MaitreLinz Dingue!
Merci pour les références, vachement intéressant!
Tout à fait, on peut utiliser, un trusquin à crayon, comme celui-ci par exemple.
C'est dans la catégorie des outils qu'on déplace, alors je n'en ai pas parlé.
(Mais ce n'est pas très cohérent de ma part d'avoir montré un gadget permettant de monter un crayon sur une équerre à combinaison, et de ne pas parler de trusquin à crayon, je le reconnais.)
Cette tracette est destinée uniquement au crayon. Son bord en bois n'est pas adapté pour un tranchet ou un cuter. Le trusquin "normal" a donc un usage que cet outil ne lui prendra pas.
Après, si je compare, le réglage de mon trusquin (un Veritas) est moins facile, malgré la règle intégrée et la vis micrométrique, tout simplement parce que l'échelle n'est pas très lisible. D'ailleurs je contre-vérifie souvent le réglage avec un réglet, ce qui est dommage vu le prix de l'outil.
Merci au passage pour ta remarque, elle m'a permit de réaliser un avantage de la pointe à tracer sur le tranchet : la pointe à tracer n’abîme pas les règles en bois.
Concernant la licence, attention, CC n'implique pas l'interdiction d'utilisation commerciale.
C'est une option proposée par défaut ici, mais tu peux la cocher si tu veux (je crois l'avoir fait pour un autre de mes gadgets).
Petit commentaire sur la conception : elle est spécifiquement destinée au DIY.
Une industrialisation permettrait d'utiliser d'autres matériaux, et d'avoir par exemple une équerre en plexi, ou mieux en alu. Le système d'attache par aimant serait alors surement remplacé par une coulisse (le fer et l'aimant, c'est cher).
Paradoxalement, on peut en production unitaire se permettre en tant qu'individu, et pour pas cher, une solution qui serait luxueuse en production industrielle.
Oui, l'option NC est cochée par défaut.
Et en effet, NC veut dire pas d'utilisation commerciale dans le cadre de l'accord univoque qu'est la licence, mais rien n’empêche de venir négocier un autre accord avec le détenteur du droit d'auteur.
Et si c'est pas vrai, faudra passer un savon au con qui a écrit ça dans la faq du site sur la question!
:-) :-)
Hello,
non malheureusement, pour respecter le rapport de un à quatre entre les deux côtés, il faut un angle de arctan (1/4), soit 14,036 degrés.
Ça marcherait très bien avec une équerre classique, mais l’écart entre les graduations représentants 1 cm, au lieu d’être de 4 cm, serait de 1/tan (30), soit 1,732 cm.
Ce serait donc difficile à tracer précisément à la mano.
Par ailleurs, l’échelle étant moins dilatée, elle perdrait une partie de son avantage.
Donc, à mon avis, ça reste possible et intéressant, mais à condition de tracer l’échelle au laser sur une CNC.
Ou de l’imprimer sur papier et de la coller sur l’équerre.
Je n'ai pas de modèle ou plan.
Michel a dit ci-dessus qu'il en ferait un! :-)
En attendant, j'ai la photo de l'épure, à paraître dans le pas à pas sur la réalisation.
fab83 : en fait, ce que j'ai vu de plus proche est justement une sorte de butée réglable. Elle est parue dans le courrier des lecteurs d'un vieux "Popular Woodworking" finewoodworkin...re-for-a-router : le gars proposait une règle de guidage pour défonceuse, de largeur variable pour faire des rainures plus larges que la fraise, en deux passes.
Il y avait une partie fixe, fixée par serre-joins à la pièce à usiner, et une butée variable fixée à la partie fixe par deux presses de carrossier.
Et les deux parties glissaient l'une contre l'autre le long d'une coupe biaise, comme la tracette.
J'ai réfléchi à cet usage, et imaginé un T pour défonçage avec ce principe;
J'ai ajouté un système de soustraction mécanique (comme dans les "kerfmeters"), permettant de décaler la règle de la largeur du bois à encastrer moins le diamètre de la fraise.
