Bonjour et merci pour le compliment.
Quant à l’huile de colza, j’ai suivi quelques conseils, selon eux elle ne serait pas sensible à l’oxydation justement, d’où mon choix…
Je vais voir sur les liens que tu m’as transmis, ça me permettra de comparer.
Par contre le chanvre ne serait pas indiqué: très sensible à l’oxydation, là j’en suis certain, info de plusieurs agris avec qui je travaille.
tarpan merci pour l'info, je suis aussi parti du constat que la colza est riche en vitE donc antioxydante.
Les planches que j'ai faites à la colza ont un bout de temps d'existence et n'ont jamais ranci au contraire de celles à l'huile d'olive qui s'oxyde rapidement… et ça se sent réellement.
Mais bon, nos huiles sont plus ou moins oxydées surtout en fonction de leur stockage (teinte du flacon, t°C, etc) … ce qui est assez différent de quand elles sont appliquées sur du bois, à l'air libre, lavées, soumises à usure, etc.
Encompagniedescopeaux en effet, c'est le constat que j'ai fait: ça s'use, ça s'entretient régulièrement.
De la même manière, j'applique l'huile et la laisse tranquille après essuyage avec le même résultat.
Je vous en prie.
La méthode à la scie est celle que j'avais essayée quand j'étais apprenti (1986/88) et je n'ai pas de tour (ni même jamais tenté ce type de travail).
Je l'ai adaptée en fonction du matériel dont je dispose: une lame de 250 mm maxi soit une corde de 240 mm pour une flèche de 85.
L'assiette est concave de 22 mm (galette de 28 mm d'épaisseur mini) et a un diamètre de 260 mm (la largeur de rabotage de la Robland est 310).
Il est possible de "tourner" de plus grands diamètres mais la préparation de la galette sera davantage manuelle, après collages par exemple.
Merci.
En soit, ce n'est pas très compliqué à faire, ça demande d'utiliser nos outils d'une façon pour laquelle ils ne le sont pas habituellement… on sort des sentiers battus
Autre avantage: la possibilité de faire une mini série pour peu qu'on enchaine les assiettes sur un réglage de machine.
Bonjour et merci pour le compliment.
La méthode permet d'obtenir rapidement les formes voulues dans la limite de la scie circulaire et en série s'il le faut, la phase de finition est plus longue qu'avec un tour si on "tourne" trop vite les assiettes.
Bonjour et merci pour le commentaire.
Dans le cas présent ces assiettes sont des "utilitaires" donc, si elles devaient être marquées par l'usage qu'on en fait ce ne serait pas un problème pour moi.
Les planches à découper que j'ai faîtes sont soit balafrées de coups de couteau (et reçoivent régulièrement une couche d'huile pour leur entretien) soit elles trônent dans un salon comme décoration de table… c'est selon l'utilisateur.
L'eau stagnante peut en effet laisser des traces, ça m'est arrivé sur un plan de travail en hêtre ayant reçu une huile "spécial plan de travail", une courge avait commencé à fondre dessus… tant pis, la seule solution pas trop technique serait un vernis bistrot (ou un vernis avec fond dur) et en effet, ce ne serait plus alimentaire.
Le vernis souffrirait aussi beaucoup à l'usage.
Bonjour,
Excellente initiative que ce sauvetage et très jolie transformation… j'adore.
Il y a qques années, un gros noyer a cassé une de ses plus grosses branches (50 cm de diamètre à la base de la fourche) dans la rue, je suis arrivé assez tôt pour en récupérer un maximum… et débarrasser l'élagueur
Depuis, je l'ai débité en plateaux épais, ils sèchent près de la maison… le reste était en trop mauvais état et m'a servi à chauffer la maison.
Malheureusement cet arbre a de nouveau été endommagé (pourriture) mais je n'ai pas vu l'élagueur… raté.
Bonjour,
Superbe modèle en effet
C’est l’appareil sur lequel Doolittle a gagné la coupe Schneider de 1925, ensuite cet hydravion a été acheté en 1927 afin d’être exposé.
