Tu recherches ce type de petite machine pour quel usage ?
Je pose cette question préalable, du fait que les machines dont tu donnes les références sont appelées "affleureuses", alors qu'une appellation du genre "copieuses" leur serait sans doute plus adaptée.
En effet, une affleureuse, telle que la connaissent beaucoup de menuisiers depuis longtemps, est une machine apparue avec l'utilisation des stratifiés (ce beaucoup appelaient alors "Formica", terme parfois devenu générique, pour ce genre de matériau).
Les affleureuses se sont alors répandues dans les ateliers, pour affleurer, plus rapidement qu'à la main, ces stratifiés, mais aussi des placages ou autres revêtements fins.
Mais il est important de préciser, et c'est là où je veux en venir, que ces affleureuses étaient toutes équipées d'un système de guidage indépendant de la fraise. Ces guides permettaient de régler précisément l'affleurage, selon les souhaits ou habitudes du menuisier. Tout en s'adaptant à la réduction de diamètre des fraises, lorsque celles-ci sont affutées.
Les affleureuses, telles que celles que tu montres, sont seulement équipées de fraises munies d'un roulement, et donc ne permettent pas ce genre de réglage ou rattrapage de diamètre. Si elles sont généralement plus légères et maniables que celles dont je parle, elles sont limitées dans la précision d'affleurage. Le système de guidage par roulement solidaire de la fraise, à d'autre part, l'inconvénient de parfois marquer la surface sur laquelle il prend appui, au démarrage ou si le roulement est HS. De telles fraises sont plus chères et d'une durée de vie plus courte.
Certaines des affleureuses avec fraises à galet sont bien fournies avec un guide parallèle fixe, qui permet d'utiliser des fraises sans roulement. Mais qui n'aura pas les mêmes possibilités et niveau de précision de guides à galet (indépendant de la fraise, donc) ou d'un guide de type patin pivotant, qui sont montées, tournent ou pivotent dans l'axe de la fraise.
Certains modèles en proposent des guides indépendants à galet. Mais les guides de type patin, (hormis sur certains modèles Festool... dans un tout autre budget), deviennent rares. Ces guides étaient pourtant loin d'être sans intérêt, pour suivre le plus précisément possible la surface de référence, tout en évitant les irrégularités en cas de surface d'appui irrégulières, ou matériaux (encore) brut, comme du CP ou aggloméré.
Voilà pour quelques réflexions sur les affleureuses, et leurs équipements possibles, et qui peut être, te seront utiles pour t'orienter vers un produit qui sera adapté à ce que tu recherches.
Et en bonus, comme j'avais 5mn, cet après-midi , j'ai fait quelques photos pour illustrer ce que sont ces guides
Tu es amateur ? Ou professionnel ?
Tu en poses beaucoup, des poignées ou boutons de portes/tiroirs ? Souvent ? Ou tu as l'intention d'en poser beaucoup à l'avenir ? Beaucoup de variété et perçages différents ?
Sinon, un bout de contreplaqué, un tasseau fixé pour servir de référence en haut des façades de tiroir ou chants verticaux de portes, tu y perces les perçages nécessaires, et tu t'en sers comme gabarit de perçage, pour toutes tes portes d'un même ouvrage.
Facile, rapide, par cher (avec des chutes, ça ne coûte même rien du tout)... Et la prochaine fois, pour un nouveau meuble ou ouvrage avec des poignées différentes, tu t'en refais un autre.
Et tu peux aller en chantier avec. Nul besoin de perceuse à colonne !
Bonjour.
C'est bien de poser sa question EN MAJUSCULES, mais il faudrait plutôt être plus clair et explicite... et en faisant des phrases, pour expliquer ce que tu recherches exactement.
S'agit-il, en parlant de "cale de réglage", de clinquant acier ?
Il me semble que cette machine (si c'est bien une C260, et pour avoir eu une similaire, il y a des années), se règle au moyen de vis, coté charnière d'ouverture, ou de boulons d'appui, de l'autre côté.
