406 commentaires
Medalegno
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Je suis d'accord

Ah ben voilà ! La pièce que tout le monde cherche !
Là, tu as tout, cla28. Pour le métal, ça n'est pas du laiton, comme je suggérais.
Tu peux lui attribuer un statut de meilleure réponse, pour tout ça.
Merci yoann

Medalegno

Il ne s'agit pas de la came "E", mais de la pièce "G", qui lui manque.
Elle doit avoir une forme, à priori cubique, avec usiné sur le dessus, des dents adaptées à la crémaillère, et en bas, un usinage en spirale, dans lequel vient s'insérer et agir la came en spirale.
C'est cette pièce que je lui proposais de tenter de faire refaire auprès d'un usineur.
Et je te demandais si tu avais un avis sur le métal à employer.
😉

Medalegno

OK, je savais concernant le changement de nom pour HIKOKI (qui s'appelait avant "Hitachi Koki", de son nom complet), et que Metabo a été racheté par ce groupe japonais, il y a quelques années.
Mais pour mon info... (et puis celle des autres aussi) puisque tu travailles en GSB, Hikoki ne vaudrait plus ce qu'était Hitachi pour l'électro-portatif, il y a encore quelques années ?

P.S. J'ai encore plusieurs machines Hitachi, qui ont entre 10 et pas loin de 40 ans qui fonctionnent encore parfaitement, moyennant quelques entretiens, bien sûr.
😉

Medalegno
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OK. Enfin je pense que le commercial de Metabo, il a tout intérêt à mettre en avant la marque qu'il représente, par rapport aux autres, y compris Hikoki/Hitachi, même si celle-ci est maintenant la maison mère de Metabo. Sur le terrain, les marques restent concurrentes.
Merci de l'info tout de même.
😉

Medalegno

OlivierMontagne
. Tu as une photo, des pièces en question ?
. Et aussi nous donner un ordre d'idée, de la valeur de ces courbes, en centimètre par mètre, ou avec une règle, pour mieux se rendre compte de l'état de surface actuel, et de la courbe ?
😉

Medalegno

Ah, c'est inspiré de style coréen ? OK. Je comprends mieux les choix esthétiques, dans ce cas.

Oui, mettre un tasseau continu peut améliorer. Mais tout dépend du poids que tu y mettras, comme je disais plus haut.

Mais l'usage lamello ne peut pas se faire seul. Soit il faut coller, ce qui rend l'ensemble indémontable. Ou alors des vis (dessous pour les plus basses, dessus en haut, comme ça très peu seront visibles). D'où ma proposition de n'y mettre que des vis, qui renforceront bien plus que les lamello.
😉

Medalegno
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L'if fraichement corroyé tend plutôt vers le orange, mais surtout, l'aubier est très distinct, et très blanc, par rapport au duramen. Là, aucun aubier qui se distingue nettement. Il a une odeur reconnaissable à l'usinage, aussi.

Medalegno
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dneis Je n'affirme pas que ça n'en est pas, mais je dis avoir un doute. Même un gros doute.

Habituellement, pour l'if, l'aubier est très distinct, pas jaune, mais presque crème, voire tirant vers le blanc, par rapport au reste qui est plutôt orange. (Orange clair s'il est frais de débit ou corroyage, puis qui deviendra bien plus orange plus foncé... puis carrément brun-foncé-rouge, après des années à la lumière)

En dehors de l'aubier, tout le duramen est relativement homogène, en couleur, habituellement. Même si suivant les billes, il arrive qu'il y ait des variations, des parties plus colorées, parfois mêmes des cœurs plus bruns (mais ça, ça peut être le cas de nombreux bois) suivant les spécimens. Et l'aubier représente, entre 2 à 4cm, environ, donc même dans les plateaux qu'on voit en dosse, ici, il serait surprenant qu'on n'y voie que de l'aubier.

