dependancesbois Ah oui, j'avais oublié avoir publié ça qui remonte à passé 40 ans. Le gardien en question me proposait de revenir travailler chez lui si je me refaisais prendre, ce qui n'est jamais arrivé, tu parles d'un plan de carrière.
dependancesbois une bonne roue de vélo avec pneu increvable de 47 bien gonflé, ça doit le faire. Ceux de mon vélo supportent déjà 130 Kg chacun.
Je me dis qu'en la fixant dans une structure en tréteau, il doit y avoir moyen d'abaisser le centre de gravité pour une excellente stabilité.
Sinon un panneau circulaire ?
Bah moi j'ai fait certifier (mais en Belgique) une série de prises fixées sur du bois. Il faut seulement une double (triple ?) isolation pour éviter d'éventuelles étincelles sur le bois. Alors sur les conseils d'un architecte, j'ai simplement mis mes prises dans une goulotte Legrand appliquée sur le bois.
Une recherche en ligne pour « prise mâle 220v à encastrer » me donne ce résultat là :
Maintenant, ce qui me dérange le plus, c'est le câble qui traverse le bois et qui pourrait être sectionné par accident.
En tout cas, ça me donne l'idée d'un établi mobile vachement pratique pour mon asbl agricole où on a souvent des travaux à faire un peu partout sur les installations.
MENFRA ben c'est facile là où on le voit ressortir.
Comme ma spécialité c'est de faire la fine bouche (à défaut de pouvoir faire la grande gueule), je pense que les tasseaux des murs et plafond auraient pu être ondulés pour rappeler le bureau. Ça aurait pu intégrer parfaitement la récupération électrique centrale du plafond, l'air de rien (du bois).
J'aime évidement énormément le bureau, j'apprécie le contraste entre la rectitude du meuble de fond et le bureau, l'un mettant l'autre en valeur, mais les tasseaux perturbent, en tout cas tels qu'ils sont dans l'ensemble. La récup' de l'arrivée au centre du plafond me fait penser à une pelle à pizza dont on se demande ce qu'elle fait là ? J'aurais vu les tasseaux devenir plus végétaux pour rejoindre la récup' qui aurait été plus solaire ou astrologique, avec d'autres pièces disséminées à forte valeur décorative, comme des planètes dans un système solaire. Ou alors rien de figuratif mais une progression de formes depuis le fond très carré vers d'autres plus rondes.
Comme dit plus bas, la commode ancienne pas censée être là apporte le même type de contraste disruptif que j'aime bien, quoi que celui-là est un saut temporel un peu trop important.
En tout cas, j'aimerais pouvoir en faire autant, ce qui est loin d'être le cas, à tous points de vue.
Ça fait quelques années déjà que je suis bénévole…
Or chaque fois que c'est gratuit les gens croient que ça ne coûte rien et qu'on peut demander plus.
Je crois que je suis bien parti pour finir à la rue.
Je crois que tout mon problème est de chercher la reconnaissance qui n'arrive pas assez, jusqu'à être pris dans un engrenage que je ne peux plus quitter, comme des sables mouvants dans lesquels je m'enfonce.
Pas si simple… Je suis chômeur âgé plus ou moins invalide et l'organisme chargé du contrôle du chômage à Bruxelles m'impose le bénévolat pour conserver mes droits en me disant en parallèle que vu mes pathologies, mon âge, etc. je ne retrouverai jamais un emploi. Par contre, du travail j'en ai trop, mais il n'est pas rémunéré.
J'adore tes paravents de récup', très inspirant. Par rapport à ta persienne, c'est la différence entre l'art et l'artisanat, quoi que la frontière est ténue (que serait une œuvre picturale sans son encadrement ?). Ça m'attire depuis longtemps ce type d'art brut où intervient la notion du plein et du vide.
Très beau meuble, mais si je comprends bien la finalité n'est pas d'y stocker des graines, non ? Car il y aurait un risque majeur d'une attaque par les insectes qui se trouvent déjà dans les semences, c'est pourquoi pour le long terme on les stocke au réfrigérateur où les larves ne peuvent pas se développer.
Quoi qu'il en soit, c'est très original.
Pour les rats, il pourrait suffire de doubler un moustiquaire de plastique par un grillage à poule 10 x 10. Ça doit revenir nettement moins cher. Bien que les rats auront aussi vite fait de ronger le bois plutôt que s'essayer au grillage.
Ou alors, je fais ça pour des courges en fin de saison dans mon assoc' de maraîchage, suspendre le meuble à du câble inox. Je vois mal les rats descendre du plafond.
C’est vraiment bluffant d’ingéniosité. Essentiel (de bois).
Ce qui le serait encore plus, ce serait de faire une chaîne de cette manière, pour arriver à un collier.
Ça conforte l’idée que derrière tout grand homme, il y a une femme (voire l’inverse ou assimilé). Bravo Madame, de générer tant d’amour !
Les pinceliers du commerces comportent un ressort suspendu dans lequel viennent se coincer latéralement les pinceaux. C'est un pot, deux montants et un ressort. Ça permet d'éventuellement faire tremper les pinceaux dans un liquide. Le mien est pourvu d'une grille au fond du pot pour que des résidus éventuels passent dessous pour aller au fond, surtout pratique pour les pinceaux à huile dans du white-spirit.
Superbe article qui va dans le sens de ma propre réflexion au sujet du maraîchage : marre de voir d'immenses bâches de plastique pour désherber et pailler. Mon idée est de récolter de l'osier (saule), du chanvre (qui produit plus de biomasse à l'hectare que le sapin), etc. pour produire du broyat, puis des pellets que j'envisage de faire macérer dans l'eau avant d'en asperger les champs en guise de mulch hydraulique (technique utilisée le long des routes et autoroutes pour fixer les accotements et talus) additionné ou non de semences pour favoriser l'enracinement. Ça donnerait une étendue d'une sorte de carton dans laquelle directement repiquer, voire grâce à laquelle directement ensemencer en surface plutôt qu'en lignes.
Chez nous au boulot, les bâches sont lestées avec des pavés ou agrafées, ce qui endommage souvent les motoculteurs, tandis que du mulch peut être directement incorporé pour apporter du carbone et donc fertiliser.
Le saule apportant de l'hormone de croissance aux racines, le chanvre réduisant de 40% l'arrosage, les orties apportant de l'azote, etc. En fait, il y a aussi moyen d'utiliser toutes les adventices. Le broyat, les pellets et la macération permettant de réduire les semences des espèces mulchées.
D'autre part, plus de biomasse = égale plus de cambium, qui peut parfois se manger.