ça existe et ça oblige à bien adapter la conception des caissons en conséquence, quelques exemples de produits :
indaux.com/fr/...ulissantes.html
web.hettich.co...25/27-topline-1
Défi : Comment trouver analytiquement l'approximation d'une Ellipse par une série d'arcs de cercle ?
Voilà un problème interessant ! Ce qui est certain c'est qu'on ne trouvera pas ici une unique bonne réponse puisque tout est affaire de compromis entre le suivi parfais de l'élipse et la simplificiation de sa description en arcs.
Je manque un peu de temps pour suivre jusqu'au bous chacun des raisonnements mathématiques qui ont déjà été décris dans les précédents commentaires. C'est d'ailleurs toujours en plaisir de constater à quel point la communauté de l'Air du Bois est impliqué dans la résolution de sujets aussi variés que complexes.
De mon coté, je ne prétend pas apporter grand chose sur la description en équation du problème, surtout par manque de temps. Mais j'ai une intuition à la lecture de "l'énoncé" du Professeur Beaulant :
Pourquoi ne pas revenir au principe d'une anse de panier ?
Intuitivement j'ai toujours vu ce principe comme étant une méthode pour construire un "ovale" à partir d'arcs de cercle simples.
Alors c'est sur qu'un arc à 3 anses sera un peu approximatif, au risque de dénaturer la forme de l'éclipse initiale :
Mais qu'est ce qui empêcherait alors de voir le nombre de cercles de l'anse de panier comme un paramètre ? (un peu comme on choisi le nombre de segment lors du dessin d'un cercle dans sketchup)
Dans ce cas, en réglant le nombre de cercle à 5, 7 (...voir en peu plus ?), on tenderait de plus en plus vers l'élipse parfaite non ?
Dans cette hypothèse, en plus de garder un principe de description d'élipse plutôt simple et compréhensible, on garderait ainsi toujours les points essentiels de l'ellipse initiale comme intersections entre nos arcs.
Enfin voilà mon point de vue intuitif, malgré que je n'ai pas le temps d'aller au bout d'une vraie démonstration. J'espère que cela peux ajouter un peu d'eau au moulin
Pierre
PS : quelques infos sur les anses de panier 1
quelques infos sur les anses de panier 2
PPS : Pas tout à fait la même technique mais si ça peux aider
Je me permet de rebondir sans avoir jamais essayer "en vrai", car l'idée de faire un rainure dans la chant arrière des tablettes me fait penser à ce système :
sKlick (Knapp)
Klickpro (Knapp)
Cela multiplie les petits trous dans le mur et nécessite un bonne précision à la pose je pense. Mais ça semble assez discret et simple à mettre en place.
Bonjour, un exemple que lequel j’ai travaillé :
La réalisation n’est pas à la hauteur d’une marqueterie d’art mais ce n’est pas lié qu’à la technique mais aussi au manques d’expérience dans le domaine.
Jamais on aurais pu atteindre ce résultat avec notre maigre savoir-faire sans un laser, mais je veux bien reconnaître que c’est un peu de la triche.
En tout cas, cela nécessite tout de même plusieurs essais selon le placage, il faut des feuilles bien planes pour éviter que cela gondole à la découpe, et le fichier du laser peut ou non intégrer une « surcote » car le trait fait environ 0,2mm de large dans mon cas et le laser ce centre sur le tracé.
Bonjour,
J’utilise depuis longtemps une version similaire du rabot dégau (1637), il ne faut pas s’attendre à prendre 5mm en une passe mais je le trouve agréable à utiliser car compact, facile d’utilisation et de réglage.
En complément j’ai un scie toupie kitty junior 6 (ou 5 je ne sais plus), qui doit être là génération suivante de celle de l’annonce. Idem, c’est un peu juste pour déligner de la planche au kilomètre ou du panneau de 2m de long mais je trouve que comparer à de plus grosses scie à table, ces guides et son chariot sont plus rapide et précis à régler.
