Merci glaude !
Ca me perturbe ta question.
Tu compare une lame de 216 et une de 305, deux machines qui boxent pas dans la même catégorie. C'est pas comparable.
Tu veut une 216, légère, compacte, déplaçable? : KS60, GCM 8 ou 10, et KGS 216, très bon rapport qualité prix.
Tu veut une 305 : Kapex 120, GCM 12, et consort chez metabo, dewalt, makita. Mais une 305 c'est déjà une grosse bête (qui se déplace pas comme ca) et un budget! Et du coup si c'est pour rester à l'atelier le mieux c'est la radiale pendulaire( Qui se trouve pour même pas la moitié d'une GCM 12....)
Petit rappel pour ceux qui ne connaissent pas la radiale pendulaire
Kentaro, Que préconise tu pour de l'extérieur?
Pour compléter la réponse d'Ara.
Les point de contrôle pour valider ou non la possibilité d'utiliser un variateur quand tu cherche la machine:
1) la plaque signalétique du moteur (que je demande systématiquement au vendeur avant de me déplacer). Si elle indique 2 tensions (220-230/380-400 selon les années) c'est gagné.
2) le control de la boite à borne qui doit présenter un schéma triangle (que l'on détourne de son usage habituel) C'est ce câblage triangle qui correspond à la tension 220V de la plaque. Attention il existe des Etoile/triangle 690-400V!
-3) le schéma/ l'armoire mais méfiance on parle de machines ui sont souvent passées dans plusieurs mains, ont été bricolés, modifiées, adaptées..
Et bien sur la puissance de ce moteur et le courant en ligne dispo chez toi...
Tu aura du mal à faire ce type de montage sur des moteurs de plus de 1500-2000w.
Parce que les variateurs d'existent plus (dans leur gamme actuelle SE s'arrête à 2200w). Et parce que les courants en ligne coté entrée montent très vite, pas de secret, la physique à ses lois. Un 2.2KW câblé de cette manière consomme 24A en entrée de variateur...
Alors du coup cette histoire de languette tu en sais plus?
C'est pas courant d'avoir un contact de cette manière sur le rotor, ca m'intrigue. Un lien avec l'éclairage ?
Sinon, tu as raison, faisons durer chacun de nos chers outils
Ara je disais avoir câblé des milliers de moteurs, c'est le cas. Pas avoir bobiné des milliers de moteurs, nuance importante tout de même. Mais je vais creuser, c'est pas courant. Il y aurait pas un "fil" entre cette languette et la carte des leds?
Ara je penche pour une mise à la masse des masses métalliques de l'induit ou une mesure de rotation
Salut,
Un var transforme du 230 mono en 230 tri, c'est de l'électrotechnique.
Le jour ou un var transformera du 230 mono en 400 Tri, ca sera de la magie. Après l'électronique de puissance sait faire des convertisseurs statiques 230-400 mais le rapport de courant sera bien bien élevé.
Je n'ai pas vu ta vidéo mais effectivement le lien entre un Var et son moteur ne doit jamais être commuté, c'est la règle de base.
Du coup si l'ensemble Var-Moteur est indissociable, pour conserver les commande machine, il faut les câbler sur le Var qui est bien évidement prévu pour. Les règles de l'art sont ce qu'elles sont et il est normal que l'on t'ai repris.
Sur ce, au besoin tu sais ou me trouver
benjams
Bah j'ai câblé quelques milliers de moteurs dans ma vie et n'en est jamais vu... Mais bon, par acquis de conscience, je viens de faire le tour des fabricants sérieux, rien dans les catalogues comme prévu.
Logique ca ne correspond au besoins de presque personne et techniquement c'est une usine à gaz fort couteuse. On parle plus que de hachage là, mais de transformation statique Alors si vous savez ou trouver ce genre de bizarrerie je suis curieux de voir mais je pense que vous n'en trouverez pas ou/et qu'on sera déçu.
Je vois deux questions en une, câblage et protection.
Bon il y'a un prérequis, dans mes réponses je parle de variateurs professionnels construits par des gens sérieux (Télémécanique-Schneider/Siemens/SEW/Bradley/Danfoss..)