Et bien sûr il y a le principe de l'échelle graduée, très précise vue la très faible pente (beaucoup plus faible que sur ma tracette).
En effet, pour cet usage on a besoin de décaler la fraise de deux ou trois centimètres grand max en général, mais la longueur de la rainure (et donc du T) peut être de plus de 50 cm : on parle donc d'une pente de 1 / 20, au lieu de 1 / 4 pour la tracette.
Je ne l'ai pas réalisé, parce que je ne fait pas assez d'embrèvement pour justifier un tel outillage, même simple. Et en plus, j'ai commencé à réfléchir sur une autre façon de décaler la défonceuse, à base d'excentrique. L'échelle est dilatée aussi, pas linéairement malheureusement, mais surtout c'est beaucoup plus simple à réaliser si on se raccroche à un rail existant.
Si j'ai le courage, je ferais un modèle FreeCAD ce ces deux idées, ça me fera un exercice de modélisation!
Tout ça pour dire que c'est ce qui a inspiré la tracette, qui elle me sert beaucoup et est très pratique à manier (j'ai maintenant un peu d'expérience avec).
Oui, on peut faire un angle quelconque, il faut juste adapter la façon de tracer l’échelle.
J’ai expérimenté une méthode manuelle qui donne de très bon résultats, décrite dans l’article sur la cale d’épaisseur réglable.
On pourrait donc greffer le dispositif sur une équerre classique à 30 degrés.
Après, avec une CNC ou un graveur laser, ce sera plus simple pour tracer l’échelle.
C’est une pente, ça exprime le fait que quand tu te déplaces sur un axe de 1, tu te déplaces de 1/4 sur l’axe perpendiculaire. C’est pareil que de dire que tu as une pente de 25%.
C’est plus intuitif que de parler en degré pour les petits angles.
Par exemple pour une pente de gouttière, ou pour une dalle, 1 cm par mètre, c’est plus facile à visualiser que 0,573 degré.
Mais le système a ses limites, par exemple on ne sait pas exprimer 90 degrés en pente, puisqu’elle est infini.
Nathalie Latil avec plaisir!
Pour ta butée : une photo, une photo... ! :-)
Au passage : si tu as accès à un fablab, l'idéal serait de faire le modèle sur un logiciel, et d'utiliser une CNC pour faire la découpe, et surtout la gravure des deux échelles.
Salut Philippe,
ca fait longtemps, et je ne me rappelle plus trop ce que j'ai essayé ou pas.
Ce que je sais, c'est que par construction il ne devrait pas y avoir d'erreur de parallélisme, si on fait l'assemblage avec la méthode décrite dans le pas à pas associé.
En résumé, il faut faire l'assemblage des trois pièces principales en appuyant le bord de traçage et le bord d'appui de la partie mobile sur une surface plane (on est donc au décalage zéro) : par définition il ne peut pas y avoir de défaut de parallélisme en position zéro.
Et si le bord de glisse des deux pièces mobiles l'une par rapport à l'autre est bien rectiligne, et que toutes les pièces sont bien jointives (et l'étaient lors du collage), il ne devrait pas non plus y avoir de défaut de parallélisme dans les autres positions.
La rectitude de la coupe ne pose pas de problème, et l'assemblage c'est une question de soin.
Dans mon cas, je crois me rappeler que mon assemblage de collage n'était pas parfait, et que j'ai fait quelques ajustement après à la cale de ponçage.
J'ai donc introduit des défauts.
Je pense qu'on ne peut que faire mieux!
PS : marrant que tu réagisse à ce projet maintenant, parce que je réfléchissait justement hier à comment le rendre encore plus simple à fabriquer.
Nathalie Latil c’est gentil!
Curieux de voir le résultat!
C'est en haut de la première page, et sur la deuxième image.
L'idée serait d'avoir deux graduations différentes : sur le premier axe, une graduation en degré classique (autant que ça serve aussi de rapporteur d'angle), et sur le deuxième axe, une mesure de x.