Aussi, je ne sais pas celui là mais ma lame est en 20Ox30 est ce n’est pas une dimensions très standard dans le commerce.
De mémoire mon père avait du acheter neuf l’ensemble pour 2500€ il y’a quelque années en promo.
Je me permet de répondre de nouveau après une petite mise en pratique
Je suis convaincu qu'un lien vers une ou plusieurs bases existantes extérieures à l'AdB serait un vrai plus, d'autant que ceux qui connaissent aujourd'hui l'existence de ces bases ne sont pas ceux qui en ont le plus besoin finalement.
Pour la reconnaissance, je suis conscient que ça parait lourd d'aller vers un questionnaire de reconnaissance et que ce n'est pas la seule utilité de la Xylothèque, mais je pense qu'il manque la place à ce type d'information dans les fiches essences actuelles. Peut-Être qu'un "simple" chant supplémentaire "Clés de reconnaissances" suffirait pour noter là où cela parait utile les astuces pour confirmer un doute sur tel ou tel essence.
En complément je trouve que l'usage de Tag pour décrire le bois pourrait être assez souple tout en permettant d'alimenter la recherche : Par exemple si je tape : "Europe", "ZIP", "Feuillu", "Blanc" ça réduit déjà bien la liste des essences restantes. En revanche le risque c'est de multiplier les vocabulaires mais je n'ai pas l'impression que cela soit un vrai problème sur les autres tags.
Ca permettrait aussi d'ajouter des détails qui ne se voit pas sur des photos : "Pelucheux", "Gras", "Très flexible", "Très tendre"...
Enfin si le constat autour de cette question est que la Xylothèque manque surtout de contributions. Peut-être cela pourrait être utile de dresser la liste des essences déjà utilisées pour les créations mais encore inexistantes dans celles-ci. Et a long terme un "niveau de renseignement" pour voir quelle fiche est incomplète où très partiellement vérifiée.
Enfin, un petit questionnement sur les photos des fiches essences, le but c'est d'utiliser 1 ou 2 photos "type" de l'essence ou d'avoir une variétés de photos qui montre les toutes les variations possibles ?
En espérant que ça réponde un peu à la question
Pierre
Bonsoir,
Selon ton besoin et si ça t'intéresse je peux te faire un devis, n'hésite pas à m'écrire un message.
ADPB
Pierre
Les réglementation sur l'information au client des émissions des panneaux sont plus ou moins en cours de création. En gros, il existe assez facilement des normes sur l'émissivité des panneaux (qui sont différente selon les pays). On parle surtout des formaldéhydes car se sont les plus importante mais pas les seuls
Bizarrement ce n'est pas si simple que : + je met de liant/colle -> + ça émet des particules dangereuses.
Cela dépend des technologie de collage et des proportions. Mais globalement un panneau moins émissif est plus compliqué et couteux a fabriqué à résistance égal.
Pour simplifier encore on pourrait classer grossièrement par type de panneau :
MDF - le pire en émission
Panneau de particules - intermédiaire
OSB - peu émissif.
Mais sinon il existe un classement normé : on parle souvent de E1, E0.5 mais la norme européenne est plutôt permissive donc certain se réfèrent maintenant aux réglementations japonaises ou américaines qui sont en avance sur ce sujet.
ameublement.co...ux-base-de-bois
Extrait d'un catalogue Egger :
Mais en pratique, cela ne dépend pas que du panneau : Si on vient appliquer une finition, on bloc en principe les émissions du panneau mais on les remplace par celle de la finition elle même. Aussi, ce n'est pas linéaire dans le temps, ces émissions proviennent essentiellement des réactions chimiques qui permette la liaison dans le panneau. Donc plus le temps passe après la fabrication d'un panneau ou la pose d'une finition, moins les émissions seront importantes. Sauf si celui ci était sous un film ou dans un emballage étanche.
