Je pourrais me contenter de ne rien dire, mais c'est laid.
Le cache ne cache rien de l'appareil et s'oppose de manière frontale à son design. Une petite haie serait beaucoup plus efficace.
GB83 c'est quoi « l'esprit du forum » ? Faire le faux-cul et ne pas dire ce qu'on pense ? Autant j'aime le genre de design de ce « cache », ce n'est pas un cache, ça ne cache rien. Il y aurait une sorte de bardage sombre bien régulier entre l'appareil et le « cache », ça cacherait effectivement et le design de la menuiserie serait mis en valeur grâce au contraste. Mais là non. Pour moi c'est raté. J'essaye vraiment d'être constructif.
Ce n'est pas un peu fragile dans la courbe de la marche (je fais ± 100 Kg) ?
J'ai apprécié le test, mais il me reste un doute (de plus) : les chaussons se justifiaient par des chaussettes trouées ?
Ara C'est peut-être qu'on EST vieux ?!
Ça n'a rien de grave : « L'avenir de la jeunesse, c'est la vieillesse. » (Marcel Marïen)
camema NON ! Ça vient d'une euphorbiacée, or elles sont toxiques. Wikipédia : « L’huile de tung est toxique. »
trente six seb pour moi, c'est extrêmement « marketing ». Je ne suis pas vraiment boiseux, mais peintre, particulièrement ancien vendeur de peintures pour Beaux-Arts, et ce que je vois des finitions Rubio publiées ici ressemble vachement à une finition à l'huile de lin cuite, c.-à-d. pré-polymérisée qui sèchera plus vite que de l'huile de lin blanchie, très fluide. Il n'est pas impossible qu'ils aient mélangé différentes huiles pour obtenir des caractéristiques particulières, mais ça ne me semble pas extraordinaire. Pour moi, 0% de COV, c'est un peu du charabia greenwashé, vu que le principal diluant traditionnel de l'huile de lin, c'est l'essence de térébenthine : un distillat de bois qui en s'évaporant laisse un résidu sec (la colophane, une autre résine), donc parfaitement naturel, alors que les conifères contiennent tous ces composants volatiles qui dès lors que le bois est produit va s'évaporer un jour. Donc pour moi, huile de lin (ou autre huile siccative) + essence de térébenthine, c'est totalement naturel, très fiable.
Personnellement, je m'en ficherais un peu de la « liaison moléculaire bien connue » (par qui, comment, pourquoi ?) en surface tant j'estime que l'imprégnation en profondeur à l'huile de lin + essence protège sans doute mieux. Pour moi, et les images d'illustration du site Rubio le confirment (des images de plants de lin), c'est une huile de lin modifiée. Ça pourrait être par un mélange à l'huile de noix, plus fluide et moins jaunissante mais moins siccative, je ne sais pas, je ne suis pas chimiste. Les colorants sont sans doute des mélanges de terres (ocres) qui selon la calcination donnent des teintes plus ou moins rouges, avec la possibilité d'éclaircir les teintes grâce à du kaolin (argile blanche/porcelaine) ou de foncer avec des oxydes de fer. Et ça n'enlève rien à la comestibilité. Il faut noter que les siccatifs connus de l'huile de lin sont des métaux, or les métaux ne sont pas tous toxiques.
Je me demande pourquoi pas des billes de verre (Ø + de 1 cm) ? Mais il faudrait faire la grille en bois pour éviter les griffes.
Personnellement, je mettrais la main à plat, paume bien plate dans la sangle. La pression devrait être meilleure, plus constante.
Je suppose que l'encrage se fait au rouleau ? Pourquoi ne pas utiliser un rouleau (dur) pour presser ? J'en ai vu qui servent à plaquer de grande surfaces de vinyle autocollant.
Si c'est du lin on ne mouille pas car il se détend en séchant ; si c'est du coton, on mouille car il rétrécit ; ici c'est du papier donc ça dépend de sa composition mais s'il contient des fibres de bois, elles sont théoriquement plus courtes et donc plus fragiles, je ne mouillerais pas.
Pour le reste, je ne sais pas, quoique les fibres de riz sont généralement très longues, ça donne les papiers les plus fins (papier cigarette « RIZ LA + » et papier japonais), mais j'ignore comment ça se tend.
Selon la fibre, il faudrait tester en suspendant un poids et en mesurant avant mouillage, puis après.
dBPs Pas con. Bien-sûr, on peut avoir des résultat mitigés en cas de fibres mixtes, d'où l'importance de tester. Ce qui est sûr, c'est que pour nouer les brosses à rechampir, on utilise du coton car il va resserrer les poils.
Il aurait mieux valu faire un premier lattis, fixé aux chevilles-clous, avec cales pour l'alignement, sans enlever les plinthes, puis un fond en isorel (unalit en Belgique) prépeint et enfin les lattes moulurées fixées à la colle acrylique, puis un enduit acrylique le long des moulures lissé à la spatule en silicone et à l'éponge humectée pour enlever les épaisseurs.
C'est une boîte à cigares (Fume, c'est du belge ?)