Salut,
En avalant, l'outil coupe vers l'intérieur de ta pièce, c'est à dire que les fibres que l'outil coupe peuvent s'appuyer sur leurs voisines pour résister à l'effort de coupe.
En opposition, l'outil coupe en ressortant de la pièce de bois, et les fibres de bois n'ont pas d'appui, ce qui peut créer de l'arrachement, surtout si l'outil de coupe est un peu fatigué, ou si l'usinage se fait trop rapidement.
Par contre, en terme de cinétique, c'est dangereux pour les raisons données par DewhitYoussef
Question intéressante, pour laquelle tu auras de multiples avis sans doute. A mon sens, que ce soit à la toupie ou à la défonceuse, usiner en avalant ne se fait quasiment que sur des passes de finitions, extrêmement fines.
Après, avec un entraineur, que je ne possède pas malheureusement, ça doit être possible sur des passes un peu plus grandes, en cas de bois vraiment difficile. Ça ne me ferais pas peur d'essayer, en tous cas (en évitant de rester sur la trajectoire)
Pour les pieds de mon cabinet 1925, dont la courbe rend une partie de l'usinage inévitablement à contre-fil,et qui de toute manières ne sont pas usinable avec un entraineur, j'avais tourné la difficulté en inversant le sens de rotation de la toupie, tout en restant en opposition.
C'est pas mon domaine, alors je voudrais pas dire de bêtise, mais il me semble qu'en charpente tous les assemblages sont toujours verrouillés d'une manière ou d'une autre.
Par contre, sur ce cas particulier, je vois pas comment il peut faire... Attendons l'homme compétent qui ne manquera pas de passer par ici tôt ou tard...
Bonsoir,
Je ne connais pas le Cormak, mais l'AF14 offre une solution satisfaisante, en tout cas tant que tu utilises une machine à la fois.
Personnellement, je lui ai ajouté une cartouche filtrante, et je l'ai monté en mezzanine avec une trémie qui redescend dans un réservoir à copeaux.
J'ai récemment modifié le système avec un séparateur cyclonique. Cela a été l'occasion d'agrandir le réceptacle à copeaux et surtout cela prolonge grandement le laps de temps où l'aspiration reste efficace (avant que je sois obligé de démonter la cartouche filtrante pour la passer à la souflette)
Bonjour,
Je crains que ton budget ne soit un peu léger pour ce que tu souhaites, c’est-à-dire du mig (Le tig est encore plus cher).
Chez Gys, le smartmig 162 représente un bon choix. Il est relativement bon marché et facile d’utilisation. Cela dit, il faut compter l’achat d’une bouteille argon-co2, du débilitre, les bobines correspondant aux épaisseurs que tu souhaites souder (avec les tubes contact du bon diamètre).
Si tu veux souder l’alu, il faut non seulement une bobine spéciale, mais aussi une torche spéciale alu.
Au total, sans soudure alu, il faut compter entre 900 et 1000 euros, même si le poste nu se trouve autour de 450.
Une idée peut être d’étaler la facture en achetant dans un premier temps juste le poste et une bobine de fil fourré, qui permet la soudure no gas.
Salut,
Il n’y a pas que ke brou de noix pour teinter…
Une teinte à l’eau ou à l’alcool (Elles ont chacunes des qualités et des défauts différents) puis bien souvent une cire, mais cela peut aussi être un vernis.
Pour la teinte que tu veux obtenir, j’ai récemment utilisé une cire teintée Black bison noyer, de chez Lubéron il me semble, avec satisfaction.
Après avoir vu les différentes réponses, je crois que je procéderai de la manière suivante:
Encollage néoprène, utilisation d’une feuille de plastique type polyéthylène pour éviter un collage accidentel, mise en place sur un côté avec éventuellement un maintien par des finettes, et collage progressif avec marouflage.
Avec deux mains supplémentaires, c’est sans doute plus confortable
Salut,
Je possède la Record Power, c'est une très bonne machine. Et elle rend de grands services.
Pour le changement de disque, l'espace très faible entre la table et le plateau en fonte rend les choses délicates. En effet, le disque abrasif vient accrocher le velcro avant d'être bien mis en place.
Pour me simplifier l'opération, j'ai découpé une tôle fine au diamètre du plateau, avec une poignée. Je l'intercale entre le velcro du plateau et le disque le temps de mettre ce dernier en place. Avec cette technique, ça va très bien. Je suppose d'ailleurs que ce problème est commun à toute ces machines.
A mon sens, la coupe d'onglet est l'une des "marques" de l'ébéniste. Enfin, si elle est réussie évidemment , ce qui n'est pas si facile.
Je sais que l'on voit sur youtube des tas de boiseux americains qui font leur coupe d'onglet avec trois bouts de scotch, mais je reste dubitatif sur la solidité et le précision d'un tel assemblage à plat-joint.
Personnellement, sauf exception, j'utilise des dominos, ou des lamellos, ou une fausse-languette. Et quand j'aurai les moyens, des Tenso
Pour décoller ton assemblage,s'il est assemblé à la vinylique, je ne connais que l'alcool à 95°. Malheureusement, il peut arriver que cela tache le bois.
D'où l'intérêt d'utiliser de la bonne vieille colle animale!!! comme dirait mon arrière-grand-père qui en avalait un grand bol à chaque petit déjeuner