Si c'est collé (et BIEN collé, évidemment) ça sera parfait (et à propos de colle, la vinylique suffit amplement).
Comme pour pas mal d'autres collages de bois massif, avec un sens de fil parallèle (dessus de meuble, plateau de table ou autre, grands panneaux massifs en général, etc), les lamellos (ou autre système d'entures, rainures et languette,domino, etc) n'ont pour seul intérêt que de permettre de bien guider les pièces, et assurer un bon affleurage, au moment du collage.
Si tu peux assurer ces impératifs sans lamello, aucun souci. Mais si ça t'aide, tu peux t'en servir. Mais pour la tenue du collage, une fois sec, aucune résistance supplémentaire à en attendre.
Le transfert en lui-même ne posera pas de problème. (Je me souviens avoir livré des meubles par temps très froids, ou aussi très chaud, humide... sans que ça ne pose le moindre problème). Le bois met tout de même un peu de temps à réagir aux conditions ambiantes.
Par contre, c'est par rapport aux conditions de ton atelier (dont on a parlé par ailleurs) qui peut poser problème.
Mais un transport de quelques kilomètres, même sans grande protection, rien à craindre.
Oups, il s'agit de transporter de ton atelier vers la maison !
Dans ce cas, les autres répondeurs t'ont déjà donné des pistes. Il faut le faire de façon progressive. Peut-être commencer par les entreposer dans un garage, si tu as. Et le laisser s'y stabiliser...
Bonjour.
Sa "remise en service", dis tu ? Mais après quoi ?
J'imagine que si tu envisages un rebobinage, c'est que tu as bien vérifié que la panne ne venait pas d'ailleurs, en amont, au préalable.
Mais 1000€, ça me parait tout de même énorme !
Il y a 2 ans, j'avais changé un moteur de toupie par un neuf, trouvé ici, pour moins de 350€. Et il y a certainement d'autres vendeurs du même genre.
Haffner était un fabricant allemand de machines à bois et accessoires très réputé, chez les menuisiers, jusqu'aux années 80, 90, puis qui a décliné et a fini par disparaitre début des années 2010.
Ici, un catalogue de leurs productions, datant de 2000.
On trouvait dans beaucoup d'ateliers, entre autres choses, beaucoup d'entraineurs de toupie de cette marque, très appréciés, notamment pour leurs variateurs, et leur robustesse. Il s'y trouvait aussi pas mal d'électro-portatif de cette marque, qui était d'ailleurs une référence, chez les menuisiers. (ce qu'est devenu plus tard la marque ELU, puis ensuite FESTO, devenu plus tard FESTOOL).... On en trouve encore plein, sur LBC !
Aujourd'hui, le nom HAFFNER subsiste encore, mais sans doute, et un peu à la manière de LUREM, il s'agit d'une autre boite (américaine) qui a racheté le nom, juste pour bénéficier de sa réputation passée. Et en récupérant du même coup de quelques brevets, j'imagine. Leurs productions actuelles sont plus particulièrement orientées sur des machines pour production de menuiserie alu ou PVC, il me semble.
Rien d'étonnant à ce que tu n'obtiennes aucune réponse, donc.
Sur ta machine, il doit bien y avoir une plaque, quelque part ?
Sinon, je dirais que ça date des années 70 ou 80. On voyait quelques-unes de ces scies verticales, dans des ateliers, mais encore plus dans les magasins de bricolage, à l'époque.
Tout d'abord, il eut été intéressant de mettre le lien de la source d'où vient l'image que tu nous montres.
Pour répondre à ta question, il existe une boite italienne du nom d'ALPI qui est connue pour ce genre de choses. Ils ont à la base une gamme de produits standards, le plus connu et diffusé étant "ALPIlignum".
Ils sont spécialisés dans divers produits à base de placages, teintés dans la masse. Mais ils ont aussi, ou fabriquent à la demande, des produits, toujours avec à la base ces mêmes placages teintés, recollés, puis une nouvelle fois tranchés pour former des motifs originaux, ou alors des massifs lamellé collé.
Mais c'est souvent à la demande d'architectes ou de designers, que sont prescrits, puis commandés et fabriqués ces produits, en particulier pour les produits en "massif" reconstitués, à chaque fois originaux.
À noter que, un peu comme pour le panneau que tu montres, il peut parfois s'agir de panneaux revêtus d'un de leurs placages sur le plat, mais également sur les chants en bouts, avec le fil du placage qui suit parfaitement, ce qui peut donner l'illusion d'être du massif.
