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Medalegno
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Nous avons fait fabriquer par un menuisier une table en chêne tout en conservant l’aubier pour garder la courbe naturelle du bois !
On savait qu’il allait comporter des défauts (normal c’est la nature même de l’aubier et du bois)

Après une telle introduction, je ne comprends même pas votre question.

PS. Pour moi, et tel que j'ai appris à travailler, conserver l'aubier dans du chêne est en soi, un défaut.

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Medalegno

Il s'agit bien d'une porte intérieure, que tu souhaites fabriquer ?
Que tu feras donc avec du bois sec, je suppose... ou j'espère.🤔

Les remontées de tanin se révèlent au contact de l'humidité, que celle-ci vienne de l'intérieur ou de l'extérieur du bois.

Si on évite les finitions à l'eau, "aqua", "hydro", "acrylique", etc, si cette porte n'est pas exposée à l'humidité, des projections d'eau ou remontée par un sol humide (et, je le reprécise, réalisée en bois sec), aucune raison que des remontées de tanin y apparaissent.
😉

Medalegno
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Je réponds, non pas en tant qu'ancien stagiaire ayant suivi une telle formation, mais en tant qu'ancien accueillant et encadrant de ces stagiaires, (entre autres), au gré de mes passages, à moi, dans plusieurs entreprises.

J'ai un penchant, pour les formations "Compagnons", mais pas grand-chose "contre" les autres (Greta, Afpa), pour autant.
Ça reste des formations qui sont très courtes, rapides, minimales, par rapport à des formations classiques en 2 ou 3 ans (ou même plus), à la sortie du collège.
Mais c'est la "règle", dans ces formations de reconversion.

Je dirais que peu importe la formation que tu choisiras, ou qui te sera accessible, le meilleur conseil que je puisse te donner, c'est de compléter cette formation de base, avec des stages dans plusieurs entreprises différentes, aux spécialités diverses, variées en effectifs, etc.
J'ai souvent vu des stagiaires qui, étant venus dans les entreprises où je suis passé, voulaient revenir pour des stages suivants parce qu'ils s'y étaient plu, et/ou qu'ils nous avaient plu. Systématiquement, je leur conseillais "d'aller voir ailleurs", pour ces raisons que j'évoque, et aussi pour laisser la même chance aux autres candidats de venir chez nous et découvrir nos spécificités.

En multipliant ces découvertes et expériences, tu découvriras les différentes spécialités, structures, organisations, et surtout les différentes façons de faire, et là, tu peux y apprendre beaucoup... Et c'est même de cette manière, que tu en apprendras le plus !

Même conseil, une fois au travail. Il est aussi souhaitable de varier les entreprises, toujours dans cet objectif de découvrir au plus large, et de se construire son expérience. Même si je sais que, dans la période actuelle, quand on a une place, on préfère plutôt la garder, par sécurité.
Mais l'avantage, c'est qu'il y a de l'offre, dans le métier, et donc des occasions de changer, aujourd'hui, pour qui montre qu'il est motivé.

Bonne continuation ! 😉

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par kevinl il y a 27 jours
Medalegno
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Bonjour.
Qu'est-ce que tu entends par "planches en chêne de 27mm d'épaisseur et de 20cm de large" ?
C'est du raboté, à cette section ?
C'est du lamellé/abouté, ou alors débité dans des plateaux massif tel quel ?

. Si c'est du massif, attention à la façon dont il a été débité, à ce que ça ne soit pas trop susceptible de déformations, déjà.

Il y a un dos, sur ton meuble ? C'est quand même un beau morceau à tenir d'équerre !

Que représente la seconde vue, à droite ?

En dehors de ces questions et mise en garde :

. Pour ce qui est de l'épaisseur, ça ne devrait pas craindre grand chose, sur le plan du risque de fléchissement en chêne de 27mm, et la plus grande portée étant de 750.

. Pour tous tes assemblages, tu vas en avoir beaucoup à réaliser, plus le collage de tes deux largeurs de 200 pour constituer la largeur finale de 400.
Tu es débutant, dis-tu. Je ne sais pas comment tu es équipé, mais ça serait l'occasion de t'équiper d'une Lamello de qualité correcte, qui te servirait dans les 2 cas.
Les tourillons, ça serait sacrément fastidieux et pas forcément très précis, suivant comment tu t'y prends. Et les vis en biais, si tu veux faire un truc propre, faut oublier.
😉

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Medalegno
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Le bois de noyer (brut, entendons-nous bien. Car beaucoup de mobiliers en noyer sont tentés foncés) peut avoir une palette de couleurs assez large.
Du beige un peu grisâtre pour le plus clair, jusqu'au brun chocolat assez foncé.
Mais il peut aussi virer au rosé, et même au violet, en effet. Cette teinte violette est surtout assez fréquente sur le noyer US. Il est probable que ton morceau très violet, en soit. C'est une planche avivée ?
Par contre, l'aubier est assez peu différenciable.

