Mouais, pas sa meilleure, elle est franchement homophobe. Je préfère quand ce n'est pas stigmatisant (un comble lorsqu'au départ il est question de Jésus [qui du fait de ses stigmates ne pourrait plus jouer aux dés]).
J'aime bien l'aspect et on ne voit pas trop que le nombre de marches et de montants n'est pas égal ni qu'ils ne sont pas dans le prolongement des crémaillères ou au milieu des marches (c'est un choix bizarre et ça doit être compliqué à gérer, c'est une question de norme pour les barreaux ?)
Mais je me demande s'il n'aurait pas au moins fallu terminer le sol et le mur du fond avant d'y poser un escalier car j'ai l'impression que tu vas t'emmerder avec ces finitions et salir ton travail, surtout au niveau de la chape.
J'imagine qu'il y avait une priorité à monter à l'étage, je suis bien placé pour savoir qu'il est très difficile de vivre dans un chantier en cours. Mais ce n'est peut-être pas chez toi et ça t'a été imposé ?
OK, mais le mur de fond aurait pu être terminé. Maintenant, si ça ne t'incombe pas…
Ah, 11 cm… Ben les barreaux pourrait être plus larges, sauf que ça les rendrait moins aériens. Ou alors, les joindre par un sorte de vitrage ? Mais j'ai vu plein de balustrades alentours qui ne répondent pas aux normes, les plus originales d'ailleurs, mais je ne retrouve pas mes coups de cœur.
Il aurait peut-être mieux valu que le nombre de balustres soit coordonné aux marches, histoire d’accompagner leur rythme visuel. Ça aurait allégé l’aspect ainsi que la rétention d’eau.
C’est sûrement un beau boulot, mais il s’intègre tellement mal au reste, et cette maçonnerie ! Une marche de plus sur pilotis me semblerait mieux fini, plus aérien, plus « suspendu », moins « fonctionnel spartiate ».
Il ne m’aurait pas déplu que cet escalier parte parallèlement à la façade pour l’éloigner du barbecue où il y aurait eu de ce fait plus de place pour se réunir.
Mais bon, je ne suis qu’amateur de bois-plasticien, ni menuisier, ni architecte et encore moins le client.
Je serais curieux de voir ce que celui-ci a fait pour rénover le balcon et sa balustrade, car ainsi il est difficile de se faire un avis définitif.
Non mais @L'Ecorce du Sycomore, on n'est pas obligé de couper un arbre pour récupérer son bois. Là ça peut être du BRF enrobé. Et dans ce cas, l'arbre continue à pousser et à capturer du carbone.
En plus, le « bilan négatif » peut être dû au fait que grâce à cet isolant les constructions sont plus passives et donnent globalement un bilan négatif au processus eût égard à leur bilan carbone s'il s'agissait de béton traditionnel. Parce qu'il ne faut pas se leurrer, le béton produit de cette manière le serait d'une autre si ça n'existait pas. Le bilan carbone de ce béton est donc négatif par rapport à un autre. C'est ça qu'il faut comprendre.
Bonjour, j'aime également beaucoup ces connecteurs.
Les pieds sont fixés au sol ? Couler des blocs simplifierait la mise à niveau : un trou, un coffrage, du béton, des pieds coulés dans les blocs et qui se fixent aux connecteurs. Ou alors simplement du gravier bien tassé dans le trou pour drainer autour du pied.
Ce n'est pas trop lourd du fer à béton ? Au lieu de la pince, il y a des attaches prévues sous la selle sur le cadre : beaucoup plus fixe pour mettre du poids. Là, ça tient sur seulement deux vis (mais est-ce vraiment vissé ?) alors qu'il y a possibilité d'en mettre 4. D'ailleurs, la caisse penche déjà à gauche.
Copeaux d'un soir tu sais moi je ne retire jamais mes porte-bagages (j'ai plusieurs vélos) et ce n'est pas pour ça qu'on aurait cherché à me les voler.
Le principe de faire quelque chose soi-même est très honorable, et ton inventivité est admirable, mais il reste des problèmes, comme celui du frottement sur le tube de selle, effectivement.
Tu pourrais peut-être t'inspirer des portes-bagages dont le bagage est coulissant : le porte-bagage serait fixe, mais ce serait la caisse qui coulisserait sur des rails, et ton système de pince à ressort pourrait t'inspirer un blocage de la caisse.
rapabois la pince pourrait être enfilée dans des morceaux de tuyau flexible.
Une autre idée : il y aurait moyen de suspendre deux caisses, une de chaque côté, pour augmenter le volume de transport et abaisser le centre de gravité. Mais bon, il ne faudrait pas frôler de trop près les bagnoles ou les gens.
Il existe d'ailleurs des paniers pliables (aplatissables) à suspendre sur les côtés.
C'est quoi ces pièces boulonnées de part et d'autre des haubans ?
Ah oui, je vois bien ces roulettes pour adulte mais pour ça AddBike+ est le top il me semble, dans la mesure où ça se place sur la fourche avant et ça permet de transporter beaucoup. Et là la caisse de bois aurait un look d'enfer, sans empêcher qu'il y en ai une à l'arrière.
Bon, 1000€ tout de même.
À voir la vilaine vieille valise que Adèle utilise dans son dernier clip, tu devrais lui écrire.
On peut touïter ou passer par Sony Music.
[troll-on]Manque juste des patins antidérapants qui soulèvent la latte pour tracer à l'encre sans bavures et une tige en inox tout le long pour appuyer un cutter sans entamer le bois.[/troll-off]
Mon fils est décédé, mais il utilisait des marqueurs à la latte (je suis Belge, on ne dit pas « règle » pour un tel objet chez nous, une règle c'est une section carrée ou isocèle), ça peut baver aussi. C'est surtout moi qui aurait aimé une belle latte comme je la décris, car je faisais mes épures au tire-ligne avec de la gouache quand il fallait de la couleur. Mais OK, ma latte à épures était transparente donc en plastique, avec des demi-millimètres, tandis que mes lattes à découper étaient en alu avec feuillure inox tout le long, même celle de 1m50.
Je me servais aussi d'une latte pour tracer des moulures en trompe-l'œil à la peinture à l'huile.
Un jour je suis arrivé à couper une pomme en deux au vol, grâce à une latte pur inox de 50 cm. Sale gosse.
Dommage que tu n'aies pas tenu compte des approches (espace entre deux lettres) : une lettre ouverte du genre « L » doit être resserrée du côté de son ouverture, un « A » doit l'être des deux côtés.
Donc, le premier A aurait dû plus coller au premier N, le second A a l'air bon du côté du second N, mais aurait pu serrer du côté B, les deux L auraient dû être resserrés entre eux, et enfin le dernier E aurait dû être resserré vers le second L. Sachant que les ouvertures du A sont moindres que celle à droite du L.
En fait ce principe de typographie s'appelle le « crénage ».
En plus, c'est parfait comme sous-plat.