Pour ces massifs reconstitués, c'est dans la gamme "Massello (Massif) ALPItav". Mais il n'y a aucun produit visible, car comme ils l'annoncent : "È la versione massello disponibile su richiesta per tutti legni ALPI" (C'est la version massive disponible sur demande pour tous les bois ALPI.)
Quelques exemples, en images ci-dessous, de ce qu'ils font (et pour la dernière image, des pièces en massifs reconstitués)
Le frêne n'est pas le bois le moins nerveux qui soit.
Mais aussi :
ATTENTION à la recherche absolue de "bois sec" !
Cette quête me semble être devenue un mantra, un graal, pour beaucoup d'amateurs ou d'ex-amateurs devenus pros. Sauf que ça n'est pas juste du bois "le plus sec possible", qu'il faut avoir pour éviter les soucis de déformation, après fabrication.
Un bois sous les 10% peut même être contre-productif, et risqué.
Le bois étant hygroscopique, il trouvera son hygrométrie d'équilibre, par rapport l'endroit où il sera placé, et suivant l'hygrométrie ambiante et la température des lieux. Un bois qui serait trop sec reprendra de l'humidité et se déformera. De la même manière qu'un bois qui serait trop humide.
Un ouvrage en bois devra donc être donc d'une hygrométrie proche de celle qui sera son hygrométrie d'équilibre, dans l'endroit où il sera placé, dès sa fabrication.
À savoir aussi que l'hygrométrie ambiante varie, suivant les régions (ainsi que les saisons).
Concernant la colle, je vais reprendre un commentaire, que curieusement, je viens juste de faire à une autre question sur l'ADB, et commentaire que je fais souvent d'ailleurs :
contrairement à ce que beaucoup se sont laissé mettre dans la tête par plusieurs "influenceur-menuisiers" sur Youtube, la colle PU pour des travaux intérieur n'a aucun intérêt !
La colle vinylique à d'ailleurs une résistance plus importante que la PU.
Et dans le même esprit, la colle PU qui aurait pour intérêt de boucher les jeux ou interstices des assemblages, c'est vrai qu'elle bouche, en gonflant. Mais ça n'apporte rien, en termes de résistance.
EDIT : Sur le sujet de l'hygrométrie d'équilibre, je viens de découvrir ça sur l'ADB, par sylvainlefrancomtois :
Un montant, rajouté sur chaque côté, en bas. Plus une équerre escamotable du genre de celles en image ci-dessous, qui vient s'y fixer (ça existe jusqu'à 600 de profondeur).
Et si nécessaire, des traverses de renfort, ou alors carrément un cadre, pour rigidifier le panneau relevable, si celui-ci est trop souple.
Tu veux une trappe d'accès aux branchements LV et SL. OK
Mais pourquoi vouloir y faire une boite sous cette trappe qui ne sera pas souvent ouverte, qui donc au mieux ne servira que de "range-m...e" pour des trucs rarement utilisés, puisque peu accessible. Et qui sera donc encombrée, quand il y aura besoin d'accéder aux branchements.
Boite qui, dans une telle pièce, peut un jour être exposée, ou à de l'humidité, voire des écoulements d'eau
- Parce que c'est "moche", dis-tu ? Mais si ça n'est pas visible, et peu accessible, ouvert qu'en cas de besoin...
Voilà pour quelques réflexions, qui ne sont que les miennes, sur le bien fondé d'y rajouter une boite. Mais passons si c'est ton choix.
Par contre, dans tout ton descriptif, je suis resté bloqué à ton histoire de "cadre en douglas de 22mm de large". Je ne vois pas ce que ça peut être, où ça devrait être...
Donc, avant de plus amples informations sur ce point, je dirais qu'il est possible de faire ça :
Réaliser une feuillure en périphérie de la trappe.
Ajouter un tasseau formant feuillure d'appui en périphérie de la découpe.
. Comme souhaité, rien ne dépasse en dessous. C'est affleurant dessus...
Si tu persistes sur ton idée de boite, il faudrait alors faire en sorte que celle-ci repose sur un tasseau moins haut que celui représenté, puis que la trappe y soit posée, avec une feuillure plus haute et plus large.
Ce genre de chose ?
