170 réponses
Medalegno
( Modifié )

Contrebalancé ? Sur le principe, oui. Mais dans quelques cas très précis, et rares, ça peut ne pas être indispensable.

"une colonne de 35 cm de profondeur" nous dis-tu... Mais le reste ?

Hauteur, largeur ?
Du frêne, mais quel type ? Placage jointé ou autre feuille type contre-collé ? De quelle épaisseur ?

Comment est faite la colonne à l'intérieur ?
Comment est-elle fixée à... ce à quoi elle doit l'être ?
😉

Mis à jour
Medalegno
( Modifié )

Sur un endroit pas très vu, et, ce qui à la fois sera un avantage, car peu abîmé, tu approches la flamme d'un briquet.
Pas besoin de trop insister, hein ! 🔥

L'odeur de cire sera remarquable rapidement, et la surface deviendra plus glissante.

Pour l'huile, sur des chaises de cet âge, je doute. D'autant plus que ça n'est pas le plus recommandé, toujours parce qu'il s'agit de chaises. Mais l'odeur d'huile qui crame se reconnait aussi.

Le vernis sera le plus long à réagir... mais dégagera une odeur âcre, lorsque ce sera le cas. Mais là, tu arrêtes tour de suite !!!

Tu peux aussi faire ces essais, en recueillant dans un récipient en métal ou verre, quelques "pellicules", en raclant la surface. Puis tu testes à l'écart.
😉

Mis à jour
Medalegno
( Modifié )

Bonjour. Je vois que personne ne te répond. Je vais m'y atteler, alors !😀

Je lis que ça sera une porte de communication entre une habitation et un garage. Tu as donc besoin d'un minimum d'étanchéité, je suppose ?

L'option 2 est tout-à possible, puisqu'il me semble comprendre que c'est celle qui te conviendrait le mieux.
Il faudra, dans ce cas, faire (ou faire faire, si tu n'en as pas la possibilité ou les outils) des ferrures déportées, et renforcées, pour atteindre le décalage souhaité.
Afin de compenser la poussée que provoquera le décalage du centre de gravité, des galets de guidage, en partie basse, seront nécessaires.
Pour atténuer le poids de la porte, il est possible de faire un système de roulette d'appui, en bas.
Dans cette situation, j'imagine, par exemple, une roulette fixée au sol, et qui viendrait rouler dans une rainure pratiquée dans le chant inférieur de la porte, afin de l'y cacher (et aussi de guider, accessoirement).
Si l'épaisseur de la porte seule n'est pas suffisante pour la rainure, tu peux y rapporter une plinthe, en surépaisseur.

Mais une autre solution est possible. Je ne sais pas si tu y as pensé, ou alors déjà écartée.
Elle consisterait à laisser le rail coté renfoncement de la cloison, sur la poutre comme dans ta solution 2. Mais laisser la porte suspendue à l'aplomb de ce rail. Mais aussi rapporter de part d'autre de ton ouverture, 2 montants en bois, pour fermer l'espace entre la poutre et le mur.

Pour un minimum d'étanchéité, et tenant compte de tes surfaces irrégulières, des joints balais peuvent être une solution, quel que soit le montage retenu.
Mais il est également possible de faire mieux. Ça sera juste un peu plus compliqué, et plus exigeant pour ce qui concerne la précision et les jeux à laisser. Mais c'est faisable.
😉

Mis à jour
par Baudet il y a 18 jours
Medalegno
( Modifié )

Je suis passé par là, il y a deux ans... Et même en tant que professionnel du bois (ancien, depuis quelques mois), c'est vraiment une toute autre spécialité.
Il faut oublier pas mal de façon d'aborder l'usinage du bois, lorsqu'on débute en tournage. D'abord parce que ça n'est plus un outil coupant en rotation qui coupe le bois, mais cette fois, c'est le bois qui est en rotation, face à un outil fixe.
Ça oblige aussi à trouver plein de techniques, de manières de faire, de montages adaptés à diverses situations, d'astuces...

Il y a une revue chez BLB Bois. Et des hors séries. Mais tu peux aussi acheter indépendamment chaque ancien numéro.

Il y a aussi des vidéos Youtube. Ça permet déjà de voir, et avoir quelques notions de base, pour commencer. (On est toujours impatient, de commencer, ou d'utiliser un nouvel outil !)

Bon, sur Youtube, il y a vraiment en quantité, de ces vidéos sur le thème du tournage.
Et il y a aussi à boire et à manger ! Notamment des vidéos faites parfois par des gens qui apprennent eux-même, en même temps qu'ils cherchent à transmettre... des techniques ou savoir faire, qu'ils ne connaissent qu'à peine, voire pas du tout ! Bref, pas toujours très intéressant.

Je te fais ici, une petite sélection très courte de chaines Youtube ou de vidéos, réellement utiles, je pense, pour apprendre quelque chose, et les bonnes façons de faire, au moins pour débuter.
John Rander. Malgré son nom, (et son origine, américaine il me semble), il est installé en France !

