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Medalegno
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Pas pour se relancer. L'entreprise Lurem historique a fermé ses portes il y a 10 à 15 ans. Seul le nom a été racheté, et sert aujourd'hui à son détenteur pour vendre tout un tas de machines aux origines diverses, seulement badgées Lurem... pour tenter de bénéficier se sa réputation passée.
😉

Bah, 8000€ le nom... et la réputation qui va avec. Pas cher !

Medalegno

Erebor
Le prix du nom, négocié ? Pas du tout, lis l'article.
Avant le dépôt de bilan, qui a mené à cette liquidation finale, il est vrai qu'ils ont enduré pas mal d'années de vicissitudes, entre redressements, licenciements, diverses reprises dont la dernière par Metabo, etc.
Lurem n'était déjà plus la marque que j'ai connue jusqu'aux années 90/début 2000, qui vendait d'ailleurs aussi jusque-là des machines lourdes pour professionnels de très bonne renommée. (J'en ai même vendu ! 😯). Ils étaient déjà dans le cercle vicieux qui allait mener à leur dépôt de bilan final. Cela dit, ils produisaient tout de même des machines de qualité très correcte. J'ai toujours une scie à ruban Lurem de 2008 de très bonne qualité. 😜

Medalegno

Sélection, oui, et encore. Éliminer le cœur et les défauts.

Pour la disposition et orientation des cernes, et en tout cas pour un ouvrage intérieur et si on a un bois sec, non.
Ça, c'est juste un truc depuis peu mis à la mode par des YouTubeurs et repris par tous les groupes d'amateurs. 😜
(je ne dirais pas la même chose pour un ouvrage extérieur, où là, ça peut avoir un intérêt)
😉

Medalegno

Atelier Eustache
C'est vrai qu'on peut parfois avoir des "micros tuilage", souvent dus aux variations de température et d'hygrométrie, des lieux où les mobiliers concernés sont utilisés, d'ailleurs. Et si elles doivent se former, au moins avec des épaisseurs supérieures à 30, 35mm, ça n'est pas un profil acier qui les retiendra.

Pour de grands formats, on parlerait alors de déformation, plutôt que de tuilage. Déformations qui pour le coup, peuvent être retenues par un piètement avec ceinture, ou un piétement lourd à chaque extrémité (genre table Monastère).

Maintenant, si on part de bois à un taux d'hygrométrie adapté, on limite grandement tous ces risques, et s'ils se produisent, ils restent très limités.
😉

Medalegno

Atelier Eustache
"Micro-tuilages", c'est de l'ordre du demi millimètre par 15 à 20 cm, sur les alèses les plus larges. Donc quasi imperceptible. Et seulement si fabriqué avec du bois sec, et exposé à des conditions d'hygrométrie et de température très différentes ensuite.
😉

Medalegno

Ça y ressemble, en effet, mais ça n'en était pas. Ce genre de composition, réalisée en placage (ou marqueterie) était très en vogue, dans les années 60/70.
À noter que les parquets dont tu parles l'étaient aussi, à la même époque.
😉

Medalegno
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Je n'ai pas dit que ce type de parquet n'avait pas été produit à d'autres époques (on peut toujours en trouver, d'ailleurs), mais que sa "grande vogue" était dans les années 60/70.
😉

Medalegno

Pareil. Je n'avais pas compris immédiatement ce qu'il cherchait à faire. Mais au final, nous comprenons la même chose.
Et pour le tournage, ma méthode, sans sphéreuse, est à quelques détails près celle-là.
😉

Medalegno

J'ai beau apprécier les vielles machines, et en avoir vu ou parfois utilisé un bon nombre au cours de mes pérégrinations professionnelles, je n'ai pas le souvenir d'avoir vu cette marque.

Tu peux tout aussi bien t'inspirer d'une scie existante ou plus courante. Plutôt que de rechercher une doc, à priori, quasi impossible à trouver, et qui de toute façon ne t'apporterait pas vraiment d'élément de plus que tu ne puisses voir ou mesurer sur d'autres scies du même genre. Tu y gagnerais ton temps.