Le problème, c'est que l'échelle n'est pas régulière (la rotation est en arcsinus de x).
Il faut donc absolument la graver au laser ou à la CNC, parce que à la main, bonjour le travail.
De plus, on voit que vers 90° (soit x max), un écart de 1 mm en x correspond à un angle significatif, et donc lisible sur la graduation.
A contrario, vers 0 degré (soit x min), un déplacement de 1mm en x n'engendrera qu'une faible rotation : on aura donc une échelle tassée, et relativement illisible / imprécise.
En fait, c'est mon réglet qui permet de passer de l'un à l'autre. Il se trouve que sur la vidéo j'ai commencé par hasard avec le côté inch, mais je le retourne au milieu de la vidéo.
Le plan est bien en système métrique.
J'ai pensé aux américains avec le paramétrage, si ils souhaitent remplacer 50 mm par 2", ce sera plus lisible que la traduction automatique et exacte de 50 mm en pouces.
Pour l'équerre à combinaison, il y a probablement pas mal de chose à faire.
J'ai envisagé deux évolutions simples :
travailler sur la précision. Le réglet n'est pas à 90° de l'appui, du fait de mes imprécisions d'usinage. J'envisageais de remplacer le frottement métal sur bois, qui va finir par créer plus de jeu, par un frottement métal (du réglet) sur cuivre (ou autre métal mou). Une façon pas trop compliqué me semble être celle illustrée dans cette vidéo (en italien), avec un fil de laiton.
(Vidéo très intéressante, ou un youtubeur invite un des auteurs du journal Legnolab pour lui faire justement une équerre à combinaison à base de réglet!)remplacer l'arrière cylindrique de la butée par un pan incliné à 45°.
Mais pour ces fonctions, le côté "manipulable à une main" perd de son intérêt. Et tu te retrouves en concurrence directe avec les supports à réglet en alu, très bon et précis que l'on trouve sur le net pour moins de dix euros, ou avec une bonne équerre à combinaison que l'on trouve en milieu de gamme pour 25€ et que tout bricoleur devrait avoir. Voir ma réponse à cette question.
Mais, pour être franc, la vrai raison pour laquelle je ne vais pas faire de v2 pour l'instant, c'est que je suis parti dans une autre direction avec une nouvelle idée de tracette :-)
Merci :-)
Et je suis d'accord, ce gadget des demis-graduations perturbe les yeux plutôt qu'autre chose!
Mais pareil, j'ai regardé chez DELA/Facom et chez Shinwa, et je n'ai pas l'impression qu'il y ait l'embarras du choix.
Chez Shinwa, j'utilise (souvent) le petit réglet de 15 cm, qui n'a pas ces demi-mesures, et qui a une finition satinée très lisible.
Hello,
je précise juste FBang que je suis un peu dans la philosophie d'un Guido Henn, ou d'autres, qui constate simplement que quand il s'agit d'établi, nous faisons un curieux blocage sur le passé.
Si je dois faire un établi "rationnel" aujourd'hui, il est évident que je vais utiliser du contreplaqué, y compris pour le contreventement, de façon à obtenir une surface de travail plane facilement, et un équerrage qui ne bouge pas dans le temps.
(C'est pourquoi je vante souvent, je le reconnais, la forme des établis anglais, mais je parle de la forme générale, je n'ai pas non plus de raison de faire un Nicholson traditionnel).
De même, je ne me passerais pas d'une presse rapide.
Maintenant, cet établi est magnifique, si je l'avais je l'utiliserais.
Pareil, je connais quelqu'un qui a dans son garage un "bidet" traditionnel français, qui n'a rien à voir (il n'est pas démontable, il est étroit, etc.). Mais si il me le donne et que j'ai la place, je le remet à neuf et je l'utilise!