Ah si, détail important. Comme tu peux le constater sur ta planche brute, elle n'a pas cette couleur. Le violet s'estompant, à la lumière.
😉

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Medalegno
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Dans un cas comme celui là, cherche avec Google Image :
Et voici le résultat !
😉

Edit : Bon, ça ne semble pas fonctionner, le lien.
Sinon :
. Copier le lien de l'image
. Aller dans Google et coller le lien après avoir cliqué sur l'icône appareil photo, à droite du champ de recherche.
Et ça donne ça ⬇

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Medalegno

Tu as cette machine depuis longtemps ? Ou tu l'as achetée d'occasion avec le problème ? Ou alors c'est apparu subitement ?

À ce que je comprends, d'après les photos (merci d'en avoir communiqué, et suffisamment visibles pour comprendre le souci, au passage !), ce sont les deux pièces en demi-lune, qui viennent se serrer sur une autre pièce solidaire du bâti.

Ces 2 pièces sont boulonnées sous la table. Peut-être qu'en desserrant les deux boulons d'une de ces 2 demi-lunes, ensuite tu viens serrer avec ta poignée, et enfin tu resserres les deux boulons.

De cette manière, tu auras rattrapé le jeu qui s'est installé. Car il est improbable que ces pièces se soient usées, c'est de la fonte, et elles ne sont que peu mises en mouvement.
😉

Medalegno

Plonger avec une fraise à copier, c'est dire équipée d'un roulement, signifie que ce roulement descendra également progressivement, et donc ne sera pas en mesure de copier ton gabarit, en toutes positions.

Le faire avec une bague à copier eut été plus simple. Sauf qu'avec les intervalles restant entre les parties découpées, et tenant compte de la différence de diamètre indispensable entre celui de la fraise, et celui de la bague, il ne te restera que très peu de matière, sur ton gabarit.

L'option défonceuse à commande numérique est une solution, mais peut-être pas simple d'accès pour toi. Mais je le disais juste pour info, une telle machine peut le faire, sans difficulté. (j'en connais même tout près de chez toi 😉)

À noter tout de même qu'avec toute solution avec un outil de défonceuse, portative ou numérique, tous les angles (arrondis) resteront tout de même à finir avec un autre outil, à main ou scie sauteuse.

Reste la solution comme celle de ton modèle : "entièrement sculptée à la main".

Sinon, il y a la solution scie sauteuse. Il y a quelques heures de travail, mais ça se fait.
😉

Medalegno
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12 pièces, en châtaignier, 3m de long par 100 x 110.

La scie à ruban pourrait être une possibilité. Mais pas seul, mais pas simple de parfaitement synchroniser les gestes de celui (celle) qui portera l'autre bout à 3 mètres !

Un peu dans le même esprit, l'outil idéal, le plus facile et rapide serait la scie à ruban portative, du genre de ce que fait Mafell... Mais il te faudrait pouvoir l'emprunter quelque part, à un charpentier, car ça n'est pas donné, surtout pour un seul chantier.

Une autre solution pourrait être de te faire un montage, pour te permettre de le faire à la scie circulaire portative, un peu à la manière dont on fait des profils concaves, mais plus habituellement sur une scie circulaire fixe. Un exemple ici.
Moins rapide qu'avec une scie à ruban (fixe ou portative), ici tu auras un profilage parfaitement régulier, même s'il restera bien sûr, un peu de ponçage derrière.
Et il te restera le refouillé, si tu fais le même profil que ta photo. Mais qui peut être ébauché, ou à la scie circulaire, ou à la défonceuse, avant de parfaire la forme à la râpe. Mais arrivé là, ça ne sera plus grand-chose !
😉

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Medalegno
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La Mirka Deros est sans doute le meilleur produit du genre sur le marché, aujourd'hui... mais pas donné.
Pour en avoir testé, acheté puis utilisé lorsque j'étais encore en activité (ce qui n'est plus le cas depuis quelques mois), la Mirka est sans doute la machine la plus performante, la mieux équilibrée en main, légère, pratique, etc. (A moins qu'il n'y ait d'autres concurrents, qui soient arrivés, mais il ne me semble pas).
Mais cherchant à m'équiper d'une bonne ponceuse, il y a 2 ans en vue de ma retraite (avant, j'accédais plus facilement au matériel de ma boite), j'ai opté pour la Menzer ETS 150, bien moins chère.