Ces deux dispositifs n'ayant que peu évolué, au fil des époques, et restant de conception relativement simple, si tu sais travailler le métal et faire un peu de mécanique.
😉

par Zatopek il y a 3 mois
Medalegno

Quand il est fraichement débité, corroyé, il peut en effet être plus jaune. Mais il brunit avec le temps en surface.
😉

Medalegno

"sec" et "depuis un moment", ce sont des mesures au doigt mouillé, ça. La preuve, tu n'en connais pas l'hygrométrie.
Ça n'est pas parce qu'il est coupé et stocké, même à l'abri depuis longtemps, qu'il est à une hygrométrie adaptée.

Medalegno

Bruno78
Avec un hygromètre (et un hygromètre fiable et de qualité). Prêté par un ami, chez un menuisier à proximité ou que tu connais, ou si tu en as l'usage, tout simplement acheté.

Medalegno

Sans rainure, ça pouvait être pire, oui.
Maintenant, certaines ont peut-être été rainurées par celui qui les a faites ou posées, parce qu'elles commençaient à tuiler, à l'atelier. Possible aussi que certaines étaient posées sur un sol, ou contre un mur plus humide que les autres ?
Difficile d'en tirer quelque conclusion. Il aurait été nécessaire, pour avoir une ou des hypothèques plus probantes, en mesurer l'hygrométrie, dès le démontage.
La seule chose sur laquelle on peut être formel, c'est que ce ne sont pas les rainures qui ont provoqué les déformations !
😉

Medalegno
( Modifié )

Timoun
C'est décrit dans un DTU... je ne sais plus lequel. De mémoire, au dessus de 100mm, il me semble qu'il est conseillé de pratiquer 2 rainures, d'un 1/3 de profondeur, et divisant la largeur totale en 3 sections égales.
Pour tes plinthes de 95mm (soit quasiment 100), tu peux en faire 2, mais si tu veux tu en fais plus.
Pour la largeur de la rainure, peu importe, tant que ça "libère les contraintes"
😉

Medalegno

Oui... mais corrélation n'est pas causalité.
Exemple ci-dessous ⬇

Medalegno
( Modifié )

Il y en a de toutes sortes, sur LBC. Des petites, des grosses, pour l'amateur ou pour le pro. Des marques chinoises sans suivi, aux marques EU ou françaises avec revendeur, accompagnement, SAV, pièces détachées, etc.
Des revendeurs ou constructeurs font leur pub sur LBC, aussi. Il n'y a pas que de l'occasion. Tiens, je vois que tu es en Dordogne. Entre autres constructeurs français, il y en a un dans le Tarn : MECANUMERIC. Un autre en Mayenne : SBC Automation. Et ce ne sont que 2 exemples.

Je vois que tu as consulté MEKANIKA. Je ne sais pas quelle est ton activité précise, mais pour un menuisier avec une activité classique, ça n'est clairement pas dimensionné et adapté pour.

Sinon, toujours concernant ton activité, je ne l'avais pas précisé au départ, cela me paraissant tellement évident, il faut que tu évalues bien ce que pourrait être ton besoin, afin de juger si un tel investissement est pertinent pour toi dans ton activité propre. Ce que tu vas y usiner, estimer ce que ça te fera gagner comme temps.
Ou alors, il te faut imaginer vers quel domaine orienter et développer ton entreprise pour que cet investissement soit employé au mieux, en plus ou en dehors de ton activité actuelle. Et pas juste acquérir une CNC pour remplir ton nouvel atelier ou parce que dans 30 ans, tout le monde en aura.

Je peux aussi te conseiller de lire ce qui s'en disait déjà ici, il y a quelques semaines, sur le même sujet.
😉

Medalegno

Oui, il peut y avoir quelques possibilités que l'on découvre après coup, mais ça doit rester anecdotique. Le cerise sur le gâteau... mais ça n'est pas le gros du gâteau. Le gros de son emploi, il faut déjà l'avoir avant. Puis le développer, lorsque la machine est là.
😉

Medalegno
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Mekanika est certes sérieux, mais dans son créneau.
Ça reste des machines de construction relativement légères, destinées à des usinages légers, peu exigeant en termes de puissance et de format. Qui s'adresse à des pros se limitant à ce type d'usinages, voire à des amateurs+++
Et finalement très chères, par rapport à leur construction.
😉