Les circonstances comptent aussi : si j'ai besoin d'un établi, et que tout ce que j'ai sous la main c'est une panne et un bastaing, je fait probablement un bidet. Mais si j'ai seulement des planches et des bastaing, je fais un Nicholson, et si j'ai du contreplaqué et des caissons Ikéa, je fais encore autre chose, etc.
L'établi est un objet particulier, et nous faisons un mélange de choix affectifs et rationnel. Mais c'est toujours un plaisir de voir les belles réalisations des autres!
Pas de soucis : j'essaie de faire clair, mais même avec les photos, ça ne vaudra jamais une vidéo.
C'est le tasseau qui est en-dessous du guide, et permet de s'appuyer sur le bord du panneau. On le voit sur la troisième photo.
Ou sur la vue de dessous, en bas de la photo.
Je précise guide + équerre tout le long du texte, parce que si il s'agissait juste d'un guide, le côté symétrique n'aurait pas d’intérêt, puisqu'on pourrait toujours le retourner.
En fait, c'est vraiment juste une équerre. Mais au lieu d'être assemblée à mi-bois, les deux parties de l'équerre sont collées de chaque coté du contreplaqué.
Vos idées sont plus simple que la mienne : je voulais tout simplement "effeuiller" le contreplaqué sur toute sa largeur, au rabot à main.
Le contreplaqué, c'est pratique pour ça, on sait toujours dans quel plan on est, pas de risque de descendre plus d'un côté que de l'autre :-)
Mais les vis m'ont fait hésiter.
Je plussoie par principe tout usage d'un coin :-)
En plus ici, c'est une très belle réalisation!
C'est un dispositif "historique" qui était parfois inséré directement dans l'épaisseur de l'établi, pour tenir les pièces horizontalement (comme ici), ou verticalement.
Dans les deux cas, l'accessibilité et la facilité d'usage des presses a fait perdre de la pertinence au dispositif.
Sinon, même remarque que les autres :
- avec cette disposition des serre-joints, la probabilité d'hématomes (voire d'émasculation) est pour moi d'environ... 100% :-)
Je te dirais bien que la forme que tu as donné à ton montage permet de le coincer dans une presse, donc pas de soucis, mais justement si tu as une presse le dispositif ne se justifie plus guère, me semble-t-il. - le risque de casse soulevé par Mikabois : mais peut-être as-tu inséré une tige filetée ou un tourillon en travers?
Et j'en ajoute une concernant la facilité de "décoinçage" : bien vu le rebord sur l'arrière du coin. Mais je suppose que tu mets un petit coup de maillet pour le décoincer?
Pour éviter, là aussi, un risque de casse, je le placerais plutôt à l'avant, ou sur le dessus, avec un emboitement adapté, de façon que le coup de maillet fasse travailler l'ensemble en compression et pas en arrachement.
Mais c'est de la théorie, je n'ai pas essayé.
Très joli, en tout cas!
Avec la boite sur mesure, je dis la classe!
Pour les dessins avec contraintes, tu peux préciser ce que tu entends? Le but c'est de donner la largeur des bandes de couleur, et de laisser la machine calculer l'angle de la pente en fonction de l'épaisseur des placages?
Boris Beaulant Alors le sketcher de Freecad fait ça très bien.
(SolveSpace le faisait très bien également)
:-) :-)
Je crois que tu serais plus intéressé par mes montages avec rabot électrique, auxquels j'ai fais plusieurs allusions sans jamais les décrire.
Si j'ai le courage, un jour...
Mais n'ai pas de regret, je pense qu'en terme de capacité, le principe du tiens est difficile à battre.
Merci!
Mon système de sciage qui a déjà connu plusieurs évolutions depuis, et pas toutes très heureuses, a comme seule raison d’être que je n’avais pas de place pour avoir une scie à onglet ou une table pour découper les panneaux.
Pas sûr que ce soit intéressant pour la plupart des lecteurs. Mais ok, je mets ça sur la liste des choses à décrire, galères comprises
Super que ça marche pour la première surface!