Mais comme tu ne nous donnes pas précisément le modèle, pas plus que l'année non plus...
Des entreprises de transport avec des ou même un seul véhicule, porteur ou semi, spécialisé dans ce type de transport de bois (plateau avec grue), je ne connais pas. En général, les camions adaptés appartiennent à des entreprises pour leur activité propre.
Même des camions avec chariot élévateur embarqué, il en existe quelques-uns, chez des transporteurs. Mais en général, c'est pour répondre à un ou plusieurs de leurs marchés récurrents et clients pour des transports très spécifiques. À noter d'autre part, que ces chariots embarqués ne sont pas adaptés à tous les terrains, suivant tes lieux de chargement et déchargement.
Si as de bonnes relations avec un négociant en bois, pourquoi par lui demander s'il aurait la possibilité de faire ton transport.
Sinon, une autre solution serait de faire appel à un affréteur, qui te trouvera un camion bâché sans problème, et sous un délai rapide. En termes de coût, ça sera la solution la plus économique. Après, il te restera tout de même à prévoir un moyen de levage au départ, puis à l'arrivée.
Juste une précision concernant la marque : ça n'est pas du LUREM. En tout pas la marque française LUREM fabriquée en Normandie, telle que beaucoup d'anciens, pros comme amateurs ont connue, ou possèdent et utilisent encore.
C'est une production, partiellement ou totalement chinoise, qu'on retrouvera sous plein de marques, qui ne font que poser leur nom dessus. (Leman, Jean l'Ebeniste, Bernardo... et plein de marques en "Holz" histoire de faire plus Deutsche Qualität).
Ceci dit, je ne me prononce pas, en disant cela, sur la qualité de toutes ces machines. Ni sur la puissance électrique.
De très bonnes infos t'ont été données pour la soulever et la déplacer.
Les tables de dégau, si tu démontes, il faut t'attendre à un remontage et des réglages fastidieux, si tu ne connais pas. Si tu soulèves ou sangles par ces tables, idem.
Par contre, chariot de scie, entraineur, table de mortaiseuse s'il y en a une, peuvent être démontés et remontés sans trop de risques.
Pour le prix, difficile de se prononcer sans l'avoir vue et vérifié l'état, le fonctionnement mécanique et électrique, les rotations, roulements, l'usure, etc.
À noter qu'il y a quand même une table de sciage (et tenonnage ?), un entraineur (plutôt rare, sur une combinée).
L'outillage, s'il y a quantité et variété, il faut tout de même savoir que la plupart des fraises sont interdites à la vente aujourd'hui. Pour les moins anciennes, elles sont d'ailleurs marquées "MAN" (pour amenage manuel), ou "MEC" (pour amenage mécanique). S'il n'y a rien de gravé, la plupart ne peuvent être classées que comme "MEC", donc à utiliser avec entraineur exclusivement... si tu veux limiter les risques et selon ton expérience.
Mais si elle est en bon état de fonctionnement, sans trop d'usure et frais futurs visibles, entre 2000 et 3000€ (fourchette volontairement large), paraitrait raisonnable.
Il est normal que pour des losanges tels qu'orienté ici, la fraise couche le fil d'un côté (autant coté gauche en opposition, que coté droit en avalant), et le relève de l'autre (des deux cotés).
S'il était possible, pour le sens qui pose problème, de travailler avec un sens de rotation inversé, avec une fraise également inversée, ça résoudrait le problème. Malheureusement, c'est impossible sur une défonceuse portative (ça l'est, sur certaines défonceuses stationnaires professionnelles, juste pour info)
Les solutions pour atténuer le phénomène :
- Vitesse de rotation adaptée à la fraise et son diamètre.