Oui.
Quant au film Porco Rosso, ce n'est pas exactement cet avion: le R3C-0 du film n'existe pas… tout comme celui de Porco Rosso, si le Savoia S-21 a bien existé il ne s'agit absolument pas celui du film… bizarre, qu'est-ce qui est passé par la tête de Miyasaki ?
La marque japonaise Finemolds a produit les maquettes du S-21 (dans ses deux versions) et du Curtiss au 1/72 et 1/48
Très efficace à ce qui paraît… avec ces moteurs ça ne de devait pas trop chauffer vite quand même: 620cv pour le Curtiss de mémoire.
Au contraire ça devait être terrible sur le M.C.72 avec plus de 3000 cv !!!
La suite un Macchi ? mais lequel ?
CharlyBois oui, l'idée est là.
Bonjour,
Vachement sympa, bravo !!!
J'ai vu un filet de colle à un moment… une petite faiblesse personnelle ?
Et la traversée verticale de la remorque: c'est tout moi quand je montais notre terrasse… pareil mais j'ai fini 1,20 m plus bas et moins vaillant, il m'a fallu une bonne dizaine de minutes pour me sortir de là où j'étais
Bonjour,
Je vous partage mon point de vue quant à la situation:
J'ignore s'il va y avoir ou non ce que l'on appelle un effondrement cependant, je suis certain que la vie que nous menons va bcp changer (nous devrions être la dernière génération à vivre presque aussi confortablement que nos parents… nos enfants sont-ils prêts ?), ce devrait même être assez violent pour bcp car ils n'imaginent pas que rien n'est éternel.
A propos de s'adapter (peut-être la dernière solution qui reste), une étude concluait dernièrement qu'Homo Sapiens est moins intelligent que Néandertal…
Ce dernier était capable de se nourrir, se vêtir et s'abriter par ses propres moyens, ce qu'Homo Sapiens n'est plus capable de faire dans son entièreté bien que certaines sociétés (proches de la nature) arrivent encore à faire.
Autrement, le portail me fait toujours autant envie
Bonjour,
Je retire ma supposition quant au noyer, je penche en faveur de sylvainlefrancomtois: chêne, véritable et vénérable d'ailleurs
La première photo et le bois de bout sont typiques d'un chêne.
Comme il reste beaucoup d'aubier, c'est le banquet pour les p'tites bêtes.
La coupe de bout est typique du chêne et le bois de fil laisse apparaître des mailles dans l'aubier et le duramen, elles sont presque noires dans ce dernier.
On ne verrait pas ces mailles comme dans un bois de quartier, là il s'agit d'une branche vraisemblablement.
Bonjour,
Vu de mon bureau, le travail est tout à fait honorable, très loin du bricolage au sens péjoratif.
Quant aux améliorations possibles: je trouve que la platebande des panneaux aurait mérité une finition moins abrupte, le pin ayant reçu une moulure, plus jolie au contraire.
La photo ne permet d'en être certain, la traverse intermédiaire me semble bien basse mais ça colle certainement avec l'environnement immédiat.
Bref, aucune raison de laisser tomber, c'est du bon travail.
Pourtant du bossé clair dans de la dosse… non ?
Ça fait très longtemps que je n'en ai pas tenu une pièce dans les mains
Donc, pas de bossé…
Je propose alors Tauari (ma préférence) ou Eucalyptus, des bois très fréquents en Europe dans la menuiserie industrielle jusqu'à il y a plus de 10 ans… sait-on jamais.
Le grain et le bois de fil correspondraient sur les photos, le faux quartier ou contre dosse par exemple sont clairs.
Et puis, j'ai un escalier en Tauari à la maison
Oui, le French cleat semble le plus "pratique" à mettre en oeuvre, peut-être intégré dans l'épaisseur des tablettes (celles-ci seraient donc moins profondes et cette profondeur viendrait du tasseau d'accroche lui-même… solution invisible de fait) selon l'épaisseur desdites tablettes bien sûr.