La Maison du tournage : Initiation au tournage sur bois : Utilisation de la gouge à dégrossir.

Bonne découverte !
😉

Mis à jour
Medalegno

Une vis ? (qui se monte et se démonte. Mais dont la tête reste apparente)

Un petit coin en bois, par-dessous dans l'emmanchement ? (qui s'auto-bloque, quand ça descend. Se débloque quand on remonte la "bague". Et plus discret qu'une vis)
😉

Medalegno

Problème sans doute dû à un problème, au moment du séchage du bois. Je l'expliquais d'ailleurs ici, même si l'essence de bois et les effets sont différents.
Phénomène de plus en plus courant aujourd'hui, malheureusement (faut aller vite, de plus en plus vite. Y compris pour le séchage !).

Ça peut s'atténuer légèrement avec le temps, mais c'est vrai que sur un ouvrage neuf, ça peut être décevant.
Pour ma part, quand ça m'arrive, je fais une légère retouche de teinte, pour égaliser et atténuer ces variations. Mais il faut le faire avant finition, sur le bois brut.

À voir, si ton fournisseur sait le faire... mais il est vrai que ce sont généralement des poseurs qui interviennent chez les clients, pas forcément habitués à ce genre de reprise. Pour des interventions de ce style, il me fallait d'ailleurs souvent y aller moi-même.

Mais ce qu'il faut retenir, c'est qu'une reprise est tout à fait possible. Ça nécessite de décaper/poncer totalement le vernis sur les faces concernées. Faire la retouche, puis revernir. Mais tout dépend de ce qu'est ton fournisseur, simple revendeur et poseur de menuiseries, ou alors fabricant (Ce qui ne rend pas le défaut esthétique plus acceptable, pour autant).
😉

Medalegno

Faudrait demander à FrancoisB.
Il semblerait qu'il ait acheté une du même modèle, il y a quelques années. Et on y voit cette même pièce !
😉

par MonsieurRoze il y a 20 jours
Medalegno

Puisque tu ne nous fais pas connaître l'importance de l'angle de cette configuration, difficile de te donner un avis ferme, sur le fait qu'il soit nécessaire de faire un angle sur le chant de la porte tout à droite, coté charnière. Peut-être que oui, peut-être que non.
Pour le chant de porte tout à gauche, ça n'est pas utile techniquement, mais esthétiquement, impossible de te répondre, toujours sans connaître l'angle.
Et la jonction de portes intérmédiaire, tu gardes 90°.

Pour les charnières invisibles, il existe des modèles, pour tous ces cas (- de 90°, comme + de 90), chez Blum France, par exemple. Mais eux aussi te demanderont l'angle précis, pour pouvoir te faire une réponse complète.
😉

par Nicoel il y a 20 jours
Medalegno

Les 4mm, c'est le diamètre ?

Avec un gabarit, dans lequel tu viens insérer, tour à tour, ta boite puis son couvercle. Pour le perçage, à la perceuse à colonne, avec un guide et des butées, pour que le gabarit reprenne la même place, par exemple...
😉

Medalegno
( Modifié )

Qu'est-ce que tu appelles une "affleureuse "classique"" entre guillemets ?

Pour l'affleurage, pour ma part, je préfère une affleureuse avec un guidage indépendant de la fraise, comme je l'expliquais ici.

Pour le roulement triangulaire, il a surtout l'intérêt d'éviter certains défauts, dus à un copiage "trop parfait", si on affleure un panneau dont le chant est encore brut, sur de l'aggloméré, particulièrement.
Au contraire, un roulement rond suivra tous les défauts et irrégularités, et parfois aussi un trou, sur un chant agglo brut ou CP, parfois même avec un stratifié avec un relief marqué.

Pour ne pas marquer les chants ABS, une bonne solution est d'avoir une affleureuse avec un frein de roulement (ou de s'en faire un soi-même). De cette façon, le roulement ne tourne que lorsqu'il est en contact avec le chant, et s'arrête lorsqu'il ne touche plus. Car il arrive souvent qu'au moment du contact avec le chant, le roulement est en rotation à haute vitesse, et vient alors frotter (et se freiner) et marquer le chant.

Pour le Delrin, en lui-même, si on a des roulements en état (et pas des roulements qui ont chauffé et qui en conséquence, sont bloqués, ce qu'on voit parfois), pour moi ça n'apporte rien de plus. En tout cas si on a pris les précautions dont je parlais au-dessus.
😉

Mis à jour
Medalegno
( Modifié )

Des paumelles à larder !
Plusieurs solutions existent et ont été proposées.
J'en ai aussi vu une autre qui consiste à le faire à la toupie avec une lame de scie*.

