Mathieu25260 Les seuils sont déterminés par la loi de finance et son décret d'application, je pense. Ils seront donc connus en janvier/février 2025.
En général, les évolutions sont très contenues, donc les seuils actuels présentent un bon ordre de grandeur.
Si tu commences ton activité, il faut surtout avoir en tête que le seuil qui te permet de bénéficier du régime micro et le seuil qui te permet de bénéficier de la franchise en base de TVA ne sont pas les mêmes (grosso modo la moitié du premier).
Enfin la notion de dépassement du seuil de la TVA est différente : cela devient une obligation fiscale dès le mois du dépassement, alors qu'en fiscal, on est sur une notion de dépassement sur deux ans.
Je pense qu'en terme de simplicité/flexibilité, c'est une bonne option de démarrer sur une structure légère, en entreprise individuelle, au statut micro.
En revanche, c'est intéressant de prendre le temps de faire le point après une première année avec un professionnel ou un organisme pour étudier les options des autres régimes, voire des sociétés. Il n'y a pas de solution type, c'est souvent une affaire de compromis entre ton activité et ta situation personnelle. Et ces deux éléments peuvent évoluer dans le temps et remettre en perspective les choix initiaux !
dneis Je pense avoir lu quelque part que Douglas est le nom de l'exportateur (ou importateur selon où l'on se place) historique du pin d'Oregon.
L'appellation Pin d'Oregon serait pour moi gage de l'origine et des caractéristiques intrinsèques à l'essence, alors que le Douglas pourrait désigner cette essence (ou des similaires ?) mais plantée ailleurs dans le monde.
Les charpentiers de marine disent qu'il y a Douglas et Douglas. J'en comprends qu'un arbre qui a poussé dans un climat plus doux que le territoire originel (Oregon et ouest canadien, j'imagine) ne présente pas les caractéristiques recherchées avec des cernes de croissance beaucoup moins serrées.
Hello,
Tout pareil pour moi, des boîtes ou des caisses rigides.
Si c'est pour des outils à main et que tu as du bois à utiliser, ca peut être l'occasion d'un projet comme ca.
Bonjour Jean,
Merci pour les encouragements.
Bonne idée cette histoire de scotch, surtout pour garder les pièces d'un même projet bien ensemble.
Pour les serre-joints, tu as l'œil ! Le côté "quinconce" est une question d'équilibrage car en les mettant du même côté, ca bascule ! Mais ca vient plus du fait d'utiliser une boîte en guise de table de travail.
Cet ébéniste a fait ça avec une branche de cerisier : découpe des planchettes sur toute la "bille", recomposition de la bille et saucissonnage avec du fil de fer.
Le bois est infiniment plus fin que sur ton projet mais il précise dans les commentaires l'avoir séché à 120°C pendant 3h.
Merci Trankil pour ta réponse.
Le vendeur confirme le mono.
Je vais aller sur site pour voir tout ça en personne !
Bonjour Trankil,
Oui, hier justement. La machine est en 220v et tourne bien.
Les garnitures en liège ont pris l'emprunte de la lame car je pense que l'ancien utilisateur ne la détendait pas mais le tendeur a toujours une bonne pression.
J'ai démonté l'ensemble (table et piètement) pour le transport ce qui va me permettre un bon nettoyage avant de la remettre en route.
Je prévois aussi un affûtage des lames fournies. En revanche, l'une est très oxydée, il faudra que je vois si j'arrive à rattraper tout ça.
Merci encore pour vos réponses, ya plus qu'à s'amuser !
Merci Jéjé12 !
Foncièrement, rien de plus, mais je précise que le projet est plutôt un remplacement qu'une extension de l'outillage.
Actuellement, la scie sur table est montée sur un meuble d'atelier permanent qui représente 120 * 80 cm car j'ai intégré une défonceuse dans une des extensions.
Bien que sur roues, l'ensemble devient trop encombrant pour que la mobilité présente un réel potentiel. L'avantage est que j'ai clairement identifié cette problématique et que je vais réinstaller quoi qu'il arrive la scie sur son piètement de chantier.
Dans ma pratique, je suis plutôt aux outils à main, si bien que j'identifie principalement le besoin de délignage. La scie à ruban me séduit en plus par la possibilité de refendre, j'ai l'impression que cela me permettrait de me tourner vers du bois brut avec des capacités de coupes plus conséquentes (la hauteur de lame de la scie sur table est généreuse, mais diminue évidement avec l'épaisseur du plateau du chariot et on sent que ca force. De plus, pas de coupe par retournement possible sans arrête de référence dégauchie ou du moins bien propre.
Je dirais donc que je ne suis pas à la recherche de plus de possibilités mais plus de confort dans ce que j'entreprends. Si cela a un sens !
Effectivement, je vois souvent cette pratique dans les pas à pas ou sur les vidéos. De mon côté ce sera l'une ou l'autre !
Les avis positifs vont déjà me pousser à aller voir la machine afin d'avoir un premier ressenti.
Ce sont des machines qui me paraissent également moins bruyantes que celles sur table mais avec deux chariots qui se fabriquent avec peu d'expérience, surtout pour le délignage, la scie sur table devient extrêmement polyvalente et pratique. Je n'ai juste pas réussi encore à fabriquer un guide stable pour couper des pièces à la verticale, mais n'ayant rencontré ce besoin que deux ou trois fois, je n'ai pas non plus mis beaucoup d'effort dans la réflexion.
Je pense enfin qu'on rentre quand même dans le subjectif sur nos pratiques respectives et qu'il y aura autant de bonne réponse que de menuisiers !
Bonjour Bingo,
Merci de ton retour.
J'exagère un peu, le local fait 4*3m mais un escalier droit dans un angle, un gros chauffe-eau au milieu d'un mur et un "meuble" maçonné sur le mur d'enface réduisent la surface utile.
Mais, si je vise bien, je peux exploiter une diagonale en totalité, donc 5m linéaire si j'applique le théorème du 3-4-5 !
En tout cas, ces quelques réponses m'encouragent déjà à passer à l'étape de la visite de l'atelier du vendeur !
C'est assez intéressant, effectivement, on pourrait défendre de ne constater la prestations qu'en cas de pose.
Surtout que, je ne l'avais pas en tête mais, outre le taux de cotisations plus faible, il y a un abattement pour l'impôt sur le revenu de 71 % sur les recettes de ventes de marchandises contre 50 pour les prestations.
Finalement, la limite ne serait-elle pas l'intervention chez le client ? Si un outil est sorti chez le client, alors on bascule pour cette partie du devis sur de la prestation.