Autres caractéristiques de l'if, que je ne trouve pas ici :
. Cernes d'accroissement serrés à très serrés, ceci de façon irrégulière, sur la largeur d'un plateau. Ici, ça parait très large.
. Il présente souvent un veinage assez tourmenté, du fait de son tronc parfois "cannelé".
. On y trouve aussi fréquemment de tout petits nœuds bruns.
. Sur de vieux plateaux secs, l'écorce se détache (ou tombe) facilement, et de façon très nette, pour en révéler l'aubier très clair, qui lui reste intact, ne bruni ou ne se dégrade pas, comme c'est le cas ici.
😉

Tamm Coat Qu'est-ce que tu veux dire, quand tu parles d'avoir gratté l'aubier ?🤔

Medalegno

Tamm Coat
Bon... et bien ça confirme ce que je pensais, alors.
Si l'aubier était dégradé au point d'arriver à le brosser ou gratter pour le faire tomber, ça n'est clairement pas de l'if. Ce dernier ayant un aubier tout aussi durable que le duramen.

Comme dit plus haut, après quelques années de séchage, l'écorce tombe, de façon très nette, laissant apparaître l'aubier qui lui, ne se dégrade pas. Il peut juste, si laissé stocké à l'extérieur, présenter des tâches grises ou bleutées.

Ceci dit, tu peux tout de même en faire des étagères, ça n'empêche pas ! 😅
😉

Medalegno

Tamm Coat
Ben, un Tamm coat ! 😜

Et en français, un conifère, sûrement (comme l'if, d'où la ressemblance), peut-être un résineux (ce que l'if n'est pas, par contre).

En aspect de veinage, largeur et fréquence des cernes, couleur un peu plus palote que l'if, ça peut faire penser à du cyprès.
Mais pour l'aubier, c'est pareil à l'if, plus blanc et aussi durable. Donc avec cet aubier qui se désagrège, ici, ça ne colle pas parfaitement.
Je ne sais donc pas en dire plus.
😉

Medalegno

HIKOKI, c'est le nouveau nom d'HITACHI, pour l'électro-portatif, depuis quelques années.
Très bonne marque, de ce que j'en connais jusqu'à aujourd'hui, en tout cas... et hors éventuelle contrefaçon, bien entendu.
😉

Medalegno

OK, si c'est 20, puis 100 par semaine, il peut y avoir un peu de temps à gagner, en effet. Même si avec un 1/4 de rond de 6, il y en a peu, à poncer.

Pas de solution toute faite à proposer, mais, suivant les machines dont tu disposes, ça pourrait valoir le coup de tester ça, à monter sur une toupie, perceuse à colonne, ou alors la machine qu'ils vendent spécifiquement pour.

Ensuite, un montage, une sorte de table inclinée à 45°, pour faire passer les pièces au contact du rouleau nylon, un peu comme on le ferait à la toupie.

Il va falloir aussi un peu d'ingéniosité et de méthode D, comme tu dis, mais si ça marche, tu pourrais y gagner. Reste à le vérifier...
😉

Medalegno

Malijaï
Ouh là, "les modes de datation" ! Vaste sujet, qu'il serait long de décrire ici, mais quelques indispensables rapidement résumés, alors :

S'intéresser à l'histoire de l'art, de la construction et du mobilier, son évolution dans le temps..
Observer, en toute occasion, apprendre à distinguer les différents styles, les tendances de toutes époques. Suivant des pays ou régions...

Connaître et reconnaître les bois, matériaux, quincailleries, colles, produits de finition employés, cela, suivant les époques, styles, tendances...

Examiner et analyser les méthodes de fabrication, les modes d'assemblage, les traces de fabrication, d'outils, de machines ou d'usinages.
Là encore, il y a eu des évolutions, des façons de faire privilégiées selon les périodes, et suivant l'outillage ou machines disponibles.
En examinant les parties visibles, mais souvent plus intéressant, les parties non directement visibles. En enlevant ou même démontant ce qui peut l'être (dos, dessous, tiroirs, plateau de table par rapport à son piétement, rallonges, etc)

Rechercher des marques, signes d'établissement, traçages, étiquettes, noms de fabricants sur les constituants du meuble ou sur les quincailleries/accessoires.