J'espère que ça répond un peu à la question
(Si possible utilisez du bon vieux bois massif )
D’après ce que j’ai pu apprendre et comprendre, le séchage du bois est un phénomène très complexe et difficile à maîtriser selon la précision que l’on recherche.
Les techniques actuelles s’appuient sur le séchage artificiel pour maîtriser au mieux les conditions ambiantes du séchage est ainsi accélérer les cycles de séchage.
Cette maîtrise est évidement pus complexe dans des conditions extérieur mais cela ne rend pas forcément un séchage naturel moins bon, les risques ne seront simplement pas les mêmes et la garantie du résultat est alors moins « scientifiquement » maîtrisable.
Les phénomènes de jour/nuit et la vitesse plus lente amènent aussi beaucoup d’intérêts au séchage naturelle.
Concernant le degré d’hygrométrie final, un séchage naturel est réputé pour déscendre moins en humidité qu’un séchoir. En revanche tout dépend des contions final d’utilisation : un bois sécher artificiellement à 9%, puis qu’on stock dans des conditions ambiantes Classique peut facilement reprendre en humidité Et donc se déformer.
En séchage naturel, l’humidité finale dépendra surtout de la saison et le bois ne réagira pas aussi rapidement selon son épaisseur.
Pour se donner une idée diagramme qui permet de déterminer l’humidité « d’équilibre » du bois si on le laisse suffisamment longtemps dans les conditions décrites dans l’abaque (la lecture la plus simple est d’utiliser une température humide et une humidité relative de l’air) :
Enfin, si cela en vaut la peine, la technique est de stocker le bois quelques temps dans les cnodntions finales de mise en œuvre. Le meilleur exemple est pour la pose d’un parquet Massif dans les règles de l’art, où l’on stock les lames finies dans la pièce même ou celui si sera ensuite installé. On limite ainsi au maximum les déformations, bien qu’elle existeront toujours avec l’alternance des conditions dans la pièce (à l’image des courbes de l’abaque).
Pour des façades de cuisine, je trouverais résonabel de stocker à l’atelier les planches quelques mois avant corroyage, en saison intermédiaire (ni pleine hiver, ni pleine été), de manière à affiner l’équilibrage hygrométrique du bois.
Même si le séchage artificiel permet de mieux mesurer tout ces aspect, il ne dédouane pas « miraculeusement » de tout ces phénomène de déformations, car le bois reste un matériaux vivant (ou du moins qui réagit à l’humidité).
Ce n’est pas non plus un produit miracle qui limitera ces déformations mais plutôt la conception des assemblages qui doit laisser les jeux nécessaire pour permettre au bois de « bouger » sans déformer tout l’ensemble.
J‘èspère répondre à ma manière à la question.
Pierre
Salut, j’èspère répondre à ta questions : à l’usage je trouve que le plus simple est d’ouvrir le composant (clique dessus) puis de sélectionner avec une fenêtre l’une des extrémités de la pièces et éventuellement les usinage qui y sont attachés, puis d’utiliser l’outil déplacement pour allonger ou raccourcir la pièce tout simplement.
L’outil redimensionnement n’est pas des plus simplement dans une seule dimension car il aura tendance à déformer d’éventuels usinages en bout et il ne permet pas de choisir un point de référence ou d’indiquer une différence de longueur (contrairement au déplacement)
L’outil mètre n’est pas connu pour faire autre chose que de la mesure ou du trait de construction. La fonction de redimensionnement est utile pour mettre un modèle complet à l’échelle, par rapport à une image ou un plan par exemple.
Pousser tirer fonctionne presque aussi bien que déplacement mais il sera vite limité si tu as des usinages en bout et s’utilise moins facilement si la caméra n’est pas en face de l’about.
Pour avoir plusieurs fois repérés des machines avec des tables en mauvaise état (rouillée), j’utilise ma ponceuse orbitale (Mirka ceros) avec des grain de plus en plus fin (jusqu’au G500). Une fois la surface « comme neuve », je rajoute une pâte « glisse bois » pour protéger dans le temps. Le seule défaut et que cela ne corrigera pas d’éventuels défauts de planéité.
