
Ah mais, je connais le sens du mot en français Olivier Vernhettes ! C'est bien pour ça que je le signale.
En français, c'est plutôt un défaut, que ce mot décrit. Alors qu'en anglais, c'est une qualité

Que les uns ou les autres, ici, te répondent en t'indiquant les noms de fournisseurs près de chez eux, un peu partout en France et outremer, ne t'aidera pas beaucoup.
Profite donc de ta liberté pour rechercher et prendre contact avec les revendeurs qui desservent ton secteur géographique, elle serait mieux utilisée.
Bonne journée.

GRMWood Et bien si tu as une demande si atypique et adaptée à un besoin particulier, il faut l'exposer dans ta question, tu aurais peut-être plus de réponses.

Salut !
J'ai fait quelques essais cette semaine, tenu avec du scotch de masquage (du bleu "Scotch Multi surfaces" de chez 3M, (mais un autre plus classique, de qualité tout de même pourrait aussi le faire) + colle cyanoacrylate.
Donc, avec cette méthode, ça marche aussi, comme je l'explique ici
Par contre, je ne sais pas comment et avec quoi sont tranchées tes rondelles, les miennes étaient faites avec une scie à ruban et une très bonne lame, donc une surface déjà très plane, sans irrégularités. Je n'avais pas de buis, mais du charme, autre bois aussi assez dur. Mais même en ponçant avec une ponceuse à bande, ça reste très fastidieux et long d'obtenir une surface propre.
Alors si tu le fais seulement avec une orbitale, ça risque de vite être une sacrée corvée !
À confirmer par tes éventuels essais, mais une ponceuse à bande pourrait être indispensable (+ des bandes de différents grains, suivant l'état de surface de départ), surtout si tu as 150 pièces.
Et sur le plan du système de tenue, j'avais aussi fait l'essai avec mes baguettes en faux parallèle (même si je n'ai pas mis de photos), mais ça marche très bien.
Par contre, ma 2ème proposition, avec une baguette qui vient servir de pince, faut oublier ! Pas adapté, à l'usage d'une ponceuse à bande, et la main qui agirait sur le serrage ne tiendrait pas longtemps !

Merci les arbres
Les différents types de ponceuses seront "efficaces" pour les applications qui leur conviennent, ou pour lesquelles elles sont prévues, respectivement. Elles font des choses différentes, et sont complémentaires.
. Une ponceuse à bande sera plus adaptée pour du gros ponçage, pour décaper, aplanir, faire affleurer différentes surfaces, etc.
. Ensuite, une orbitale sera à conseiller pour le dernier ponçage, avant finition. Et à utiliser sur une surface déjà dégrossie.
Typiquement, dans ton cas, et si tu souhaites un aspect parfaitement plan, lisse et sans rayures, il faudrait les deux.
D'abord, celle à bande, pour aplanir et dégrossir au maximum. Puis l'orbitale, pour un ponçage plus fin et
sans traces, avant la finition.
Et pour le ponçage, le principe est le même, que ça soit avec une ponceuse à bande, orbitale ou même à la main : on commence avec des grains plus gros, puis progressivement on descend, pour éliminer les traces du précédent.

Oups...et bien il va me falloir des lunettes, alors
OK. Et bien, ma réponse tient toujours. Pour l'épaisseur, je proposais 22mm (donc tiré dans du 27), ce qui est donc dans ta fourchette.

Bruno78
Non, ça ne me choque pas, puisque tu auras 55mm d'épaisseur.
Le seul problème qu'il peut y avoir, mais il te suffirait de faire une simulation, avec ton nombre de traverses, posées sur deux cales en bouts, pour le vérifier, c'est qu'une par une, les traverses soient flexibles. Mais dans ce cas, si nécessaire, je proposais de rajouter une traverse, vissée à plat par dessous, pour solidariser toutes tes lames.

