331 commentaires
Medalegno

1 - Le Hêtre peut difficilement être considéré comme un bois "mou". Quant-a l'emploi du mot "relativement", pourquoi pas. Mais dans ce cas, il faut préciser à quoi on le compare. 😉

2 - Même des bois considérés comme durs, tu arriveras toujours à les rayer avec l'ongle. Plus ou moins, et selon la force appliquée. Bref, ça n'est pas très mesurable, comme le sont les méthodes de mesures normalisées, genre "Dureté Monnin".

3 - La première photo m'en donnait déjà l'impression. Les 3 autres postées ci-dessus me confortent dans mon avis. Je pense donc à de l'érable. Qui est aussi un bois dur, au passage. Maintenant, j'avoue que cette teinte grisâtre est surprenante. Peut-être des restes d'une ancienne finition. Elle a été décapée ? poncée ?

Medalegno
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Pour limiter les courants d'air, on peut simplement mettre une cloison... avec une porte.
Si c'est pour éviter les curieux (ou enfants ou que sais-je), on y met une bonne serrure.

Parce que, en cas de quelque problème à l'étage auquel il donnait accès (dégât des eaux, incendie, animaux qui y auraient trouvé refuge, etc), pas très pratique d'avoir à casser la cloison. 😊
Étonnant, tout ça 🤔

Medalegno
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Bonne solution ! J'aurais tout de même conseillé d'utiliser 4 récipients qui ne risquent pas de rouiller (bocaux en verre, pot en plastique, etc)
Et je rajouterais, à l'attention de Didou180, que si ses pieds de commode sont si mouillés... il faudrait encore plus vite se préoccuper de sauver le parquet qui lui a transmis autant d'eau !😉

Medalegno

Merci glaude !
1😊
2😄
3😅
4😂
5🤣
C'est bon, le compte y est !😜

Medalegno
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stefdefoot
Il serait intéressant de poster une image de ta mortaiseuse, pour comparer et vérifier que toi et notus2010 parliez bien de la même MB19. Car effectivement, il y en a qui datent des années 2000 (alors que Lurem ne produisait déjà plus toutes ses machines, car rachetée par le groupe Métabo en 1998). Puis, les fabrications en interne n'ont cessé de décliner, progressivement remplacées par de la simple revente (après collage d'autocollants LUREM) de machines produites ailleurs dans le monde, jusqu'à la fin de l'entreprise début des années 2010.
Aujourd'hui, le nom a une nouvelle fois été racheté et est simplement collé sur des machines, juste pour bénéficier de la notoriété passée de la marque.
Il n'empêche, bien évidemment, que ta MB19 t'apportes toute satisfaction, et tant mieux. Mais soyons juste sûr qu'il s'agit bien de la même production. 😉

Medalegno

Bonbonveronbi
Avec ce genre d'usinages de losanges, et une fraise qui travaille des 2 cotés simultanément, quoi qu'on fasse, il y aura toujours un côté en opposition, et l'autre en avalant à la fois. Toutes les passes suivant un angle du panneau se passeront bien, car en couchant le fil, et suivant l'autre angle, provoqueront des éclats, plus ou moins importants, car le relèveront.
La seule solution qui résoudrait toutes les configurations, serait de pouvoir utiliser une fraise au sens de rotation inverse. Mais cela est impossible, sur défonceuse portative (et les fraises inversées sont rares, ou fabriquées sur commande).

Medalegno
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On discute, on discute, mais j'imagine que c'est avec une fraise de ce type, que tu travailles, Yggdrasil ?

Medalegno
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Tout à fait d'accord concernant ce genre de fraise, dont la pointe axiale tourne sur elle-même, et a donc tendance à chauffer.

Pour le reste, même réponse qu'au commentaire de bonbonveronbi, ci-dessus. Pour l'usinage de ce type de motifs en losange, quel que soit le sens d'orientation de l'usinage dans le panneau, il y en aura toujours un qui posera problème.
Tu parles de commencer par l'usinage en contrefil. C'est tout à fait vrai, pour un panneau à plates bandes, notamment. Panneau rectangulaire dont le fil est parallèle à deux des côtés, donc. Mais imagine un panneau à plate bande, dont le fil est cette fois en diagonale. Il y aura, dans cette configuration, toujours 2 sorties d'usinages qui seront plus à risques.

