
etiennedesthuilliers En l'occurrence, Pierrerech demandait si tu avais une (des) publication(s) à lui recommander. Comme tu dis en connaître, et même en avoir écrites, il n'eut pas été trop fatiguant ni chronophage de juste lui en communiquer les références ou liens.

Kentaro
Quel sarcasme ?
Je peux aussi parfaitement comprendre qu'il peut être lassant de répondre à certaines questions récurrentes ou fort bêtes. Mais pour ma part, dans ce cas, je n'y réponds tout simplement pas.
Quant-à ce que je fais, ou pas, je crois tenter de répondre tout de même, et de façon développée, à quelques questions ici.

Kentaro Répondu également.

mofran Ah, je n'ai pas vu dans ces CGU, que j'avais à respecter une période d'observation, avant de pouvoir répondre quoi que ce soit...
Sinon, dans les mêmes CGU
Participer à un harcèlement par la masse, inciter à l’opprobre générale et à l’accumulation des messages (aussi appelé dogpiling). Pour vous ce n’est peut-être qu’un unique message, mais pour la personne qui le reçoit c’est un message de trop après les autres.
Donc STOP
Merci

Bravo ! Ça c'est de la réponse, et parfaitement illustrée, en plus !
(Mieux que la demande... Une photo de la face extérieure aurait pu avoir son intérêt. Ainsi qu'une photo mieux éclairée ou en plus gros plan de l'intérieur)

Je ne vois pas ce qui n'est pas "cool", faut pas mal le prendre.
Je dis juste qu'une photo intérieure plus claire et plus proche, comme une de l'extérieur auraient apporté une meilleure vision de cette fenêtre.

Séverine
Les tiens étaient clairs. Je parlais de ceux de BernardVilla, dans sa question d'origine (de loin, à contre-jour, pas de vue de l'autre face).
Il n'est jamais inutile de mettre plusieurs photos, dans une question, ici. Quand on est face à l'ouvrage, on peut le regarder sous plein d'angles. Mais en photo, c'est toujours plus difficle de se faire une idée, à plus forte raison si elles sont peu nombreuses.
Mais je viens de voir qu'il a complété, hier. Comme ça, c'est plus clair sur ce qu'est l'existant, et des deux faces.

OK, pour moi une "classique", ça serait du genre de celles dont je parle dans mon autre réponse, en lien. Avec un guide indépendant de la fraise, donc. C'est ce type de modèle qui s'est d'abord répandu dans les ateliers. Les fraises avec roulement intégré n'étant arrivées que plus tard.
Mais "classique" ça peut aussi se comprendre comme courante, habituelle, c'est vrai.
L'intérêt majeur (peut-être le seul, même) que je trouve aux fraises à affleurer avec roulement, c'est de pouvoir affleurer parfaitement des pièces avec chants courbes.
J'avais d'ailleurs acheté, dans ma dernière boite, une plaqueuse portative pour ces chants courbes, principalement ABS. (En plus de la "grosse" plaqueuse, qui sert pour tous les chants droits).
Pour accompagner cette plaqueuse, j'avais aussi acheté cette affleureuse Virutex spécifiquement conçue et équipée pour ces affleurages. Elle travaille avec guide à roulement, a aussi un frein (un peu fragile, dans une boite avec des gens pas tous précautionneux, en tout cas), et en parfaite pour ces chants courbes. Elle a même un petit dispositif, très simple, mais très pratique, pour affleurer les bouts.

Mike0411
Pour moi, je l'avais trouvée très pratique, parfaite pour un affleurage rapide, et quasiment sans reprise après, hormis un coup de nettoyage. Très facile à régler, avec sa base qui se tourne, par rapport au corps de la machine.
Seul bémol, mais dû au fait que dans la situation dont je parle, plusieurs personnes l'utilisaient, pas toutes très précautionneuses. Le protecteur transparent était parfois démonté, afin d'aller dans certains recoins serrés. Sauf que le frein, solidaire de ce protecteur, n'était pas toujours bien remonté, et finissait par se dégrader.
Bon, les pièces de rechange se trouvent facilement, ceci-dit.
Et quand on travaille seul, on est généralement plus soigneux, avec son matériel... d'autant plus qu'on sait combien on l'a payé !