Pour la peinture, sur place, c'est possible.
Par contre, pour le soubassement, si pour réaliser des formes cintrées, le CP cintrable est un produit génial et idéal, il n'est pas du tout adapté directement en matériau de surface exposée. Le fromager (le bois de ce nom) dont il est constitué a l'avantage d'être souple et ultra tendre, ce qui en fait l'intérêt pour du CP cintrable. Mais cela devient un inconvénient si exposé aux contacts et aux chocs. Ça se marque, se casse, s’ébrèche comme un rien.
En outre, la surface très poreuse nécessiterait de recevoir plusieurs couches d'enduit puis d'apprêt, alternées de ponçages, pour enfin recevoir une peinture.
Pour un soubassement tel que celui là, il faudrait y rapporter une couche de stratifié, par exemple. Après un coup de ponçage, ça serait prêt à recevoir une peinture... et résistant.
Pour les joints entre modules, je ne conseillerais pas de chercher à les cacher, mais plutôt de les marquer. Tu pourrais les enduire et masquer tant que tu voudras, ça finira toujours par craquer, et former des fissures bien moins esthétiques qu'un joint légèrement marqué. Joint qui, là où il sera placé, ne se verra que très peu, à plus forte raison, quand il y aura des coussins dessus, et des tables devant.
Toujours concernant ce soubassement, il est toujours plus confortable pour l'utilisateur qu'il soit en retrait du bord de l'assise, et surtout pas à l’aplomb.
Quand tu parles de "masquer les liaisons entre coussins", ça veut dire quoi ???
Tu ne vas quand même pas les mastiquer !
Non, si des joints de coussins sont visibles, ça n'est pas un problème, sachant tout de même qu'il peut y en avoir moins que de modules de structure, du fait des formats de tissus et de mousse.
Pour la plinthe, c'est mieux effectivement d'en avoir une, pour les raisons que je donnais hier.
Et dans tous les cas, un panneau à l'horizontale directement au sol est à éviter absolument. De plus, on est dans un restaurant, donc des "accidents" sont possibles, un verre, une bouteille, ou même un plat qui tombe... Il faut pouvoir nettoyer, et même laver le sol, sans que le soubassement n'absorbe ou ne retienne l'humidité.
Pour la structure, je ferais tout ça en CP de 18mm. C'est même plus facile à découper que le MDF.
... Mais je vais faire quelques croquis de ce que j'imagine, comme solution. Je reviens plus tard...

artson
De retour... pas eu le temps hier soir.
Je complète ma réponse d'hier avec une proposition de méthode de fabrication :
Pour la façade, je ferais une première forme pour la partie haute, qui serait ensuite copiée à la défonceuse pour la seconde.
Ensuite, avec un guide déporté, tu fais la forme en retrait pour le socle, puis tu copies de nouveau pour la seconde pièce.
Après, on assemble ces sortes d'échelles cintrées au moyen de montants, toujours en CP par vissage. Dans l'esprit de ce qu'on voit ici.
Pour l'habillage, 2 couches de CP cintrable, collées/agrafées pour la partie principale.
Une seule couche collée à l'atelier pour le socle (la seconde étant mise à la pose).
Sous le socle, tu encastres des pieds réglables de ce genre. Prévoir dès l'atelier, des perçages qui permettront de régler par l'intérieur de la structure.
Dès l'atelier, tu peux fixer ces socles aux parties hautes.
Prévoir aussi des lisses murales, toujours en CP. Avec des découpes qui recevront des traverses en CP, qui permettront de fixer ta façade, puis y poser/fixer et rigidifier l'assise.
Avec tout ça, à la pose :
. Fixation des lisses au mur, au niveau souhaité.
. Positionner et relier les différents modules entre eux, et traîner aux murs de chaque bout.
. Réglage de niveau, par l'intérieur + liaison à la lisse murale par les traverses.
. Mise en place et ajustage de la seconde couche de CP cintrable, sur le socle, 1 couche de stratifié + joint d'étanchéité (ou joint d'étanchéité, joint mousse, etc, en dessous)
. Mise en place et ajustage des dessus.
Et 2 croquis pour le principe, ci-dessous.

C'est toi qui as pris les photos ? Si c'est le cas, il est toujours intéressant d'observer sous tous les angles qu'il est possible de voir, ici, vu de dessous. Ça peut aussi être instructif, pour comprendre la façon de faire.
Sinon, ça peut être un système d'assemblage par clés. Il s'agit de faux tenons, assemblés dans 2 mortaises, faces à faces, puis chevillés.

kevkl Rien de particulier, mais c'est toujours intéressant d'avoir une vision sous tous les angles auxquels il est possible d'accéder ou de voir, pour avoir une analyse la plus complète possible.
Ici, par exemple, on peut peut-être voir par dessous, les chevilles déboucher... ou pas.
Parfois, on y fait aussi des découvertes surprenantes
Sinon, voilà le mode d'assemblage dont je parlais, ci-dessous.

cocoM "l'emprunt/location d'une ponceuse calibreuse" !?!?
On trouve ça où ???
Ou alors ponceuse à bande, ou peut-être une ponceuse à cylindre, je comprendrais mieux.

cocoM
Ah mais, sur la colle chaude en soi, je n'ai aucune inquiétude quant-à sa bonne tenue. Je l'utilise d'ailleurs aussi, pour du tournage ou autres cas. Ça apporte une solution dans plusieurs situations particulières.
Et si effectivement chacune des rondelles est parfaitement collée sur toute sa périphérie, j'aurais beaucoup moins de crainte à passer des panneaux ainsi constitués dans une calibreuse...
Sauf que, qui aura opté pour cette solution ?
En effet, si on a aussi anticipé l'opération de décollage qui s'ensuivra, (sachant qu'ici, ce ne sont que des rondelles, en bois de bout, de 8mm d'épaisseur), pas sûr que ça soit la solution de maintien qui ait été retenue.
Ou alors, celui qui l'aura retenue y passera un temps plus important que ce qu'il aura gagné en passant en calibreuse, tout en ayant un risque de casse sur une bonne partie de ses rondelles.
C'est donc le bon compromis, parfaite tenue des pièces une fois dans la ponceuse/facilité de démontage, et sans casse, qu'il est difficile de trouver.

