C'est une oeuvre d'art, cet escalier... Un exemplaire rare des techniques de "dripping", "splashing", et autres, pratiquées par les grands de l'Expressionnisme Abstrait américain dans les années 50 de l'autre siècle, Jackson Pollock, Rauschenberg, Clfyford Still, ou même Basquiat.
A conserver précieusement en l'état.
(de toute façon, vu le nombre de couches de peintures, tu n'arriveras jamais à avoir un truc propre et net...)
A mon sens, il faut supprimer la possibilité de donner des avis.
Les avis ne servent à rien.
S'il sont positifs, on ne les lit pas, c'est normal qu'un avis soit positif.
S'ils sont négatifs, cela ne veut rien dire. Il y a toujours un client pas content, pour une raison ou une autre, et c'est toujours celui là qui vient déblatérer sur les sites de notation...
Alors que le fournisseur n'a aucun moyen de répondre (il ne va pas aller faire tous les sites, pour vérifier si on parle de lui ou pas).
Laisser la possibilité de donner un avis aux clients, c'est la porte ouverte à n'importe quoi, à tous les biais possibles.
Et c'est aussi la possibilité, parce qu'il y a un rigolo qui n'est pas content, de foutre en l'air un fournisseur...
IL faut abandonner sur internet les rêves de transparence, de la parole donnée à tout le monde. La transparence n'existe pas, sauf celle de la jungle...
C'est la parole donnée aux jamais contents, et c'est la possibilité de toutes les déviations et toutes les manipulations.
On trouve de la tige filetée avec pas inversé et les écrous qui vont avec. On peut alors souder deux tiges (normale et inversée), ou les relier avec un manchon, deux trous et des goupilles.
Sinon, j'ai fait ce genre de presse avec de la tige filetée simple, et cela marche tout aussi bien (moins rapide pour les ouvrir, c'est tout).
Avec un polygone de sustentation de moins de 60 cm de large, pour une hauteur de 120, il ne faudra pas s'attendre à une stabilité fantastique... D'autant plus que tout le poids va être en haut, donc, centre de gravité très haut. La moindre poussée sur le plateau en haut, risque de tout déséquilibrer...
Tu mets deux blocs de bois au dessus et en dessous du plateau fixés par une serre-joint vertical bien serré (le plateau est alors en sandwich entre les deux blocs).
Tu prends un bout de bois vertical, contre la partie avant du plateau à coller.
Avec deux serre-joints horizontaux, accrochés aux blocs de bois, tu peux alors serrer le bout de bois vertical, et donc la partie du plateau à coller.
Faire la même chose de l'autre coté du plateau.
Il faut peut-être être plusieurs personnes, compte tenu du fait qu'il faut au moins 4 mains...
A noter que pour coller deux bouts de bois, il n'est pas nécessaire de presser comme un fou... Une simple pression permettant de faire en sorte que les deux parties à coller jointent bien, suffit.
Soyons simple...
Le quotidien de la plupart des menuisiers et même des ébénistes, c'est de faire et poser des caissons ou des étagères, la plupart du temps en mélaminé...
C'est le seul truc qui permet de gagner sa vie pour la plupart, et même Verdier pose des caissons...
Par contre, si tu es un génie du design, si tu fais la "différence", si ton travail est remarquable et original, et surtout, si tu as des contacts, dans le milieu des acheteurs potentiels, décorateurs, etc, si tu es très bon en "marketing", tu peux arriver à faire ton trou en ne faisant que des beaux meubles, massif ou pas, originaux, qu'on a jamais vus pour une clientèle très avertie... Regarde les magasines de déco haut de gamme, y a plein de beaux meubles design en bois...
Sinon, il y a plein de choses que l'on peut faire en travaillant le bois... Perso, je fais des télescopes en bois, on peut faire des bateaux, des canoes, des caravanes tear drop, plein de choses... IL y a plein de niches à exploiter.
Vu de loin,
Avec des rails linéaires et un entrainement par vis, cela commence à être sérieux.
Les plaques latérales, montants du portique, me semblent encore bien frêles, mais il est tout à faire possible de rigidifier en rajoutant des épaisseurs ou des raidisseurs. De même pour le cadre, on doit pouvoir rigidifier en contreventant, si nécessaire.
Ensuite, tout dépend de l'électronique, si elle est faite pour tenir la route assez longtemps, et les logiciels utilisables.
Le prix devient raisonnable.