Pour la protection :
Oui le variateur protège son moteur si il à été correctement configuré. A la programmation on rentre les caractéristiques du moteur et le variateur mesure en temps réel ce qui se passe. Au moindre doute il se met en défaut. C'est entre autre pour ca que l'on ne dois jamais intercaler quelque chose type contacteur entre moteur et variateur. Lui il voit ca comme un défaut, et puis c'est pas terrible pour la longévité du var (usure prématurée des hacheurs et des condos notamment)
Mais le variateur doit lui même être protégé par un magnétothermique moteur, c'est le constructeur qui fixe la valeur du thermique. (C'est dans la doc).
Pour la commande :
La solution "propre et dans les règles de l'art" est d'alimenter ton moteur directement depuis le variateur( Quand je dis directement, en industrie on ne passe même pas par un bornier, le câble fait un direct). Et de commander ton var via tes boutons machine (ou un pupitre tout neuf ou des boutons "bout de chariot", tout est possible). Après le câblage précis dépend du variateur que tu as, mais tous proposent au moins quelques entrées logiques programmables.
A titre d'exemple(purement informatif hein), je te partage un extrait de plan d'une perceuse équipée d'un bouton marche, d'un bouton arrêt, d'un choix du sens de rotation et d'une commande de vitesse déportée.
Merci, venant d'un pro, c'est un beau compliment pour un bouenou comme moi.
Oui je l'ait vu aussi ce vérin, j'ai étudié la question et même trouvé un fournisseur!
Mais c'est pas donné.
Mais la finition de cette serre s'est fait dans la précipitation. J’étais noyé dans le boulot, les tomates attendait dans leurs bacs de semis, il fallait aller vite, je ne pouvais pas attendre une pièce plusieurs jours puis passer du temps à fabriquer une pièce d’adaptation... donc j'ai été au plus simple.
Peur non, je n'ait pas de retour sur le sujet, ont verra!
Bonjour bonjour, étant de formation plus métalleux que boiseux je ramène mon grain de sel.
Comme graisse "à tout faire" la lithium est pas un mauvais choix voire le bon choix, perso je vis sur un gros pot de graisse au molybdène qui est une bonne graisse à tout faire et vieillit bien quoique qu'un peu chère et peu surdimensionnée en terme de capacité.
Pour ceux qui ont des veilles fontes à paliers lisses éviter la lithium => graisse EP ou molybdène.
La vaseline je suis pas fan, la siliconée pourquoi pas sur des applications spécifiques comme dit précédemment.
Après comme il y'a proximité avec des copeaux de bois, j'aurais tendance à préconiser des degrés NGLI (qui caractérisent la viscosité) pas trop faible 2/3 au minimum, après ca degeule, ca tache le bois, ca se charge en copeaux bref ca va pas.
Après faudrait aussi évoquer les huiles, y'a beaucoup de choses à huiler au qu'il faudrait huiler sur nos machines mais pareille éviter les graisses de vaseline et consorts bien liquides, ca vole au moindre démarrage, ca lubrifie pas longtemps et on en fout partout.
Perso ayant un compresseur comme beaucoup, j'utilise de l'huile pour compresseur à piston (H150V) c'est bien visqueux, ca reste en place et lubrifie longtemps et en plus c'est pas cher. Une bonne huile "à tout faire" donc.
Voila voila
De rien
Graisse EP pour Extrême Pression. Le truc sur les paliers lisses lubrifiés (oui il en existe des non lubrifiés mais ca relève du mouton à 5 pattes ) c'est que le lubrifiant, graisse ou huile ca dépend des paliers subit une pression énorme. La fine couche de lubrifiant entre arbre et palier permet la rotation mais de fait supporte la masse de l'élément mobile. D'où la nécessité d'utiliser des graisse et huiles supportant des pressions élevées dites Ep.
C'est tout le problème, les fabricants de lubrifiant sont pas très bavard. Si c'est pas écrit sur le pot ca doit être mentionné sur la fiche technique disponible en ligne sur le site du fabricant. Après le plus simple est d'estimer à l'oeil la texture, le tableau de wiki est plutôt vrai Degrés NGLI.