Puis on recoupe les indices recueillis, et on tente de faire la synthèse de tout ça.

PS. Concernant le "parquet Versailles", cette appellation est/a été appliquée à différentes choses. Depuis le vrai parquet, parfois de réemploi, ou alors pour une composition/fabrication proche de celle réellement employée pour des parquets.
Mais aussi pour des compositions en placage, s'en inspirant, (ce qui n'en fait pas pour autant, et obligatoirement des "imitations" sans valeur). Ces procédés de marqueterie ayant été employés, depuis l'artisan ébéniste, jusqu'à des procédés plus industriels pour des mobiliers produits en série, suivant les époques.
😉

Medalegno
( Modifié )

Bonjour Benben
J'ai bien lu ta question, ainsi que tes différentes réponses, à moi ou à d'autres commentaires.

Ce que j'en déduis, c'est que tu n'es pas très équipé pour l'instant, et en conséquence, je me pose la question de ton niveau d'expérience dans le travail du bois. Ça n'est pas pour te décourager, mais est-ce qu'un établi est le premier "indispensable", pour débuter ?
Beaucoup ont commencé sans véritable établi, sur une table de travail, que tu amélioreras au fil de tes besoins et de ta progression.
Peut-être pourrais-tu commencer par te faire de petits aménagements ou rangement pour ton espace de travail, et t'équiper progressivement, tout en t'attaquant à d'autres réalisations.

Ça me parait un peu compliqué de démarrer par cet établi en traverses de chemin de fer, ce qui n'est pas le bois le plus adapté (produits de traitement, cailloux incrustés dans le bois, beaucoup à raboter pour obtenir une surface correcte, etc). De telles traverses nécessiteraient d'être rectifiées en planéité et épaisseur (je dis "rectifiées", pour ne pas dire rabotées, du fait des gravillons qu'il peut y avoir), voire, refendues (ça doit faire quelque chose comme 240 x 140, en section). C'est travail lourd et conséquent, avec peu d'outils.

Peux-tu nous en dire plus sur ton expérience dans le travail du bois, ce que tu as déjà réalisé, pour peut-être mieux tenter de conseiller et t'orienter ?
Ou alors me dire que je me trompe, concernant ton expérience !
😉

Medalegno
( Modifié )

Bonjour.
Je ne vois pas en quoi, ne pouvoir utiliser que des queues de 6, limiterait le choix en matière que qualité.
Tu parles de CMT, ils ont tout un panel de références, en queue de 6, de la même qualité que des queues de 8.

Ici la page avec le tableau de choix pour, par exemple, des fraises à roulement 1/4 de rond.
C'est pareil pour d'autres profils, ou chez d'autres fabricants.
😉

Medalegno

17mm de profondeur d'usinage, tout dépend de ce que c'est, de la puissance de ta toupie, mais pour une rainure, ça peut être peu, et pour une feuillure, ça peut être beaucoup. Difficile de se rendre compte.

Je te conseille de faire des essais, avec ton entraineur, avec des pièces, mais sans outil, pour t'y habituer, trouver les bons réglages (pression, hauteur, angle, etc). Puis progressivement, avec des pièces d'essais, pour voir ce que peut prendre ta toupie.

J'ai regardé les caractéristiques de cet entraineur, 5M/Mn au minimum, ce n'est vraiment pas énorme, comme vitesse d'avance. Avec des entraineurs professionnels, je suis le plus souvent à 8 ou 11, suivant l'usinage, et l'état de surface souhaité.
😉

Medalegno
Je suis d'accord

Tout-à fait !
Je rajouterais que, moins la fraise coupe, plus on a tendance à ralentir, et plus on lui permet de s'échauffer... plus elle se désaffûte > C'est le cercle vicieux !
Même dans les angles, les courbes un peu serrées, il faut conserver une vitesse d'avance adaptée, alors que, c'est vrai, on a naturellement tendance à (trop) y ralentir. (C'est d'ailleurs surtout dans ces endroits, qu'apparaissent le plus de traces noires)

Medalegno

Ben faut juste pas habiter au Mans !😂