Belle réalisation! Je rejoins un peu LouisH sur la "pelle à pizza" du plafond, à laquelle j'aurais peut-être donné une forme plus organique (Bon, en même temps, l'inspection des travaux finis, c'est toujours plus facile).
Par contre, les tasseaux droits j'aime bien, sinon ça aurait fait too much, je pense.
Qu'as-tu utilisé comme mastic-colle?
Ok. Les n°1, c'est pas facile à utiliser, c'est vachement fragile. Tu as fait des piles pour tes découpes?
La méthode dite "méthode Boulle", ou "partie-contrepartie": tu fais un sandwich comprenant une feuille de placage pour le fond, et une pour chaque différente pièce, tu serres le tout entre deux feuille de carton fort, et tu coupes suivant ton dessin. Tu obtiens de cette manière des pièces qui se correspondent parfaitement.
Cela dit, je viens de relire que tu travailles en cp de 3mm, et pas en placage. Autant pour moi.
racmterrof
Intéressant... Avec quelle matière fais-tu ta brasure du coup?
En plusieurs couches, oui, mais certaines parties sont plus anciennes et apparaissent plus sombres. L'ensemble a été décrassé (y'en avait besoin...) et déciré au préalable, mais sans aller bien sûr jusqu'au bois blanc, ce qui n'aurait pas eu de sens.
Après, il faut faire des essais bien sûr, mais ce n'est pas parce qu'un produit est "grand public" qu'il est forcément mauvais...
Je n'ai rien contre les vieilles recettes d'ébéniste, qu'il est bon de connaître. Mon maître d'études nous les avait présentées, bichromate de potassium compris, mais il est juste aussi de dire que le bonhomme respirait avec une paire de poumons qui n'étaient pas les siens à sa naissance. Lui prétendait que c'était à cause de Tchernobyl...
Les deux premières images représentent la première installation. L'aspi et sa cartouche filtrante sont sur le bout de mezzanine, la trémie prend la place du sac d'origine, et les copeaux tombent dans un sac qui se trouve dans la petite armoire en bas. Le tout en surpression, donc étanche.
C'était pas mal, mais la trémie était trop étroite et le sac trop petit, d'où parfois des problèmes de bourrage.
Le deuxième version est plus élaborée. Le réservoir n'a plus de sac, et il est plus grand. Il y a une fenêtre pour voir le niveau de remplissage et on le vide en faisant dégueuler les copeaux par le petite trappe en bas.
Le cyclone s'intercale coté entrée de l'aspiration, avec l'entrée latérale connectée au réseau d'aspiration, la "sortie" (en haut) connectée à la turbine de l'aspirateur, les copeaux tombant en bas dans le réservoir.
Un sac prend place côté sortie, là où on plaçait le sac de réception des copeaux sur le modèle d'origine, sauf que celui-ci ne récupère que quelques poussières fines. Au rythme où il se remplit, c'est mes petits-enfants qui devront le vider.
L'avantage de cette config, c'est de préserver la cartouche filtrante et donc la puissance d'aspiration plus longtemps. Accessoirement, seul le sac à poussière (et la cartouche évidemment) se trouve en surpression et doit donc être solidement et étanchement arrimé.
Le réservoir à copeaux, même si j'en ai soigné l'étanchéité par principe, se trouve en dépression.
Fayard? Ça sent la Savoie, ça... En bon français, on dit le hêtre
Sinon, tu as mêlé massif et placage, c'est ça?