Je ne vois pas ce que l'essence d'orange a de préférable à l'essence de térébenthine ? Dans le temps, j'utilisais de l'essence d'orange pour diluer des encres de sérigraphie et peindre des bâches en PVC : ça rongeait la bâche en la rendant matte. C'était ça ou le thinner cellulosique, c.-à-d. que c'est vachement plus mordant que de l'essence de térébenthine.
J'ai lu quelque part (?) que dans le temps les peintres en bâtiment pissant un peu n'importe où sur chantier l'on fait dans de la peinture à l'huile (de lin), ce qui aurait donné une émulsion de résine uréthane de par l'ajout de matière azotée. Aujourd'hui polymérisée, la résine uréthane est devenue polyuréthane.
Ah oui, et aussi l'huile d'œillette (une sorte de pavot) qui jaunit peu. À trois, ce sont les grands standards de la peinture à l'huile, toutes comestibles.
Je ne vois pas ce que l'essence d'orange a de préférable à l'essence de térébenthine ? Dans le temps, j'utilisais de l'essence d'orange pour diluer des encres de sérigraphie et peindre des bâches en PVC : ça rongeait la bâche en la rendant matte. C'était ça ou le thinner cellulosique, c.-à-d. que c'est vachement plus mordant que de l'essence de térébenthine.
J'ai lu quelque part (?) que dans le temps les peintres en bâtiment pissant un peu n'importe où sur chantier l'on fait dans de la peinture à l'huile (de lin), ce qui aurait donné une émulsion de résine uréthane de par l'ajout de matière azotée. Aujourd'hui polymérisée, la résine uréthane est devenue polyuréthane.