- Avoir une vitesse d'avance de la défonceuse, ni trop rapide, ni trop lente. Trop rapide, ça produit des éclats et arrachements. Trop lente, si ça fait moins d'éclats, ça n'est que temporaire. En effet, en avançant lentement, la fraise chauffera rapidement, et qui dit chauffe, dit désaffûtage rapide, et qui dit désaffûtage rapide... et ainsi de suite, c'est le cercle vicieux.
- Il est aussi possible de faire une première passe d'enlèvement de matière important. Puis une seconde où tu n'enlèves que les derniers dixièmes. Pour ce faire, placer sous la jauge de profondeur de ta défonceuse une cale de quelques dixièmes pour la première passe. Puis enlever cette cale pour la deuxième.
Puis une solution pour poncer les contrefils qui resteront :
Te faire une cale à poncer de forme adaptée, qui ponce des deux coté à la fois.
Oups, et j'oubliais le principal : Avoir une fraise fraiche d'affut, ou neuve !
Pas de nom que je connaisse à cette quincaillerie. Pas plus que de quincaillerie connue de cette forme précise, chez quelque fabricant ou revendeur. Il s'agit certainement d'une quincaillerie réalisée en quantités, spécifiquement pour un fabricant de mobilier de bureau/école.
Pour son appellation, ou si on devait lui trouver un nom, on pourrait proposer par exemple :
Un SECTEUR
Désolé de découvrir cette question très tard... mais si ça peut en éclairer d'autres :
Ces "agrafes", en photo, sont bien les ressorts de poussée que tu cherches.
La petite partie perpendiculaire vient se loger dans un perçage, au fond des gorges de fers, pour qu'ils ne se perdent pas, ou ne tombent pas, lors d'un changement de fer.
À l'autre extrémité, la partie droite la plus longue, vient faire levier de poussée, sous chaque fer, afin de le plaquer sous le dispositif ou gabarit de réglage des fers.
On les voit, ci-dessous, sur une vue éclatée d'une machine Lurem moins large, sur laquelle il y en a 2 par fers. La tienne, en 360, en aurait donc 3.
Tout dépend de ce que tu envisages d'y faire.
Après, quelques principes de base et remarques :
- En général, c'est par les scies (à format ou à ruban) que tout commence. Donc, au plus proche de la ou d'une porte d'accès.
- Pour la dégau/rabot, et à plus forte raison si on est limité en place, il peut être judicieux de la (les) placer face à une porte, ou alors une trappe, pour être moins limité en longueur. Cette remarque vaut aussi pour une toupie. Ceci dit, si une ou ces machines peuvent être mobiles, ça revient au même.
- Je me fais la même analyse que déjà évoquée, concernant l'établi. Idéalement, le mieux est de pouvoir tourner autour.
- Suivant ce que tu prévois d'y faire, il est préférable d'avoir une zone de montage à proximité immédiate de l'établi. Je trouve que la surface qui pourrait y être dédiée dans ton projet, c'est à l'opposé, la zone entre la scie à ruban et la mortaiseuse. Pas le plus pratique qui soit.
Peu de chance que tu retrouves un protecteur d'origine, en effet.
Mais sinon, j'y pense, tu viens d'acheter une combinée... J'imagine alors que tu es adepte du travail du bois (et dérivés), que tu souhaites imaginer par toi-même, faire tes propres croquis ou plans, puis créer de tes mains ?
Et bien, réaliser un protecteur pour ta scie pourrait être une très bonne occasion de t'exercer à tout cela, peut-être de créer ton premier objet. Rien de bien compliqué à cela.
Pour pouvoir te donner un avis, ou plus simplement pour toi pour définir ton projet, il faudrait lister tout ce que tu souhaites en faire.
Pour l'instant, hormis le format souhaité et le changeur d'outil, tout ce que tu nous dis c'est :
Idéalement je recherche une CNC 4 à 5 axes pour de la découpe de bois ( CP, MDF, aggloméré, massif )
Et bien déjà, pour de la découpe, une 3 axes est suffisante.
Autre remarque, la dimension du plateau est toujours plus grande que la dimension de travail.