Pour la scie qu'on équiperait d'une fraise de toupie, ça pas à la portée de tout le monde, suivant le matériel... ou l'expérience.
😉

Medalegno
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Ayant eu à traiter le cas en tant que pro il y a quelques années, où nous devions changer de dégauchisseuse (équipée alors de fers carbure, il est important de le préciser), j'avais opté pour un arbre à plaquettes. La différence de coût à l'achat était alors assez importante (plus qu'aujourd'hui, semble-t-il). Mais à l'usage, et sans doute en grande partie parce qu'utilisant des fers HM* avant, le changement a été bénéfique car le coût d'usage était moindre.
** HM = Carbure, plus chers que des fers classiques HSS*

Les temps de changement (d'un jeu complet) ne sont qu'à peine plus longs. Mais on s'y retrouvait largement ensuite. Alors que sur l'ancienne équipée de fers, il fallait procéder au changement de l'ensemble, désormais, on pouvait se contenter de tourner ou changer que les plaquettes les plus usées ou marquées, cela de façon très rapide. Il est aussi possible d'intervertir les plaquettes, entre zones très utilisées et celles qui le sont moins.
Sur une traditionnelle, en cas d'usure, il fallait tout changer, puis faire affûter. Avec des risques d'imprécision de réglage, même avec un gabarit correct, de choquer les fers, pour un utilisateur peu précautionneux. Plus le coût des affutages, et la nécessité d'avoir 2 jeux complets. Même en cas de brèche dans les fers, il fallait procéder avec le gabarit, desserrer chaque fer, afin de les décaler pour éliminer le défaut.
A contrario, pour l'arbre à plaquettes, tourner ou même changer une ou quelques plaquettes était très rapide, car ne nécessite aucun réglage, et pas de gabarit.

Mais je parle bien sûr là de notre cas précis, avec une utilisation pro et une activité spécifique, toutes données pour lesquelles j'y avais trouvé avantage.
Pour un usage amateur, les paramètres seront certainement différents. Notamment le fait qu'un amateur qui s'intéressera à une machine à arbre à plaquette (donc, plaquettes HM), la comparera avec une dégau classique, équipée de fers HSS. Et là, le coût d'usage ne sera pas le même.

Pour la marque de la machine, Orgeat, il s'agit, comme beaucoup d'autres aujourd'hui, de productions qu'on retrouve sous plein de marques et couleurs différentes... y compris sous des pseudo marques aux noms germaniques du genre "Holz-truc" pour faire plus "Deutsche Qualität". Mais difficile de te donner un avis plus précis.
😉

Medalegno

S'il s'agit de panneau mélaminé, on ne peut pas à proprement parler qualifier ça de "placage".
Je pense qu'il parle d'autre chose, encore faudrait-il qu'il nous le précise.😉

Medalegno
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Fabien R J'ai effectivement posé la question, de savoir ce qu'il entendait, par "faire du placage". Question qui reste sans réponse pour l'instant.
Par contre, pour avoir pratiqué ce métier, non seulement je pense, mais je sais, que l'appellation faire du placage ne s'applique pas au mélaminé.😜
😉

Medalegno

Hydrofuge, tout à fait. Mais ignifuge, aucune nécessité.😉

Medalegno
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Ce fût aurait été en MDF ou bois massif, donc susceptible d'être poncé pour ajuster les arêtes après collage, je n'aurais pas hésité une seconde à le faire d'un seul coup. Ma méthode aurait été un poil différente de celle de Kentaro.