Bah, pour trouver une fraise de 3mm sur 40mm de longueur utile, déjà faut être... ben je ne sais pas quoi, parce que je ne sais pas où les trouver

etiennedesthuilliers
Très bien...
Il ne te reste plus qu'à la monter sur ta défonceuse, puis faire appels aux talents de virtuose que tu ne peux qu'avoir, alors

Ici, une boite vendéenne que je connais depuis pas mal d'années, pour tous ces bédanes très particuliers. Je m'y fournissais, pour des bédanes Alternax, et aussi Maka à une période, qui étaient devenus introuvables. Eux les fabriquent encore.

executionbois À vérifier si c'est toujours d'actualité, mais pour ces bédanes particuliers, J2F revend (ou revendait, en tout cas) les produits fabriqués par Lussault.
(J'ai, à une période, travaillé dans ce milieu, il y a quelques années)

etiennedesthuilliers
Oui...
Mais ici, l'échange concernait les mortaiseuses à larder...

OK. En effet, ça semble difficile de pouvoir prendre une photo en bout, qui eut permis d'être plus sûr concernent l'usinage, entre les lames. Par contre, je crois toujours y voir un léger angle, sur ces nouvelles photos.
Mais même pour en dégonder un, ça ne parait pas tout simple non plus, dans cette configuration.
Pour les mouchettes enlevées, ça ne parait pas très régulier. Comme cette opération avait été faite avec des outils à main.
Mais suivant comment tu es équipé, ça se fait très bien à la toupie, avec un outil multipente, toupie inclinable, ou même un fer, plus un gabarit. Ça reste un peu long à faire... mais moins qu'à la main !
Pour les ferrures, et par rapport à l'hypothèse que j'avançais dans mon premier commentaire, ici, on croit y voir des têtes fendues. Pour celles que j'imaginais, les liaisons sont habituellement assurées par sertissage, en bout. Ça serait donc quelque chose de (un peu, beaucoup) différents ?
C'est tout ce que je suis en capacité de dire, avec les éléments à disposition.

Nicoel
NON ! À percer
Au tour, il faudrait faire un montage, avec une surface d'appui, perpendiculaire et à la verticale, sur le banc. Montage sur lequel prendrait place le gabarit de maintien dont je parlais plus haut, toujours avec guide et butées sur ta surface d'appui.
Mais il faudrait que ce montage puisse avancer, pour assurer le perçage, face à un mandrin et son forêt, dans l'entrainement du tour...
Hmmmm, pas simple, et pour être très précis, dans le déplacement... c'est pas gagné.
Sinon, il y a bien une solution avec une perceuse, dans l'esprit, mais un peu plus élaborée et précise que celle proposée par jerryvento.
Mais là, un peu compliqué à expliquer, seulement avec des mots. Faudrait que je le dessine.
Si tu n'as pas trouvé solution à te satisfaire, dans toutes les réponses, dis-le-moi, je prendrai le temps de le dessiner. (Il y a bien pour 1/4 d'heure, mais si tu as trouvé une solution, ça ne serait pas utile)

Effectivement, en rajoutant que les variations dimensionnelles du bois ne sont pas les mêmes, suivant le sens.
Qu'on y rajoute quelque produit que ce soit n'y changera rien, les deux bois travailleront chacun de manière différente.
Après, grave ou pas, tout dépend de ce qu'on prévoit d'y faire.

Les colles vinyliques ont une plage d'application sur divers matériaux, assez large, si on regarde leurs fiches techniques, tant qu'il s'agit d'ouvrages intérieurs. Qu'il s'agisse de bois massifs ou de panneaux.
J'ai fait cette remarque, à la première phrase, et une seule fois.
À la suite, tu auras remarqué que je t'ai fait une réponse développée et détaillée... Si ça n'est pas de l'indulgence, ça.