La Menzer est une alternative plus économique à la Mirka. Tu peux d'ailleurs aussi la trouver à l'identique sous plein d'autres marques, et d'autres couleurs... mais à peu de chose près au même prix. C'est du chinois, malgré le fait que la boite importatrice soit allemande... comme plein d'autres matériels aujourd'hui.
Elle est assez légère (à peine plus lourde que la Mirka, mais beaucoup moins que les Festool), mais tout de même un poil moins facile en main, moins bien équilibrée, par rapport à la Mirka.

Le principal défaut que je lui trouve, surtout après avoir utilisé des anneés Festool, puis Mirka, c'est de ne pas avoir de frein électrique. En tant que pro, je m'y étais bien habitué. Mais si tu n'as jamais eu de telle ponceuse, peut-être t'y feras-tu plus naturellement (je m'y adapte aussi, ceci dit. J'ai plus de temps aujourd'hui !😄)

Je la trouve aussi pénible concernant le déclenchement de l'aspirateur, sur lequel elle est branchée. Du fait de son système électronique, le démarrage se déclenche bien en simultané... mais par contre, ça ne détecte pas l'arrêt. Je n'avais pas ce problème, avec la Mirka branchée sur un aspirateur Festool (ce que je n'ai pas dans mon matériel perso).

J'ai aussi dû bidouiller un embout pour pouvoir y brancher l'aspiration. Je trouve que l'aspiration est moins efficace que les Festool ou Mirka (mais peut-être est-ce dû à mon aspirateur).

Sinon, quelques conseils généraux :

. Vérifier à ce que l'oscillation de 5 soit ce qui te convient le mieux. Il en existe depuis 2,5 jusqu'à 5, généralement (Mirka allant jusqu'à 8 !). Les plus basses oscillations étant plus adaptées pour des travaux fins, les plus grandes pour du gros ponçage rapide ou travaux de décapage... (Enfin, pour du décapage, je ne conseillerais pas d'acheter une Mirka (qui elle, va jusqu'à 8), mais quelque chose de bien plus économique !)

. Il est recommandé de mettre une interface Velcro, sous le plateau. En cas d'usure, c'est du consommable, et bien moins cher à changer qu'un plateau entier.
😉

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Medalegno
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Non ! Un placage bois ne contrebalancera pas un stratifié, et vice versa. À plus forte raison, sur un grand format, et même sur un CP de 35mm. Que ces revêtements aient une épaisseur identique n'y changera rien, ça n'est pas une histoire d'épaisseur.

Je ne sais pas quel est ton parement, entre le stratifié ou le "placage souple" (genre Bilegno, Finflex, Decoflex, ou similaire, j'imagine, sous cette appellation), ni où tu l'achètes. Mais tu constateras que chaque fabricant proposera un contrebalancement adapté et spécifique à son produit, parfois d'un décor ou finition moins qualitative ou noble, mais aussi moins cher, son rôle étant uniquement d'assurer l'équilibrage.
😉

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Medalegno

Je ne suis pas bricoleuse, je ne sais donc pas quel système installer à la place pour pouvoir utiliser l’abattant. Est-ce que vous auriez des conseils à me donner ?

Bonjour. Posée comme cela, la meilleure réponse qu'il soit possible de donner à cette question, c'est de te faire aider par quelqu'un qui soit un minimum bricoleur.

Il semble qu'il s'agisse ici d'un système de pivot. Mais il faudrait démonter l'abattant pour voir précisément de quel type il s'agit, comment il est monté, s'il est toujours complet, etc. Évaluer aussi par quoi on peut le remplacer, si ce modèle ne se fait plus, et comment l'adapter au mieux. Peut-être que ça nécessitera de nouvelles entailles, et même des rebouchages pour éliminer les anciennes et repartir d'une base plus propre et solide.

Il semble, d'autre part, que cet abattant ait par le passé reçu un système (ou peut-être plusieurs, successivement) de compas, pour en limiter l'ouverture. Différentes traces et perçages le révèlent. Mais là aussi, il faudrait que quelqu'un puisse te faire une réparation sérieuse et durable... ce qui manifestement, n'a pas toujours été le cas par le passé.

