C'est sûr que c'est pas l'outil plaisir, mais c'est diablement efficace comme engin.
Il me semble qu'il y a des versions avec lame diamantée et d'autres avec lame "normale". A vérifier.
Tu peux acheter machine nue ou avec kit de démarrage, ce qui te procure les différents gabarits et une petite quantité de clamex, divario et autres tenso...
LouisH Sérieux?
Il s'agit de l'Estampille, qui se situe à Vallières(74). C'est une formation sur 10 mois, avec passage du CAP ébénisterie. J'avais en effet une bonne pratique en amateur, à la différence de la plupart de mes condisciples, mais j'y ai appris mille petites choses qui font la différence, à commencer par le travail du placage.
Il y a d'ailleurs sur l'Air du Bois un de mes camarades de formation que j'appéciais beaucoup, David Marmilloud (Manivelle ébénisterie).
Toutefois, le formateur Philippe Jarroux a passé la main, et je ne sais pas ce que vaut la formation aujourd'hui.
Bonjour,
Effectivement, c'est préférable, toutefois l'épaisseur des portes et leur dimensions réduites permettent ici de s'en passer.
Epoxy, effectivement. A noter qu'il est important d'effectuer sur les parties cachées de la pièce métallique des usinages (par ex. des perçages), de manière à créer une accroche mécanique pour l'époxy, car si l'époxy a des affinités fortes avec le bois, ce n'est pas le cas avec le métal.
Merci! Venant de toi, cela me fait d'autant plus plaisir. J'en profite pour te remercier de ton travail de partage de connaissance. L'Art du trait me fait fumer les neurones, mais quelle connaissance précieuse!
Merci...
Pour être honnête, j'ai largement profité de ce temps de formation pour expérimenter... ce qui signifie pas mal de changement ou de modifications en cours de route! La construction n'est pas optimale...
Il s'agit de l'Estampille, à Vallières en Haute-Savoie. Formation en 10 mois, avec passage du CAP. Mais le niveau, sans atteindre des sommets, était quand même largement au dessus du CAP , qui n'a pas de grandes exigences il faut avouer.
Toutefois le formateur de l'époque a passé la main. Je ne sais pas ce que vaut la formation aujourd'hui.
ebenober Eeh si, c'est bien le nom commercial...
Ma foi, rien de très original, un simple toupillage au bouffe-tout, après dégrossissage à la scie à ruban. Finalement, moins "spectaculaire" qu'un pied Louis XV fait à la sar en s'appuyant sur les tombants.
Il y a trois galbes. Si je me souviens bien, j'ai commencé par la face avant (gabarit 1), puis les côtés (gabarit 2 et 2bis), en terminant par la face arrière (gabarit 3 avec un berceau pour caler le pied sur son côté). Évidemment, les mortaises ont été faites avant
Une chose importante, ma toupie tourne dans les deux sens, ce qui m'a bien facilité la vie en me permettant de faire un double usinage pour chaque côté, sans bouger la pièce sur le gabarit. Autrement, à un moment donné, on se retrouve franchement à contre-fil et ça ne donne pas de bons résultats, oula la non
Bonjour,
J'utilise pas mal les produits Adler. En l’occurrence, il s'agit de la teinte Aqua-Neoantik Lava. Une teinte à l'eau qui donne un beau noir profond, qui ne relève que très peu les pores du bois et évite les remontées tanniques sur les bois qui y sont sujet.
C'est un meuble réalisé pendant une année de formation, donc je me suis payé le luxe de pas mal expérimenter. Du coup, ben... beaucoup d'heures sans doute, mais je serai incapable de te donner un chiffre
Très bel escalier, et original! Par contre je me pose la même question que Franfrantz sur l'encastrement des marches balancées sur le chant du limon...
Merci Yousse !