Justement, en faisant simplement signer un document comme quoi, il a bien pris connaissance de la règlementation, c'est le client qui prend la responsabilité de l'enfreindre.
D'ailleurs, la règlementation ne dit pas que c'est interdit de faire utiliser un lit en hauteur par un enfant de moins de 6 ans, mais seulement que les importateurs, dsitributeurs, vendeurs, etc, doivent y faire apparaitre clairement et de façon indélébile, cet avertissement.
EDIT : Mais tu as raison sur l'aspect "mais je ne suis pas responsable", dans un document qu'il ferait signer à son client. La mention que j'avais rajoutée était effectivement de trop !
j'ai donc supprimé, dans ma réponse au-dessus.

Baudet La seule chose qu'impose la règlementation, c'est que la mention : "Le couchage en hauteur ne convient pas à des enfants de moins de six ans" doit être apposée sur le lit superposé de manière lisible, visible et indélébile.
Si c'est le cas, la règlementation est respectée.
D'autant qu'une mention sur la facture "Lit mezzanine pour enfant de plus de six ans" n'a aucun fondement juridique, elle.

Il n'y a pas de problème, Baudet
Ça n'est pas une histoire de savoir qui plus raison que l'autre, et ça reste une discussion cordiale et amicale
Je citais juste la mention obligatoire, mot pour mot, que la règlementation, rend obligatoire d'y apposer. Ça n'est pas "mon" étiquette à moi.
Lorsqu'il y en a une, mieux vaut s'en tenir précisément à ce que la règlementation demande ou impose, et pas imaginer soi-même des trucs qu'on jugerait bien de faire.
L'avertissement que tu proposes, si on te demande sur quoi tu te bases, pour dire ça, de quelle règlementation ça sort, à quelle norme ça correspond. Et bien là, tu n'aurais aucun élément pour répondre.
Mais si la règlementation et ce qu'elle demande est strictement respecté, là, on est dans les clous.
Bon travail !

Baudet L'article du décret évoqué, stipule bien que la mention doit être "indélébile"

Sur une autre scie de la marque, une plaque est située sur le chariot du haut.(Image ci-dessous)
Sinon, la plaque qu'on devine, sous le moteur, ça n'est que celle du moteur ?

stephhubert
"740", en effet, ça paraît possible. J'en trouve une sous cette référence ici, vendue par la ville de Grenoble... Ça ne serait pas celle que tu as achetée ?
Bon, en fait elle a été vendue en 2022, semble-t-il. Mais elle est toujours visible sur ce site de ventes des mairies.
Il y a quelques différences, mais très peu avec la tienne
Par contre, en position verticale de la scie, on y voit 2 plaques, cette fois. Même si je pense que la noire à droite, c'est un numéro de réception ou d'homologation, ou un truc du genre.

Je passe sur le fait que même du prétendu "beau" platane, je n'aime pas (ça fait mal aux yeux, s'il y en a trop ).
Mais ça n'est que mon avis personnel... Et les goûts et les couleurs, toussa, on s'en fout et ça n'est pas la question, ici.
Mais il n'est pas particulièrement recherché non plus. Il faut l'utiliser avec parcimonie, sinon... on finit par voir trouble
À savoir qu'il n'y a pas si longtemps, ça servait beaucoup (principalement ?) pour faire de la caisserie ou des cageots, avant que certains architectes ne le rendent à la mode.
Les platanes étant souvent issus de bords de route, ou de parcs en ville (pas les environnements les plus sains qui soient, pour des arbres) leurs qualités esthétiques, déjà pas vraiment appréciées, ne s'en trouvaient sans doute pas améliorées, et expliquaient ces utilisations.
Il faudrait voir le plot, le dépieuter, pour se faire une idée précise de la qualité, mais 715€/m3... ça me parait très cher payé, je crains.

