Mon fils est décédé, mais il utilisait des marqueurs à la latte (je suis Belge, on ne dit pas « règle » pour un tel objet chez nous, une règle c'est une section carrée ou isocèle), ça peut baver aussi. C'est surtout moi qui aurait aimé une belle latte comme je la décris, car je faisais mes épures au tire-ligne avec de la gouache quand il fallait de la couleur. Mais OK, ma latte à épures était transparente donc en plastique, avec des demi-millimètres, tandis que mes lattes à découper étaient en alu avec feuillure inox tout le long, même celle de 1m50.
Je me servais aussi d'une latte pour tracer des moulures en trompe-l'œil à la peinture à l'huile.
Un jour je suis arrivé à couper une pomme en deux au vol, grâce à une latte pur inox de 50 cm. Sale gosse.
Dommage que tu n'aies pas tenu compte des approches (espace entre deux lettres) : une lettre ouverte du genre « L » doit être resserrée du côté de son ouverture, un « A » doit l'être des deux côtés.
Donc, le premier A aurait dû plus coller au premier N, le second A a l'air bon du côté du second N, mais aurait pu serrer du côté B, les deux L auraient dû être resserrés entre eux, et enfin le dernier E aurait dû être resserré vers le second L. Sachant que les ouvertures du A sont moindres que celle à droite du L.
En fait ce principe de typographie s'appelle le « crénage ».
José Das Neves , tu démarres du dessus pour agrafer la bâche sur les montants, tu rabats la bâche selon le volume en faisant des plis réguliers que tu agrafes. Tu procèdes en te déplaçant en révolution autour du dôme pour une meilleure régularité. Il y aura de plus en plus de plis au fur et à mesure que tu descends, il faudra les répartir harmonieusement sur les montants. Arrivé en bas, tu peux couper pour éviter trop d'épaisseurs de plis.
Tu termines en recouvrant les arêtes, donc les plis, par une latte vissée.
Mouais, je ne suis pas convaincu par les arguments de ce site. Une serre tunnel est tout de même bien plus simple à utiliser et à ventiler, avec nettement moins de place perdue. Mais c'est moins beau et moins « bio-dynamique » (dont il n'est pas évident que ça ait la moindre utilité).
En fait il y a beaucoup de déchets de couverture avec le dôme, même si on découpe chaque triangle individuellement car il faut les tendre par l'arrière comme un châssis de peintre.
Sur la maquette, il y a énormément de bois qui occulterait la lumière, mais ce modèle a l'avantage de se passer de connecteurs.
J'en ai rebâché une. On a simplement utilisé du plastique à tunnel horticole anti UV.
Exemple.
Oui, c'était galère, plein de plis et de découpes. Mais ici la structure me semble plus facile dans la mesure où chaque panneau semble pourrait être considéré comme un châssis individuel. C'est à dire que chaque panneau être tendu de plastique horticole comme une toile à peindre. Et l'ensemble des panneaux pourrait n'être assemblé qu'après la tension des différentes surfaces plastiques. Pour finir, des lattes pourrait terminer les arrêtes. On avait de toute manière été obligés de terminer par des lattes pour consolider nos agrafages et avec nos couches et surcouches de plis ce n'était pas très beau.
Je t'ai mis l'aspect fini.
Je pense que c'est pas mal du tout, mais que à l'usage ça manquera d'ergonomie.
Dès lors que tu ne peux rien mettre sur ton système à couteaux, il n'est pas pratique : tu aurais pu simplement laisser dépasser les manches de couteaux. En plus, le fait que le sommet s'incline, il prend aussi de la place sur le côté. C'est dommage pour une si belle réalisation qu'elle va s'avérer plus gênante qu'autre chose. Surtout qu'elle empiète un peu sur l'espace des assiettes lorsque tu seras assis.
Tu perds l'intérêt d'une bonne partie de ton radiateur à placer ce meuble là. Peut-être qu'il faudrait opter pour un modèle vertical qui ne soit pas obturé par le meuble. Un radiateur où tu puisses faire sécher les torchons, par exemple.
Ceci dit, je ne suis pas capable de faire un tel boulot, seulement capable de critiquer, et seulement ce qui ne va pas, alors je laisse les autres intervenir en positif.
Ça me semble idéal pour toute l'alimentation fraîche. Je me verrais bien y mettre du pain au levain, du fromage, et même pour faire sécher des tisanes. Faudrait simplement en avoir un plus large, à plusieurs portes.
En tout cas, il n'est pas trop haut pour pouvoir stocker des conserves en bocaux au-dessus.
Attention, le troène peut être toxique. Mettre un masque pour le scier.
J'ai lu un comparatif disant que les planches en bois sont nettement plus hygiéniques que celles en plastique dans la mesure où les bactéries qui pénètrent à l'intérieur y meurent au lieu de trouver un terrain propice à se développer. Personnellement, je laisse sécher mes ustensiles en bois de manière à ce que l'eau coule dans le sens du fil, ça ondule nettement moins voire pas du tout.
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J'ai tendu des raquettes de tennis à la main dans le temps : à chaque tension, tu piques une alêne dans le trou pour bloquer la corde que tu tends avec une poignée fixée sur un cylindre enrobé de caoutchouc (chambre à air p.ex.) qui va s'appuyer en roulant sur le meuble alors que la corde est enroulée d'un tour autour du cylindre caoutchouté. De cette façon tu peux procéder seul jusqu'au nœud final puisque c'est l'alêne qui maintient la tension d'un bout à l'autre.
L'outil à tendre ressemble en quelque sorte à une pipe dont le fourneau retient la corde et roule sur le meuble tandis que le tuyau sert de poignée/levier.
[troll-on]Manque juste des patins antidérapants qui soulèvent la latte pour tracer à l'encre sans bavures et une tige en inox tout le long pour appuyer un cutter sans entamer le bois.[/troll-off]