Les clamex, c'est pour les pros qui veulent des systèmes efficaces et rapides à utiliser, et qui amortissent facilement le prix.
Ou alors, pour les amateurs qui ont plein de fric à mettre à la poubelle.
Cette bibliothèque ne sera pas démontée 50 000 fois. Des fixations avec des vis suffiront amplement.
Il faut faire des morceaux indépendants facilement déplaçables(caissons/demi boites, si possible avec un fond qui rigidifie l'ensemble et évite que cela s'écrase). On les pose ensuite les uns sur les autres, avec quelques vis pour pérenniser l'ensemble.
The big problem, c'est qu'y a pu d'fric...
Ici, on parle de formations payées avec les choux de l'état, subventions, compte formation, etc...
Or, l'Etat, c'est à dire NOUS, ben, il a plus de choux.
Alors, les types qui veulent se reconvertir avec NOS SOUS à nous, ben, on va pas encore leur payer 3 ans de formation et leur apprendre à faire des pieds de commode Louis XV, qu'ils ne referont jamais!
S'ils veulent travailler dans le bois, ben, y a des jobs dans les usines à cuisines, les types qui surveillent les machines 5 axes, et remplissent la machine et sont prêts à appuyer sur le bouton d'urgence quand ça merde. Et pour ça, pas besoin de 3 ans d'études..(je ne parle pas des vrais techniciens qui savent vraiment comment ça marche)
S'ils veulent s'amuser à apprendre quelques choses, y a plein d'organismes privés qui proposent des choses bien. Bien évidemment, dans ce cas, c'est plus avec nos choux...
Faut arrêter de croire que le Système (l'Etat, c'est à dire, nous), a des grandes poches bien pleines pour faire plaisir à tout le monde... On est dans l'urgence, dans la bricole, parce qu'on ne peut plus se permettre de faire les choses comme il faudrait. Les "30 glorieuses", c'est fini depuis un demi siècle...
(pour ceusses et icelles qui n'auraient pas compris, c'est bien sur de l'ironie. Mais dans l'ironie, il y a toujours des choses vraies... et c'est à peu près comment raisonnent les gens qui décident pour nous...)
C'est logique. Dans un étau ou une presse verticale, il y a tout un système pour que la pièce mobile ne se mette pas de travers. Ce n'est pas le cas dans un moxon.
Un moxon s'utilise en enfilant toute la pièce entre les deux vis.
Plus généralement, je n'ai jamais compris l'engouement pour les moxons. Un truc d'anglo saxon... qui coûte deux fois plus cher qu'une presse normale... Et ce n'est pas très pratique...
Déménager un piano à l'étranger, surtout par transport maritime coûte une fortune, souvent plus que la valeur du piano.
Un Yamaha G1 d'occasion coute entre 5000 et 8000 €. Ce n'est pas un piano d'exception. Il faut bien réfléchir et se demander si cela ne vaut pas le coup de revendre celui-ci et d'en racheter un autre à l'arrivée.
Le transport maritime de piano est une opération très complexe, et réalisée par des professionnels spécialisés, qui d'habitude, procurent la caisse, car ils savent exactement ce qu'il faut. De toute façon, les assureurs vont mettre leur long nez dedans, et au moindre écart par rapport aux normes, cela risque de faire très mal.
Si tu poses ce genre de question, c'est que tu n'as jamais fait. Je crois que vu le risque, je passerais la main.
Attention!
Les solutions proposées avec une scie circulaire de biais vont être difficiles pour un si petit rayon. Il faudra alors un angle très aigu (montage très olé olé) et on va obtenir un morceau d'ellipse très aplatie (cercle vu de biais avec un angle d'incidence très aigu), donc, une gorge très creusée. Ce sera loin d'être une portion de cercle.
Personnellement, je ferais cela par morceaux de 20 cm, collés bout à bout. Les morceaux pris verticalement sont prédécoupés à la scie à ruban, puis usinés sur ma grosse ponceuse cylindrique, avec le plus petit cylindre.
Sinon, il me semble que tu as une cnc. C'est faisable avec.
Tout d'abord, si tu as un doute sur la rigidité, note qu'en passant de 10 cm à 12,5 cm d'épais, tu doubles la rigidité du plateau (la rigidité dépend du cube de l'épaisseur).
De plus, plus c'est épais, moins il y aura de vibrations.
L'aglo, cela n'a pas de cohésion, ce n'est pas très rigide. Mieux vaut du mdf, et bien mieux encore, du cp que tu peux enrober avec du massif ensuite. L'avantage du mdf ou du cp, c'est que cela voilera très peu.
Une structure alu enrobée de cp, puis placage serait pas mal. Attention si tu mêles métal et massif, aux rétraction du bois.
A mon sens, la chute est très courte, et tu n'oses pas bien la tenir (et tu as bien raison, car la main est très près de la lame). De ce fait, la chute se met en biais sous la poussée de la lame, et ça bloque.
Personnellement je n'oserais jamais essayer de couper un petit morceau de cette façon. C'est bien trop dangereux. D'ailleurs, si cela commence à bloquer, tu as eu de la chance, cela aurait pu être bien plus dommageable...
Pour les petits morceaux, il vaut mieux utiliser un chariot de coupe, qui permet de "tenir", la pièce des deux cotés de la coupe. Et de plus, c'est bien plus securisé...
(le chariot de coupe, on se le fait soi-même, il y a plein de tutos sur la toile).
(D'autre part, bien sûr, la lame est bien trop relevée).
Tu peux faire comme j'ai fait pour mon établi morave dont la publication sera effective incessamment sous peu:
Le tenon est de 22.
La clavette est en forme de fourche ou de U, et s'enfourche sur le tenon, un peu comme ton choix 1, mais en plus "élaboré"...
Voici donc en avant première spéciale, les photos :
Ces vieilles maisons ou granges, ce sont des tas de cailloux posés les uns sur les autres, avec un peu de chaux pour les faire tenir à peu près ensemble.
Cela tient parce que c'est un ensemble.
La moindre modification, ouverture, etc, et cela déstabilise entièrement le tout et y a pu rien qui tient.
Ce n'est pas comme une maison moderne, faite avec du béton et des briques ou des moellons qui tiennent bien ensemble.
Le mâcon a bien raison de dire que pour faire des ouvertures, il fallait renforcer la charpente.
Sauf, qu'en fait, ce n'est pas que la charpente qu'il faut renforcer, mais l'ensemble.
C'est un métier. Un truc de professionnel.
On ne fait pas ça soi-même, avec 3 conseils sur un forum. Ou alors, on prend de très gros risques.