  • J'aurais fait des anneaux en CP, avec une découpe octogonale à l'intérieur (3, 4 ou plus d'anneaux, suivant la hauteur du fût que Jijy ne nous donne pas 😪). Des découpes légèrement plus grandes que la section finie.
  • Ensuite, scotchage et encollage des 8 joints, et roulage de l'ensemble. Scotch en bandes transversales, plutôt que tout le long des joints, afin de laisser des parties apparentes, lors du collage, et pouvoir ainsi mieux les visualiser et ajuster.
  • Le fût positionné debout, on enfile les anneaux, et on procède au serrage au moyen de petits coins en bois, 2 par segment d'octogone (16 coins par anneau, donc), un de chaque coté de chaque plat. De cette façon, on peut gérer et ajuster le serrage de chaque coté de chaque section, et de chaque joint. Avec un seul serrage par vis filetée au milieu de chaque face, impossible de différencier la pression de chaque coté.

Mais ma réserve à l'emploi de cette méthode, c'est qu'on est ici sur des panneaux avec un placage de 6/10e. Donc au moindre désaffleur, c'est la perce assurée😭.

Je rajoute aussi que, Jijy ne nous donnant pas non plus la section réelle de son fût 😤, il reste à vérifier que les plats soient suffisamment larges pour cette méthode soit applicable. Avec des plats trop étroits, difficile d'y placer 2 coins et d'ajuster les joints.
>>> D'où l'intéreêt de donner un maximum d'info, lorsque quelqu'un pose une question, un sujet ici. Petit rappel en passant. 😜
😉

Medalegno

Voilà ! Et le résultat est parfait👍
Parfois, mieux vaut revenir aux bases, à l'atelier, arrêter de réfléchir bêtement devant son ordinateur😵. En plus, je l'ai mise en œuvre des tas de fois sans problème, cette méthode. Je pense que je me suis laissé embarquer par sa demande au sujet du serrage, alors qu'il n'y en nul besoin.

Pour l'absence d'assemblage dans les coupes, il faut se rappeler que sa colonne sera en 19 et non en 12, donc avec des surfaces de collage plus importantes. Et s'il s'agit d'un piètement, l'effort sera principalement vertical. Après, on peut toujours rajouter une pièce octogonale insérée et collée de chaque extrémité, pour s'assurer que l'octogone soit parfait, et qu'il le reste.
😉

il y a 3 mois
Medalegno

Silky Oak ? Ou Louro Faia ?

Medalegno
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OK, merci pour ces quelques précisions.
Déjà, pour que nous parlions bien de mêmes choses, sous l'appellation "CNC", on peut trouver une multitude de machines, pour tout type d'activité, dans plein de métiers. Dans le nôtre, de métier, on trouve des scies (de la scie à format jusqu'au centre de sciage), toupies, plaqueuses de chants, défonceuses, centres d'usinages CNC, etc.

Mais l'appelant comme ça plutôt que "défonceuse" ou "fraiseuse CNC", j'imagine que c'est la forme basique de défonceuse à CN que tu envisages, à savoir une table avec un portique se déplaçant en X, et sur ce portique, un support de broche circulant en Y (sachant que selon les configurations, parfois les X et Y sont inversés), cette broche montant et descendant elle-même en Z.
Une 4 axes aura une possibilité de rotation en plus autour d'un des axes X, Y ou Z. Et une 5 axes, 2 directions de rotation en plus autour de 2 des mêmes axes. Ces 4ème et 5ème axes peuvent donc prendre diverses formes. En rajoutant que ces possibilités supplémentaires augmentent le prix d'une machine de façon exponentielle.
Autre point, et pour rebondir sur la possibilité d'y réaliser des entailles de Clamex évoqué par 6LV1, si c'est un agrégat, ça peut se faire sur certaines versions de 4 axes. Pour une 5 axes, une fraise suffira... Mais est-ce que le jeu en vaut la chandelle, si ça n'est que pour y faire des entailles de Clamex ?