Sauf que ça se met avec une agrafeuse spécifique. Je n'ai jamais vu qu'il en existait à mettre au marteau, mais peut-être que ça existe. Ou qu'il reste possible de mettre celles-là au marteau. Attention aux doigts
Déjà, au titre de la garantie légale de conformité, tu peux demander à ton vendeur, sinon un échange, au moins une réduction, sur le prix. Il faut le savoir.
Ensuite, sans gros plan, difficile de dire comment il est monté, et donc se démonte. Mais il est très certainement démontable, car c'est un élément mécanique standard qui est vendu un peu partout.
En recherchant sur internet, ou ici, en indiquant le diamètre de filetage (en "M", 10, 12 ou autre) tu trouveras de quoi la remplacer rapidement, et sans doute pour moins cher qu'en passant par le constructeur ou revendeur.
Bonjour. Comme ta question ne semble pas attirer les réponses, je me lance
Si tu nous disais plus précisément ce que tu recherches à faire, ce que tu souhaites comme esthétique ou mode de construction particulier, matériaux différents, quelqu'un pourrait peut-être t'apporter quelque réponse.
Là, d'après les quelques vues que tu nous montres, sans exposer tes éventuelles envies ou choix, si c'est juste pour faire un meuble de salle de bain, sans autre contrainte ou exigence, tu peux en effet te dire :
j'ai un peu l'impression que je me suis compliqué la vie inutilement et qu'il serait possible de faire plus propre et de rendre la réalisation moins difficile
La règle est simple : Parfaitement symétrique à partir de l'axe du matériau ou complexe constitué, que ce soit concernant les différents composants de celui-ci, matériaux, bois dureté, épaisseurs, densité, mais aussi colles, vernis, revêtements ou autres produits qu'on y rajoute.
De cette manière, on obtient un complexe équilibré.
Ici, ça ne sera pas le cas. Déformation assurée (sauf à être solidement maintenu par une structure... et encore)
PS Coller à l'époxy n'y changera rien... et est parfaitement inutile, pour coller quelque bois que ce soit. La colle vinylique est amplement suffisante pour des ouvrages intérieurs, contrairement à ce que beaucoup croient, à force d'écouter certains "menuisiers influenceurs" sur Youtube. Et la PU, ça n'a d'utilité que pour des travaux extérieurs.
Pas de réponse à ma question sur ce que serait l'utilité de ce fer plat. Et déjà des remerciements !?
Fixation pour un piètement ?
Ou alors, comme souvent, un prétendu raidisseur pour éviter d'éventuels tuilages ?
Si c'est la seconde hypothèse, comme souvent dit ici, et comme le disent les autres répondeurs, aucun intérêt :
1) Si on veut éviter qu'un tel plateau tuile, on utilise du bois sec. Un point, c'est tout.
2) Pour fixer un tel plat, il faudrait donc le visser dans le plateau de 20mm. Mais des vis avec si peu de prise n'auraient aucune résistance à l'arrachement.
3) Concernant la solution de l'encastrer... Soit de 8mm dans 20mm, cela signifierait qu'il ne resterait 12mm !
Par contre, j'extrapole un peu, mais je serais curieux de savoir comment est constitué ton plateau, en particulier la "bordure" de 45mm.
Fait-elle toute la périphérie du plateau en 20mm ? Ou uniquement les 2 cotés, parallèles au sens du fil ?
Est-ce un cadre indépendant, dans lequel le plateau est monté en rainure/languette ? (et peut donc travailler librement)
Ou alors est-ce une alaise collée sur toute la périphérie du panneau central en 20mm ?
Parce que si c'est la dernière option, ça risque de mal vieillir !
Dommage de partir sans nous avoir donné si peu de détail...
L'affûtage des lames, à fortiori au carbure, requiert précision et constance des différents paramètres à respecter sur chaque dent d'une lame, ainsi que sur l'anti-recul (ou limiteur de passe). Les professionnels équipés de matériel sérieux, d'affûtage, de mesure et de contrôle sont à même de vérifier (et rectifier au besoin) avec grande précision, l'équilibrage, la planéité, une éventuelle dent cassée d'une lame, etc.
Une machine à quelques 150, 200 ou 300€ est loin d'avoir ces capacités !
Au mieux, avec ce genre de machines à bas prix, on sera capable d'améliorer la capacité de coupe d'une lame bien désaffutée, mais au risque d'avoir une lame déséquilibrée, qui broute (ou qui ne coupe plus), qui n'aura plus la précision et qualité de coupe qu'on pourrait en attendre... voire qu'on rendrait dangereuse.
Voilà !