Medalegno
( Modifié )

OK, tu en as vérifié l'hygrométrie ?
Je ne sais rien de ta connaissance du sujet, mais un stockage de dizaines d'années ne signifie en rien que c'est ultra archi sec. Le bois s'équilibrant, ou s'adaptant à l'hygrométrie ambiante de l'endroit ou du local où il est stocké. Un bois peut très bien reprendre de l'humidité, comme en perdre ou reperdre, même après des années.
😉

Medalegno
( Modifié )

Si tu veux quelque chose d'invisible (ou presque, hormis un perçage), tu as aussi la solution des Clamex, de chez Lamello, proposés par Ara. Mais ça nécessite d'avoir une Lamello Zeta P2.
En invisible, et surtout pour plusieurs montages et démontages, tout système ou quincaillerie ce que tu trouveras n'aura la résistance que lui permettra tes panneaux. A savoir, bonne pour le CP bouleau, et moyenne et de + en + faible au fil des remontages concernant le méla.
Plus résistantes et durables, il y a des solutions, mais visibles.
😉

Medalegno

(J'aurais dû dire, visibles et moches) 😆
Et bien, des tasseaux, des cornières vissées...

Medalegno

dBPs Je ne sais pas lequel est le clone de l'autre, mais les ressorts de sommier, je connais depuis ma jeunesse (pour ne pas dire, mon enfance) lorsque je faisais mes premiers copeaux dans un atelier où j'adorais passer du temps, (accepté et guidé par le tenancier du lieu). Lui-même connaissant cette pratique depuis longtemps sans doute. Il (ou on) s'en servait pour tenir et coller diverses moulures ou autres pièces qui nécessitaient un maintien, mais sans trop de force. La pince à ressort, qui offre un serrage bien plus fort, ça n'est que des années plus tard, que j'ai découvert.
😉

Medalegno

Ah, et les griffes, en anglais "pinch dogs", nous faisions l'équivalent en les découpant dans des lames de faucheuses, récupérées chez des agriculteurs ou à la forge du coin. 😜

Medalegno
( Modifié )

Oui ! ça n'est pas fait pour être utilisé seul. Domino, lamello ou tourillons doivent être là pour assurer le bon positionnement et le maintien à la bonne place des éléments. Les "Rastex", juste pour assurer le serrage.
PS. On peut aussi très bien se faire des gabarits en bois. Une imprimante 3D n'est pas indispensable.
😉

Medalegno

BaptisteC
Tu parlais de perceuse à colonne, mais tout est réalisable même si on n'en a pas.
Avec 2 gabarits de perçage, (qui peuvent être sur le même), dans le cas des boîtiers. Ça peut très bien se faire en panneau ou en massif, sans avoir nécessairement besoin d'imprimante 3D. Si tu veux un minimum de précision, un tel gabarit de perçage est indispensable... mais après, effectivement tu peux toujours faire sans, tu y arriveras... peut-être 😂

Medalegno

Le plus courant, je ne sais pas. Qu'il y en ait plus aujourd'hui, c'est un ressenti que j'ai aussi, mais sans certitude.

D'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours connu des vernis qui s'appliquaient en 2 couches d'un même produit avec égrenage intermédiaire, que ce soit dans les gammes vendues dans les anciennes quincailleries de ville, puis les gsb, puis dans des gammes pro pour peintres (ces derniers vernis, déjà employés par des menuisiers, en chantier ou artisans et petites structures).
Dans des entreprises de menuiserie, fabrication de meubles ou agencement, j'y ai toujours connu les deux, fond dur + vernis ou bi-couches. Les bi-couches s'y sont aussi depuis développés, améliorés, devenus plus polyvalents, c'est vrai. Mais aujourd'hui, au moins dans des entreprises qui appliquent un peu de volume, les formules FD + Vernis restent très employées.

Medalegno
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Oak Pour des utilisations réduites, c'est sans doute plus intéressant et économique. Mais comme je disais plus haut, des boites qui appliquent du volume, sans être industrielle pour autant, loin de là, y trouvent d'autres avantages.
... Selon les bois sur lesquels on applique, suivant la finition finale recherchée. Suivant l'équipement, aussi. Pistolet(s), cabine d'application,etc.
😉