Kentaro Non
J'ai eu à en utiliser en grandes quantités de placage, il y a quelques années. Ben je n'aime pas.

graeme
J'ai bien précisé que je n'exprimais là que mon avis personnel. Et effectivement, utilisé avec parcimonie, ça peut avoir un apport intéressant, et moins de cet effet optique troublant que provoque son maillage.
Pour l'historique de l'utilisation du platane, je le tiens de quelqu'un de chez Maréchaux, un ancien très gros négociant français de placage, à l'époque à Vincennes (Le nom Maréchaux existe encore aujourd'hui, mais n'est plus qu'un intermédiaire, à ce que j'en sais, depuis que la boite a eu des grosses difficultés, début des années 2000, si je ne dis pas de bêtise). C'est chez eux, que nous avions trouvé (pas sans difficulté) le lot de placage utilisé pour le chantier évoqué plus haut.
Pour le prix, c'est plus par rapport à des prix que j'ai vus pratiqués, pour les quelques rares ventes dont j'ai eu connaissance. Et pas à un cours qu'on trouverait et qui permettrait une comparaison, chez et entre, des marchands de bois. Puisque quasiment toutes les ventes dont je parlais plus haut, se sont passées entre un vendeur particulier, et un acheteur pro.
Bonne utilisation de ce bois !

Quand même !
On peut aussi imaginer que des clients aient des contraintes, difficilement contournables, comme un manque de place, par exemple. Et ne pas présupposer que les parents soient tous des inconscients ou des bourreaux.
Peut-être aussi sont-ils conscients des risques, et qu'ils cherchent, en conséquence, des solutions de sécurité supplémentaires (comme 1 filet, ou autre chose). Nous n'en savons rien.

Nicoel Dans mon tout premier commentaire... je conseillais à PaulKerjean, d'en parler, et de porter cet article à la connaissance de son client. C'est bien pour que le client, s'il n'était pas encore conscient, le devienne.
Est-ce à l'artisan de le leur signaler cela ou pas ? Cas de conscience professionnelle ?
Oui, car ça sera de toute façon signalé, puisque la mention à faire apparaitre sur le lit est imposée par la règlementation.

Nicoel
"l'impression de prison", le "quand même" à la confirmation du filet !
Concernant l'artisan, que doit-il faire quand un potentiel client fait appel à lui, alors qu'il peut avoir besoin de travail, et que ces derniers pourraient le recommander à d'autres après sa prestation, et ne pas le déconseiller parce qu'il n'a pas répondu à leur attente ? Que ces clients peuvent avoir d'autres chantiers à lui proposer, à la suite ?
Ben oui, ça n'est pas si simple.

Nicoel
Non, car dans la règlementation, nulle part il n'est dit qu'il est interdit d'y faire dormir des enfants de moins de 6 ans. La seule chose qui soit imposée par la loi, c'est d'y apposer l'avertissement de façon visible et indélébile.
Ça n'est d'ailleurs sans doute pas un hasard, si la formulation choisie pour l'avertissement se limite à "ne convient pas", plutôt qu'un pur, simple, très compréhensible et ferme "est interdit".
On remarquera d'ailleurs que le décret s'appliquant ici, reste très prudent, dans certains de ses termes. (Bah, comme dans tous les textes de loi, d'ailleurs. Chaque terme est choisi, et y a son importance). Ou que l'article qui imposait la mention "conforme aux exigences de sécurité", a été abrogé en 2019.
Bonne nuit à toi !...Ou bonne journée, si tu ne lis que mercredi matin !

Erebor Dire, en parler au client, donc le "devoir de conseil", je l'ai clairement dit, dès mon premier commentaire.
On finit par tourner en rond, là.