Bonjour cocoM
Bon... j'ai testé, et ça marche ! En tout cas pour ce qui concerne le système de maintien au scotch et colle cyanoacrylate.
J'avais un rondin de charme, sec et sans fente, dans lequel j'ai tranché des rondelles 80 à 90mm de diamètre, et de +/- 8mm en épaisseur.
Petit impératif pour que la méthode marche, cependant, il faut que les rondelles soient finement coupées, sans trop d'irrégularité, relativement planes, et d'épaisseur constante, ce que la scie à ruban avec un guide, ainsi qu'une lame en parfait état permet.
Ou sinon une grosse radiale, mais il y aura d'autres contraintes.
Mais tout le monde ne dispose pas de ces machines.
Coupé à la tronçonneuse, on y sera clairement pas, car difficile d'avoir une surface plane et sans irrégularité, donc l'adhésion ne sera donc pas aussi bonne. Difficile aussi d'avoir une épaisseur constante. D'autant plus que, je l'ai vérifié ensuite, pour avoir poncé mes 2 disques à la ponceuse à bande, poncer du bois de bout est difficile et exigeant. Alors si en plus la surface est irrégulière.
Mais le système de collage fonctionne (même si dans mon cas, je n'ai mis de scotch que du côté rondelle, l'autre face se collant sur une chute de panneau stratifié). L'adhésion est très bonne, tout en gardant un décollage assez aisé, et dans le cas de mes rondelles en charme, sans trop de risque de casse.

Une courroie, ça ne se serre pas "comme un âne". Il faut une tension raisonnable, mais pas exagérée, car ça serait rapidement source de problème sur les roulements qui subiraient trop de contraintes ou provoquerait une usure encore plus rapide des courroies.
Si tu ne vois rien anormal, pour l'instant, il faudrait alors tester tout ça, et procéder par élimination.
D'abord enlever la chaine, et remettre la machine en marche pour voir le bruit est éliminé ou pas.
Puis ensuite enlever la courroie. Et progressivement, tester les rotations des différents organes entrainés, à la main, pour vérifier si ça tourne librement, si rien n'accroche, s'il n'y a pas de bruit anormal, etc.
Et tant qu'à démonter, bien vérifier l'état des chaine et courroie.

La solution de la ponceuse calibreuse peut paraitre séduisante, en effet. D'autant plus qu'on peut imaginer de faire le tout en série sur 1 ou 2, 3 panneaux...
Mais en tant qu'ancien pro, si un bricolo était venu me voir sans avoir d'abord trouvé une solution de fixation ultra-fiable, pour toutes ses rondelles, ça aurait été non !
Une seule rondelle qui se casse ou qui se décolle, ça peut faire du dégât, dans une calibreuse.
Et quand bien même, une solution de collage suffisamment fiable aurait été trouvée... il faut aussi envisager le décollage, ensuite. Cela sans en casser un bon nombre.

Erebor Des moyens de fixation et de collage, il peut y en avoir de toutes sortes, et quantité de combinaisons possibles.
Mais il faut aussi tenir compte qu'ici, il faut se coller sur du bois de bout. Donc, adhésion limitée + risque de casse important des rondelles.
Il faut donc trouver une solution de collage capable de résister aux contraintes de la ponceuse calibreuse, sans le moindre risque que les rondelles se cassent ou se décollent, tout en restant relativement facile à décoller tout de même, et ne laissant pas de trace. Pas simple...
(À ne pas oublier de prendre en compte, d'autre part, si le passage en large bande pourrait faire gagner un temps important sur l'opération de ponçage, la phase de collage/décollage, elle, risque d'en faire perdre beaucoup, sinon plus que ce qui aura été gagné.)
Verdict : je ne passe toujours pas ta solution dans une calibreuse.

Il ne s'agit pas de la came "E", mais de la pièce "G", qui lui manque.
Elle doit avoir une forme, à priori cubique, avec usiné sur le dessus, des dents adaptées à la crémaillère, et en bas, un usinage en spirale, dans lequel vient s'insérer et agir la came en spirale.
C'est cette pièce que je lui proposais de tenter de faire refaire auprès d'un usineur.
Et je te demandais si tu avais un avis sur le métal à employer.
OK, donc les fers seraient donc bien réglables en hauteur, au moins sur une petite plage.
Prudence quand même.
)

Je comprends parfaitement l'argument financier, mais si une machine est prévue pour fonctionner d'une manière, elle a souvent aussi été pensée pour qu'elle ne puisse pas l'être d'une autre... (Il faut bien garder sa clientèle captive, pour les pièces de rechange
Et des fers sur un arbre qui tourne à haute vitesse, ça peut être vite être dangereux si mal tenus ou mal équilibrés.