par contre, il faudra alors procéder à l'assemblage dans la pièce, avant de redresser chaque ensemble.
A contrario, l'avantage que peuvent avoir des caissons indépendants (donc plus petits), c'est de pouvoir les monter en atelier.
Le choix peut aussi se faire par rapport à une question d’accessibilité, d'étage(s) à grimper, de passages restreints, etc.
À la question "Est-ce indispensable de faire de caissons?".
Non, mais tu veux faire quoi, à la place ? (Même si j'ai mon idée, mais quelle est la tienne)
Concernant le choix de panneau, tu veux donc remplacer le panneau méla, cher au m² une fois débité et chants plaqués, à ton goût... par un truc peu ou prou au même prix au m², mais pas encore débité, des chants pas terribles et difficiles à finir proprement, et une finition à faire en plus sur l'ensemble.
Je ne comprends pas trop l'idée.
Le mélaminé a une surface déjà finie, propose un grand choix de finition, coloris, et est suffisamment résistant dans le temps (je ne vois d'ailleurs pas ce qui pourrait laisser penser qu'il ne le serait pas assez pour cet usage). À comparer à un panneau en bois brut, aux chants qu'il sera difficile de traiter, qu'il faudra huiler ou vernir...
Comparer la facilité à travailler ? Je dirais que si tu commandes des bandes méla déjà débitées et plaquées, ça sera bien plus facile qu'avec du 3 plis, qui reste un matériau brut.
Je peux comprendre un choix esthétique. Mais pour le coût, la facilité de fabrication, d'usage, de nettoyage, la tenue dans le temps, le mélaminé l'emporte.
Pour les grands panneaux à débiter avec ta combinée Lurem C260... n’essaye même pas ! Pour des petites recoupes, pourquoi pas, mais pas plus.
Tu utilises quoi comme produits ? Type, ou marques ?
Tu recherches quel aspect final ?
Quel est ton mode d'application ? (Pistolet, à ce que je déduis de tes explications. Mais quel type ?)
Sinon, des pistes :
. Pistolet pneumatique basse pression, ou Airless (sans air)... Mais il s'agit plutôt de matériel plus accessible aux pros.
. Soit dos démontable, qui permet aux vapeurs de vernis de s'évacuer, de ne pas faire de "cul-de-sac" et les turbulences qui vont avec, lors de l'application.
. Soit masquage après montage (et donc après finition de l'intérieur) pour ne traiter que l'extérieur.
Tout dépend de combien c'est, "Sans se ruiner"...
Comme pour un achat de bois massif, qui n'est pas un produit standardisé, ni homogène, j'aurai tout de même plus confiance lors d'un achat, de visu, permettant de voir la qualité, éventuellement de choisir, qu'à un site de vente internet, pour ce genre de produit semi-fini.
Et pour du panneau en chêne massif, (ou autre bois, dis-tu) de belle qualité, collé, prêt à servir, ça ne peut qu'avoir un certain prix.
Tu trouveras peut-être, et tu auras plus la possibilité de choisir chez un négociant, et de plus belle qualité qu'en GSB. Mais là aussi, cette qualité aura un prix.
Ces racleurs ont pour utilité d'éviter le resserrement de certains bois, sur le corps de la lame. Resserrements qui peuvent, au pire, provoquer des rejets. Bois de forte épaisseur, nerveux, ou humides à verts, etc. Tous bois qui peuvent présenter ce risque, en fait.
C'est dans de tels cas que j'ai eu l'occasion d'en utiliser, et pour lesquels les fabricants les préconisent principalement.
Ces derniers mettent aussi en avant une meilleure évacuation des sciures, ou encore un état de surface plus utilisable directement, présentant moins de traces de lame, après coupe.