Hello,
A mon sens, la différence de taux vient justement du fait que la vente de marchandise impose un achat en amont, donc une marge moindre, contrairement à la prestations de services.
Il ne me semble pas possible de justifier de l'absence de recettes issues de prestations de services dans une activité de menuiserie ou d'ébénisterie.
Concernant la répartition, j'aurais tendance à utiliser une règle concernant ta marge commerciale et un taux horaire pour la main d'œuvre. Pour la répartition, je pense que le contrôleur se baserait sur les statistiques sectorielles pour apprécier la taux appliqué. On ne pourra pas te reprocher de facturer 20 euros de l'heure, mais on pourra te reprocher de passer ce taux à 60 ou 100 euros dans les chantiers où il n'y a pas de marchandises vendues à côté.
Le déclaratif sera facilité et la lecture du devis également.
Ils peuvent s'alléger facilement en proposant au client de prendre en charge le matériel ou justement, si tu peux faire bénéficier de tarifs pros attractifs, de te sécuriser cette marge.
Mais, à partir du moment où il y a de l'achat, le régime micro présente généralement une moindre attractivité. La souplesse du déclaratif se voit souvent détrôner par l'intérêt d'un régime au réel (déclaration d'un résultat).
Attention, d'ailleurs, si vous flirtez avec les limites de recettes, les notions de dépassements de seuils changent l'an prochain.
Par curiosité, la chambre des métiers n'a-t-elle pas de la doc à ce sujet ?
Hello,
Les agenceurs posent des fileurs (feelers ?) pour compenser/harmoniser les faux-aplombs. 5 mm me semblent suffisamment faible pour être corrigés par un mastic.
Les portes restent positionnées relativement au meuble, en général, mais elles peuvent aussi jouer le rôle du fileur ou dépasser de l'objet pour des raisons esthétiques.
5mm sur 2m50, personnellement, je vivrais probablement avec, quitte à juste jouer sur la quincaillerie pour le répartir sur les trois écarts de la largeur.