Voilà, désolé de ne pouvoir t'aider plus, mais il est difficile de t'apporter une solution simple, à fortiori si tu n'es pas bricoleuse.
Bonne continuation, et bonne chance dans tes recherches.
😉

Medalegno
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Bonjour Thierry, et bravo et merci pour ta présentation, en arrivant ici (c'est assez rare pour être signalé !).

Pour le fait de t'inscrire ici, en tant que retraité, ne t'inquiète pas, tu es loin d'être le seul à y venir à cette occasion... J'en fais moi-même partie (depuis quelques mois).🧙‍♂️ 👍
Bon, à la différence que pour ma part, j'ai passé une très grande partie de ma carrière dans le bois ou des métiers en rapport direct, en y rajoutant aussi pas mal de temps de découverte, durant ma jeunesse, auparavant.

Pour autant, je ne me suis réellement et sérieusement mis au tournage qu'il y a à peu près un an et demi, car je n'avais qu'à peine approché, et peu pratiqué durant mon activité professionnelle, ce domaine.
Je peux donc dire que je découvrais aussi (je découvre d'ailleurs encore), le tournage. Cette spécialité nécessitant, malgré ce qu'on pourrait croire, d'apprendre plein de choses nouvelles, même si on connaît bien le bois et les façons habituelles de l'usiner dans les métiers du bois.
La première venant du fait qu'ici, ça n'est plus un outil en rotation à haute vitesse qui vient usiner le bois, mais c'est cette fois le bois qui est en rotation (parfois à une vitesse conditionnée par son diamètre ou son équilibrage, d'ailleurs), face à un outil fixe.

Mais il y a bien d'autres choses à découvrir et expérimenter, sur le bois en lui-même déjà, ainsi que concernant son hygrométrie, spécifiquement dans le cadre du tournage. Mais aussi pour trouver, mettre au point diverses techniques, phasages d'opérations, gabarits, supports, outils spécifiques, montages particuliers à un type de tournage... Le domaine est infini.
.../...

(Mais, j'arrête temporairement là. Je me rends compte que j'ai beaucoup à dire, sur cette question, et pas trop de temps, maintenant. Ben oui, même en tant que retraité, je n'ai pas que rien, à faire.😅
Je vais essayer de compléter ce soir, ou au pire demain)
🤨

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par Wolfie il y a 1 mois
Medalegno

Avec la photo que tu nous donnes, ça peut être plein de choses. Difficile de discerner ce que ça peut être.

La seule chose qu'on puisse en déduire, c'est que cet éclat (s'il n'y a que celui-là) est relativement petit... et qu'en conséquence, ça peut aussi se réparer avec plein de choses, sans que ça ne se voie.
Sauf à refaire entièrement le placage de ce meuble, je ne crois pas qu'aller chez un fournisseur spécialisé, qui ne te proposera qu'un paquet entier, soit la formule la plus adaptée.
😉

Medalegno
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Les charnières vendues chez Ikea, sont des charnières Blum, donc compatibles avec les standards du "System 32".
Des tas de gabarits existent, soit déjà équipés d'une fraise de 35, soit de simples gabarits de traçage. Ceux-là, par exemple, assez complets pour différents perçages, semble-t-il.

Aucun problème à les utiliser dans du massif.
Par contre, tes portes en massif ne font que 14 ou 15mm d'épaisseur ? (ces charnières se perçant à 13)
😉

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Medalegno
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C'est tout-à fait possible de la faire avec des panneaux massifs, sans jeu (ou presque), dans un encadrement massif, y compris avec des traverses intermédiaires.

1ère condition de réussite (et condition essentielle !) : partir de bois sec, et au plus proche de ce que sera son hygrométrie d'équilibre, là où elle sera.

Ensuite, il faut prévoir les panneaux, quelques dixièmes plus grands que chaque "cadre" ou il doit venir s'insérer. Dégraisser ensuite de 1mm en retrait de l'arasement en pourtour de chaque panneau, de manière à ce que seule une partie de 3mm vienne faire contact avec la structure d'encadrement.

Assembler le tout, avec des serre-joints dormant, de façon à bien faire joindre les assemblages tenon/mortaise. Là, les dormants sont indispensables, pour pouvoir forcer les jonctions de panneaux à légèrement s'écraser en périphérie.

Des tables réalisées de cette manière, j'en ai fait un certain nombre. Et si les conditions, en particulier la première, sont respectées, le retrait dans le temps est minime.
😉

Schéma de l'assemblage ci-dessous ⬇

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