Bonjour,
Pour la gestion commerciale,j'utilise le logiciel COGILOG (sur mac), il est payant et le montant dépend surtout des modules choisis. Personnellement, j'ai surtout valorisé ces fonctions pour liés la gestion commerciale au module comptabilité. Ainsi l'économie réaliser en faisant soit même la comptabilité paye largement l'investissement dans le logiciel.
Bien que je ne l'utilise pas aujourd'hui à 100% de ces possibilités pour mon besoin, je l'ai déjà utilisé dans une autre société par le passé avec ses options avancés en matière de rédaction automatique de contrat, de devis et de suivie relance des clients et des différentes taches associés. Les possibilités sont très nombreuse est la prise en main très simple.
Cependant si on parle d'ERP, (hormis les solution industrielles que j'utilise dans mon travail extérieur) cela me fait surtout pensé à une gestion de stock, suivi du temps passé sur les projets, tracabilié des produits...
De ce coté Cogilog est adapté pour du commerce mais moins pour de l'artisanat à mon gout.
Je réfléchi donc en ce moment à "développer" une solution à base de base de donnée relationnel. Je l'ai déjà fait par le passé pour un usage agricole (Suivi de traitement, des intervention, de la reproduction, des naissances...) est le résultat est plus performant qu'un logiciel professionnel car il très simple d'adapté les bases au besoin et les possibilités d'échange avec des excel ou autre sont multiples pour pousser les analyses. Aussi, cette base de donnée devait être nécessairement mobile (sur ipod/ iPhone) dans un usage agricole et je ne reviendrait pas en arrière de ce coté là au vue du confort d'utilisation que ça amène.
A l'origine, on a utilisait l'application ISort mais elle n'est plus maintenu depuis quelques années et je suis en train de regarder pour porté la base sur une nouvelle plateforme : Ninox.
Elle a l'avantage de fonctionné autant sur ordi que sur tablette ou mobile est coute environ 30€.
Voilà à quoi ressemble le projet pour la partie "bois" :
Si ça intèresse j'essayerais de partager ici le résultat une fois terminé, sachant que les possibilités d'extension sont infini selon les besoins de chacun.
Bonjour,
Jusqu'à récemment j'étais confronté au même problème, l'alternative la plus intéressante dans mon cas ça a été de faire venir un scieur mobile et d'acheter du bois par camion. Mais bon, cela représente des quantités importantes, il faut de la place et le stockage derrière donc ça ne peut pas convenir à tout le monde. L'intérêt était surtout d'en profiter pour faire scier les quelques "belles petites grumes" récupérées les mois voir années précédent la venu du scieur. Souvent, aucun marchand ne se serait déplacé pour acheter quelques grumes d'essences disparates et de dimensions "non standard".
Au final, ça m'a pris plusieurs années mais j'ai finalement investi dans ma propre scie à grume.
Ainsi je peux valoriser à ma façon les bois que je récupère et je peux répondre aux besoins d'autres boiseux qui ne trouve pas leur bonheur dans les distributeurs classique.
Bonjour SebD,
Je connais surtout les classement en massif. D'après ce que je sais, chaque essence a son propre système, en menuiserie le chêne est assez bien documenté :
classement chêne français
Pour les résineux, il existe surtout des classements de structure pour leur résistance mécaniques (C18-C24...) mais ceux-ci ont tout de même des équivalents visuel moins connu :classement résineux
Pour le panneaux, tout dépend de ce que vous recherchez comme "qualité", la plupart des classement visent surtout la résistance à l'humidité voir les émissions de formaldéhyde.
Je ne connaissait pas le classement CP que vous mentionné. Apparemment il fait référence à la norme SFS 2413 et corespond à la finition de chaque parement du panneau :
J'espère répondre à vos questions,
Pierre