Mais je ne suis pas sûr de comprendre la suite : pour les champs, tu veux dire que le roulement de ta fraise prend appui sur un mdf dont tu connais la rectitude? (je ne comprends pas le "que je sais être d'équerre")
Pour la face opposée, je vois les choses assez simplement :
- tu trouves deux carrelets identique et bien corroyé, et d'une hauteur un peu supérieure à la hauteur de ta pièce à usiner;
- tu poses la face de la pièce qui vient d'être usinée à plat sur ton établi (réputé plan), et les deux carrelets de chaque côté, et tu serres;
- tu n'as plus qu'a retourner, et c'est bon pour le second usinage!
Faut avoir les bons carrelets, mais sinon c'est très simple.
D'autant plus que si les carrelets ont les bonnes dimensions, tu peux faire les deux faces opposées sans desserrer le montage!
Autre option, si la pièce est petite, attendre que je présente la technique numéro 3 dans la suite de cet article :-)
Pour les faces perpendiculaires, vaste sujet!
Si on reste sur la défonceuse montée sous table, je vois deux possibilités :
une fraise longue avec un roulement, une règle posée sur ou sous la pièce suivant ou est le roulement, et on passe la pièce le long de la fraise.
Je ne suis pas fan de cette solution : j'ai essayé avec une fraise chinoise pas chère qui dépassait de 8cm de mon plan de travail, et j'ai du forcé trop dessus, je ne sais pas, mais elle s'est rapidement mise à faire un boucan de tout les diables et tout l'établi vibrait. J'ai eu la peur de ma vie : que ce truc qui tourne à 18 000 tours minutes puisses sortir du mandrin ou même juste larguer des morceaux, en étant absolument pas couvert par une protection quelconque, ça m'a calmé.
La défonceuse n'a pas souffert de l'expérience, tant mieux, et la fraise semble intact (il n'y a même pas de jeu perceptible dans le roulement), mais je l'ai quand même mise aux rebus.une fraise à surfacer (ici, j'utilise une fraise normale, mais c'est plus efficace avec la Fraiser que j'utilise maintenant et que l'on voit dans les photos de mon montage à surfacer polaire).
Dans ce cas, on a besoin d'une sorte d'équerre, dont la face horizontale s'appuie sur l'établi, et on serre la pièce contre la surface verticale de cette équerre.
C'est pas très compréhensible décrit comme ça : j'en ai fait un plan sous FreeCad cet été, mais je ne l'ai jamais réalisé.
Si je le retrouve, je mets la photo.
C'est dans les vieux principes qu'on fait les meilleurs outils :-)
Ton idée d'incrustation sur la surface ou sur un adhésif me parait une expérience intéressante à faire, (et il y a peut-être des recettes sur internet...).
Mais c'est un peu comme réinventer le papier de verre, alors je passe mon tour :-)
Par contre sur l'adhésif, j'ai une expérience récurrente de la différence énorme de qualité entre les produits collants de marques, et leur pâles copies. Si il y a un domaine ou je ne regarde plus à la dépense, c'est celui-là.
Et ce scotch double face, je ne sais plus s'ou il vient, mais sa marque n’apparaît pas, ce qui n'est pas bon signe.
Peuch rapabois mmahieu Vianney - VICA
Avec plaisir!
Tu veux dire, pour immobiliser le mors fixe dans la rainure en T?
Si oui, c'est volontaire : le principe de mon essais était justement de combiner les deux vis pour avoir une mise en place plus rapide, une seule vis assurant l'immobilisation dans la rainure en T et le serrage de la pièce.
A ma grande surprise, ça marche pas mal, mais je ne garanti rien : je n'ai pas fait de modélisation pour représenter les efforts en jeux et les cônes de frottement.
Il est probable que c'est dû au frottement bois sur bois dans mon cas, sur un rail alu ça marcherait moins bien.
À confirmer.
Je confirme, une bien belle forme!
Et je découvre au passage qu’on peut faire autre chose avec le Sureau que les pistolets à eau de mon enfance!