
Un support intermédiaire ne sera pas superflu.
Ça peut effectivement être une équerre, qu'il faudra alors fermement fixer au mur, peut-être en noyer la partie verticale, pour être plus discret, d'une part, mais surtout pour y trouver une meilleure accroche. À déterminer suivant ce qu'est sa nature...

De la volige, achetée comme telle !?!??
Si c'est bien ça, c'est du bois tout juste scié. Parfois encore proche du bois vert, qui est destiné à être utilisé comme tel, puisque sous une toiture.
Dans le meilleur des cas, suivant quand il a été scié, puis stocké un certain temps, il sera sec à l'air. Mais si tu l'utilises directement en intérieur, ça risque de beaucoup travailler, puisqu'il devra sécher en intérieur. De plus, tu risques de le voir moisir, s'il n'est pas fortement ventilé... et faire moisir ce qu'il y aura autour !


Si tu travailles sur un si "ptit balcon" que tu le dis, ça ne facilite peut-être pas les choses.
Mais quelques points indispensables :
. Avoir un espace minimal, avec des tréteaux ou un plan de travail, autour duquel tu puisses tourner.
. Avoir une circulaire portative "correcte", (sans nécessairement avoir un truc très cher) avec une lame de qualité et affutée (surtout pour du méla). Mais une Parkside, sans doute avec la lame d'origine en général pas des meilleures... et peut-être plus dans un état d'affutage optimal, ça ne facilitera pas.
. Il existe des rails de guidage alu (avec la scie circulaire adaptée), mais à minima, fixer un guide ou une règle maintenue par des serre-joints, contre lequel la semelle de ta scie viendra se guider, est indispensable pour débiter du panneau, et encore plus du mélaminé.
. Pour les "assemblages à vis" dont tu parles, je suppose qu'il s'agit de l'affleurage de tes panneaux, lorsque tu les as vissés ? Il faut réaliser des préperçages, dans les "montants" (ou dans le plat du panneau), à un écart de la moitié de l'épaisseur du panneau auquel il sera à visser. Ensuite, au cours du vissage, tenir et rectifier le bon affleurage, éventuellement rectifier avec un maillet, en presque fin de course, et bloquer le vissage ensuite.
Voilà pour quelques conseils de base.

Des solutions sont possibles, oui.
Il faudrait tout de même nous donner un peu plus de détails, les différentes cotes, type(s) et épaisseurs des panneaux, poids à supporter, système de bridage des outils qui y seront posés ou pas, etc, pour évaluer ce qu'il est possible de proposer, ou si des adaptations sont nécessaires.
Mais d'emblée, je vois 2 pistes possiblbes.


La question se résumant à "50mm, c'est assez ou pas ?"
Ça peut dépendre des dimensions globales. De ce que tu prévois comme piètement, structure, traverses ou pas, en dessous.
Pour des valets traditionnels, par contre, plus ça sera fin, plus les points d'appui seront rapprochés, et plus ça appliquera de force à ces points de contact, plus ça se marquera vite, et perdra de l'efficacité. Et donc inversement.
Donc là-dessus, même si de le faire en chêne est un avantage, plus épais, serait à mon avis mieux.
Après, si tu as déjà ton chêne, il est aussi possible de coller une surépaisseur, aux endroits de tes perçages pour le valet.

C'est effectivement normal, ce léger écart.
La fonction incision sur la Mafell n'est pas un véritable inciseur. Elle nécessite deux passages, contrairement à un vrai inciseur (qui a une 2ème petite lame supplémentaire, au sens de rotation inversé).
Le système d'actionnement de la fonction, limite, pour le premier passage, la profondeur à quelque chose comme 2mm, d'une part, et de l'autre, décale très légèrement le trait d'incision, par rapport à ce que sera le trait de coupe final.
À noter qu'avec le système de décalage Mafell lors de l'opération d'incision, ça n'a d'effet qu'un d'un seul côté du trait de coupe, contrairement aux systèmes d'inciseurs classiques, qui sont (ou qui doivent être) centrés par rapport à lame principale, et donnent 2 coupes propres. Ici, il n'y en aura qu'une seule.
Ceci dit, avec une autre machine, qu'elle soit portative ou stationnaire équipée d'un vrai inciseur, c'est aussi le cas. Tout de même plus facile à régler et faire de façon plus discrète, sur une machine stationnaire, et selon comment elles sont réglées, mais c'est le principe même de l'incision.

C'est quoi, comme entraîneur ? Quel modèle, référence ?
. Je suis surpris que, réglé sur la position d'engrenages censée être la plus lente, ça soit encore si "rapide" que ça.
C'est la première fois, que tu utilises un entraîneur ?
. Si c'est le cas, je peux comprendre que ça puisse être plus rassurant, d'avancer plus lentement. Mais ça n'est pourtant pas à recommander, car une avance trop lente, peut avoir tendance à faire chauffer et désaffûter plus vite tes outils. Donc, pas un gage de bon usinage... en tout cas pas longtemps.

Restaurer un couvercle de puits, donc quelque chose d'ancien et réalisé à la traditionnelle, mais en recherchant des solutions qui ne le soient pas (le collage), tout en se demandant comment le faire de façon écologique...
Il n'y a pas un petit problème de cohérence, là ?
Et si tu le faisais comme c'était réalisé autrefois, tout simplement ?


Arrrhhhh, un peu loin !
Ça ne serait pas les tables de dégauchisseuse, qu'il faudrait régler, plutôt ?
(La raboteuse, normalement, peu de risque de la dérégler, contrairement aux tables de dégauchisseuse)
Il ne peut pas venir ici ? Et expliquer précisément quels sont ces problèmes. Il aurait peut-être une réponse qui puisse l'aider.
Sinon, ici, il y a un "pas à pas" (ou une procédure) pour procéder au réglage d'une dégauchisseuse. La machine est peut-être différente, mais les principes restent les mêmes.
Si ça peut l'aider.

Ça n'est pas du contreplaqué, qu'il faut cintrer, d'autant plus que ce type de panneau a été créé, notamment, parce qu'il permettait une certaine rigidité, et planéité. Tenter de cintrer du contreplaqué, c'est donc vouloir aller à l'encontre des qualités de celui-ci, précisément celles qu'on cherchait à lui donner.
C'est directement les différentes épaisseurs de placage, qu'il faut coller sur un moule (avec un contre-moule, ou alors par serrage sous vide), pour réaliser une pièce cintrée à une forme donnée, et qui le restera.
À la manière de ce que font des entreprises spécialisées comme Lécuiller ou Cardineau.
Des dossiers et assises de chaises, moulés et aussi creusés comme c'est le cas sur ce modèle, font typiquement partie de leurs spécialités.
Mais il est aussi tout-à fait possible de le faire de manière artisanale.