Restons donc, pour l'instant, sur une 3 axes :
Je dirais tout d'abord que, sauf à avoir une production nécessitant des pièces de formes complexes différentes et en grande quantité, plutôt qu'une majorité de formats rectangulaires, ce type de machine n'est vraiment pas ce qu'il y a de plus adapté pour du débit : Nécessité d'avoir une machine de grande capacité en taille, donc avec une structure lourde et fortement dimensionnée, table de type nesting qui va de pair avec des pompes à vide puissantes. Temps de débit relativement lents, désafutage de fraises rapide... En résumé, plein de choses qui ne favorisent pas un coût d'achat et d'exploitation des plus modérés.
Pour des programmes intégrants débits ainsi que des perçages simultanément, ces programmes seront lourds et difficiles à anticiper, ainsi que fastidieux à modifier si nécessaire. Une pièce à modifier ou à refaire, des perçages ou un usinage à ajouter, et c'est un nouveau programme à refaire.

Pour de l'agencement, donc une production unitaire, d'ouvrages à chaque fois différents, les entreprises, ou même parfois artisans aujourd'hui, s'orientent généralement vers un centre d'usinage, plus ou moins grand. Ce type de machine intègre habituellement une broche de défonçage avec magasin d'outils, ainsi qu'une unité de broches de perçage, verticales et horizontales. C'est bien plus polyvalent et souple qu'une simple défonceuse CN.
Pour des pièces unitaires, complexes, et même en massif, c'est tout à fait adapté.

Et il s'en trouve d'occasion à des prix raisonnables. Maintenant, je ne sais pas à quel stade tu en es, dans la taille et l'évolution de ton entreprise, mais ce type de machine, il faut vraiment pouvoir l'exploiter, pour que l'investissement en vaille la peine.
😉

Medalegno
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Aussi. C'est une possibilité.
Reste que quelque soit la méthode, il va falloir être précis et tout contrôler à chaque phase, pour que tout joigne parfaitement.
😉

Medalegno
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En France, pour ce genre de besoin, on utilisera plus facilement du hêtre, plus facile à trouver et moins cher que de l'érable, ici.
C'est un bois dur, à pores fermés, qui s'usine et se finit bien.
Le hêtre est d'ailleurs moins bien considéré que des chênes, châtaigner, frêne, érable et autre feuillus. D'autant plus qu'on peut trouver à pas très cher, qui soit échauffé ou flammés, encore moins bien cotés.
Pour le peuplier (ou tulipier), ça reste des bois tendres, moins résistants aux chocs, pour des plithes.
Enfin, Baudet, tu peux faire des rainures, à l'arrière, pour limiter les risques de tuilage.

Medalegno
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Tu peux aussi faire avec une colle de type mastic, si tu as déjà acheté ce qu'il faut. Mais dans ce cas, il faut appliquer des cordons de colle, puis retirer le seuil pour en rajouter, là où il en manque, là où il n'y a pas de contact, avant de coller définitivement.
C'est plus long, et il faut faire attention de ne pas mettre de la colle partout, lors de cet enlèvement. Ne pas mettre trop de colle non plus, sinon, le seuil ne descendrait pas assez... ou bien alors ça dégueulerait.

Pour la colle dont je parlais, elle a l'intérêt de gonfler lors de la prise, et donc de combler les espaces. Elle gonfle au contact de l'humidité, et il peut même être conseillé de mouiller légèrement le béton, pour accentuer le phénomène.
C'est d'ailleurs l'équivalent de la mousse PU (en bombe), mais en version colle, ça gonfle beaucoup moins.
Ça se trouve sous des appellations comme "Colle PU Gel" ou "colle PU Bois". Ça existe en biberons et/ou cartouches, suivant les fabricants.
Moi j'ai ces références :
Soudal 66A, ou Kleiberit 501.0
😉

Medalegno
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NuageViking
"Applications:
Tout collage dans l’industrie du meuble
Tout collage de bois dans la menuiserie et la
bâtiment
Collage de châsis de fenêtres
"

Et les fautes, c'est d'origine 😇

soudal.eu/soud...e à Bois PU.pdf

Ou encore, sur une autre fiche technique :
"Assemblage de nombreux matériaux entre eux (supports absorbants et supports bloqués) : bois, stratifié, métal, béton, matériaux en céramique et matériaux minéraux."