Non, de tête sur les compresseur à pistons la périodicité est de l'ordre des 500h de marche. A vérifier sur le manuel. Certains compresseurs de petite puissance sont dit sans entretient, étrange mais je pense que les fabricants estiment que le seuil sera jamais atteint. Et effectivement chez beaucoup de particulier le groupe ne fera jamais 500h de marche! Après les compresseurs dont nous sommes majoritairement équipés sont, je pense des systèmes de lubrification par barbotage donc tant que le niveau est bon et l'huile claire, pour moi pas d'inquiétude à avoir.
D'ailleurs en parlant compresseur et lubrification, effectivement > lairdubois.fr/...ou pneumatiques. les constructeurs de cloueurs pneumatiques fournissent souvent une burette d'huile transparente très fine, type vaseline, c'est le cas sur mon AF506. Même si pour moi l'ideal serait de respecter les règles de l'art et d'utiliser un FRL (voire deux, un avec huile pour les outils et un sans pour la soufflette et le pistolet) mais j'ai jamais pris le temps de la faire!
De rien, vu toutes les réponses que j'ai trouvé ici je peux bien,a mon tour partager mes maigres connaissances!
Concernant les huiles,je pense qu'il faut distinguer deux cas:
les lubrification internes, quelques qu'elles soient ( barbotage, gravité, circulation, pression, saturation..) qu'on va retrouver sur nos compresseurs, sur les paliers lisses huilés, sur les roulements huilés, sur les perceuses à colonne équipées d'une boîte de vitesse meca...
la lubrification externe "a la burette", vis sans fin, glissières chandelles a rouleaux, vis de presses dormantes...
Dans le premier cas c'est pas compliqué, on suit la notice constructeur ! Les huiles employés peuvent être très variables et spécifiques... Une huile de boite n'est pas une huile pour palier lisse saturé. Les périodicités d'entretien peuvent aussi être très variables selon les cas.
Dans le deuxième cas, comme je le disais plus haut l'huile h150v pour compresseurs à piston (facile à trouver chez Brico merlin a prix correct en bidon de 5l) est de mon point de vue bien adapté à cet usage. Sauf peut être pour les glissières qui apprécient une huile spécialisée.
cartapuces C'est bien pour cela que je parlais de deux circuits, un pour l'air moteur et un pour l'air projeté.
Bon cela dit pour l'instant je met une goute d'huile dans le cloueur et c'est tout.
J'en parle dans le commentaire plus bas, un petit scieur pas loin de chez moi. Il est référencé sur adb mais sans trop d'infos pour le moment. Je complèterait cela quand j'aurai un peu de recul. En attendant si tu veux que je te file les tarots n'hésite pas
Je vois
Ni l'une ni l'autre.
Blottière, j'ai les ait consulté, j'attend encore les tarifs, de vive voix peut-être, pourtant j'en ai entendu du bien.
Morvan, c'est trop loin.
Les scieries du Maine, c'est trop gros pour un particulier qui bouffe péniblement son mcube annuel.
Bref je me fourni à la scierie du Lassay, à Lassay les châteaux. Petite structure à taille humaine, sympas, arrangeants, réactifs, prêt à dépanner, crachent pas sur les petit particuliers au petits volumes, bien placés au niveau tarif en plus par contre le cubage est un peu border. Mais dans l'ensemble je suis très satisfait et je continuerais à leur donner du taf.
Un peu de tout ca je pense.
Pour ma part j'ai rien contre le chêne, c'et un bois magique et franchement joli au naturel. Après le frêne, le châtaigner, le hêtre sont aussi de belles essences au naturel, parfois un peu plus complexes à travailler.
Après les canons esthétiques du moment sont au bois presque blanc et au formes épurées ( même si dans ca cas ont en est loin et c'est beau).Perso la teinte du chêne ne me dérange pas, après ont à l'image d'un bois sombre, surement l'effet du gout (parfois immodéré) des anciens pour les teintes et la tendance du bois à foncer avec le temps.
Mais clairement je n'achète pas de chêne, celui que j'ai en stock est de la récup. Et c'est le prix qui est rédhibitoire, il y'a quand même 200 à 300€ de plus au mcube par rapport au autres essences cités, c'est franchement pas négligeable. En fait j'adore cette essence mais je la trouve surcotée... dommage
Merci Malijaï !