Erebor
Tout-fait !
... Mais, tu dis avoir "plusieurs fois refusé des projets"...
Tu es professionnel ? (Tu ne l'étais pas, dans ta bio )

Erebor Non, mais oui. Bien évidemment !
Plein de gens, ici, sont "professionnels", chacun dans sa profession, qui pour les membres de cette communauté, n'est pas obligatoirement dans les métiers du bois, suis-je bête !
Bon, hormis les quelques-uns comme moi qui ne sont plus "professionnels" dans rien du tout, bien sûr
Ma question était stupide, je reconnais.
À prendre en compte tout de même, un chef d'entreprise ou encore plus, un artisan (pour ma part, je n'ai jamais été aucun des deux. Même si j'ai eu la responsabilité de grosses structures) qui ne travaille que pour 1 seul client à la fois, peut aussi y réfléchir à deux fois, avant de refuser, ou décider de ne pas chercher à prendre un client.
Pour ma part, j'ai aussi fait plein de métiers, presque tous dans, ou autour des métiers bois (mais qu'il serait très long de détailler ici. Je le fais des fois, par bribes, au gré des sujets qui se présentent), et aussi commercial à une période. Et bien des fois, le patron nous transmettait la pression qu'il avait lui-même, pour ramener du boulot pour alimenter la boite ou l'atelier.
Alors les clients, à minima, on les écoute, on les conseille, et au besoin, on les alerte aussi. Mais si on fait la fine bouche, on ne risque pas de les revoir, ni qu'ils nous recommandent auprès d'autres clients potentiels de leurs connaissances.
Pour une grosse structure, perdre un client, n'a pas forcément les mêmes conséquences que pour une petite ou un artisan.
Concernant les "promotions" pour aller à la place d'autres faire le sale boulot, je n'ai jamais eu de telle proposition. Mais je connais des collègues qui ont connu, qui pour ceux que je connais, n'ont pas acceptés... mais pas forcément bien vécu, pour autant (ça en dit beaucoup, sur le courage de ceux qui proposent, et de leur opinion et utilité qu'ils trouvent, sur/à celui à qui ils proposent !). Généralement, ça finit souvent par une embauche extérieure, d'ailleurs.
Bon, allez, on frôle le hors sujet, là, en se racontant nos vies !

Kentaro
Les mioches, que les gens en fassent ou pas, les parcours de vie et accidents des uns et des autres, toussa... Dans le cadre d'une discussion commerciale, on peut chercher à entendre, comprendre les motivations ou impératifs des clients, à les conseiller et les réorienter éventuellement, ou même les alerter... mais certainement pas se permettre de les juger !

Kentaro À partir du moment où on a satisfait aux obligations légales, mais qu'en plus, on l'a alerté après avoir entendu ses contraintes, on peut aussi ne pas juste le laisser se démerder.

Kentaro Le bon sens primordial, pour un vendeur, doit être de comprendre les besoins et contraintes de ses clients.

Kentaro
Un artisan, débutant ou pas, peut (ou parfois, doit) aussi répondre à ses potentiels clients, lorsqu'ils font appel à lui, s'il veut rester artisan.

Kentaro , toi aussi, tu aimes les débats sans fin, on dirait.
Mais faut pas t'énerver à ce point pour autant !

La seule chose que la règlementation impose, c'est que la mention dont je parlais y figure de façon visible et indélébile. Donc si c'est bien le cas, la règlementation est respectée.
Pour ce qui concerne le cas de conscience du menuisier, c'est dans ce sens que je proposais, en guise de précaution supplémentaire, de lui parler, et faire prendre connaissance de la règlementation, Chatongris.
On peut, d'autre part, imaginer que le client puisse avoir ses (bonnes) raisons (manque de place, dans son logement, par exemple).
J'ose croire que paulkerjean ne mettra pas plus comme libellé sur ses devis et facture, que "lit mezzanine", sans autre mention, Erebor.
etiennedesthuilliers

Il ne faut pas le prendre comme un interrogatoire, ni une demande à ce que tu te "justifie". Il aimerait juste comprendre, satisfaire son envie d'apprendre et de savoir. Pas de quoi fouetter un chat.
Tu pourrais, par exemple, juste lui communiquer les références (ou liens) des publications dont tu parles, tout simplement.