Éventuellement, dans un second temps, on rajoute à chaque extrémité de la rainure obtenue, une pièce de bois plate, collée, pour boucher les surlongueurs inclinées de la rainure, dues à cette façon de faire... Ou alors, pas bouché du tout ! (je l'ai vu aussi)

Avantage de le faire de cette manière :
.Très rapide, pour la phase toupillage.
.Un peu plus long, si on bouche les extrémités.

*A condition d'avoir une lame qui va bien, bien sûr !
😉

Mis à jour
Medalegno
( Modifié )

Étonnant, en effet, cette longueur de 620, annoncée sur la doc de cette machine. D'autant que pour toutes leurs autres ponceuses à bande, c'est toujours 610, que ce soit en 76, ou 100 mm.
Ceci dit, ça n'est que 10mm de plus, sur la longueur développée de la bande, soit 5mm sur la bande montée. Ce que le système de tension compensera sans problème.
😉

Mis à jour
par mikael65 il y a 22 jours
Medalegno
( Modifié )

Concernant le type de colle, voilà plusieurs fois que tu poses ici, plus ou moins, la même question.

Pour des ouvrages intérieurs, la colle vinylique convient parfaitement, comme le disent la très grande majorité des réponses qui t'ont été faites.
Pour le grammage de colle, c'est généralement aux alentours de 150gr/m², ce qui, pour mieux visualiser quand on l'applique, représente 1,5/10e de millimètre. Nul besoin de plus (ca peut être contre-productif, et aussi du gaspillage), ni de double encollage (mêmes raisons).

Pour le mode de serrage de tes CP, j'imagine qu'il s'agit de tes limons ou crémaillères de l'escalier dont tu parlais hier ?

Sans savoir de quel équipement tu disposes, mais à minima des serre-joints, j'imagine, tu débites tous tes CP en largeur (avec un peu de surlargeur, pour les tirer à ta cote finie une fois collé).
Tu prépares des longues cales, bien droites, rigides, afin de servir de support pour serrer tes panneaux, et avoir une pression la mieux répartie possible, sur tes collages qui sont en CP 12mm.
Ensuite, suivant tes longueurs, tu colles par lot de 3 CP pour constituer chaque pièce, soit une par une, soit regroupées par pièces de mêmes longueurs.
Sur des tréteaux où tu auras disposé deux grandes cales de longueurs, tu déposes tes panneaux (rapidement après application de la colle !), le deuxième jeu de cale par-dessus. Ensuite, tu serres le tout avec des serre-joints répartis de chaque coté.

Mis à jour
Medalegno
( Modifié )

Une ou quelques images de plus, vues de bout, et sur le chant n'auraient pas été inutiles, pour comprendre avec plus de certitude le principe de ces persiennes.

Ma première impression est qu'il s'agit d'un principe moins courant que celui qu'on trouve généralement, pour ce type de volets.

Ici, les lames auraient un chant incliné, et non en V, entre elles. Avec une mouchette usinée en continu, puis enlevée par une nouvelle opération d'usinage, sauf dans les parties où passent les ferrures, peut-être ?

Pour les ferrures, il peut s'agir, comme pour des volets plus courants avec usinage en V, de paumelles reliées par des tiges métalliques traversantes, et serties en bout pour assurer l'assemblage.

Mais sans plus d'images, ce ne sont que des hypothèses.
😉

Mis à jour
Medalegno
( Modifié )

"le couchage en hauteur ne convient pas à des enfants de moins de 6 ans". C'est la mention que doivent comporter de façon visible les lits en hauteur.
Mention que TU DOIS y faire figurer aussi, pour être conforme à la loi ! (voir ici, notamment les article 5, 6... mais aussi l'article 9, en cas de non-respect)

Parles-en à ton client. Et montres lui l'article en lien ci-après.

S'il y tient tout de même (pour une question de place, chez lui, par exemple), fais lui signer une décharge comme quoi, tu lui as bien fait prendre connaissance de l'article ici.
De cette façon, en cas de problème, toi tu n'en as pas.
😉

Mis à jour
Medalegno
( Modifié )

Si ta question concerne uniquement la résistance d'un collage, la colle suffit amplement, et un assemblage, quel qu'il soit, n'en apportera pas plus. (Et colle vinylique, qui suffit largement aussi, dans le cas d'ouvrages intérieurs)

Par contre, pour faciliter le bon positionnement et l'affleurage de tes différentes pièces, lors de collages (ce qui peut en conséquence, permettre de ne pas perdre de temps. On n'en a jamais de trop, quand on colle !), un assemblage peut aider, oui.

Pour des collages en quantités importantes, une fraise à enture autobloquante permet de juste serrer dès après l'application de la colle, puis d'enlever immédiatement les serres-joint, si tu n'en as pas suffisamment.
ATTENTION à bien stocker les pièces, ensuite, jusqu'à prise complète du collage... Et ne pas trop les manipuler de suite, ça va de soi !

Voilà, voilà !

Pour ta seconde question, je cède la place à des plus spécialistes que moi.
😉

Mis à jour