Entièrement d'accord!
Voilage dû à une différence d'hygrométrie entre les deux pièces.
IL est possible qu'en la laissant simplement ouverte, l'hygrométrie des deux pièces va s'équilibrer et la porte va reprendre sa forme, en tout cas, partiellement.
FBO87 De toute façon, cela ne mange pas de pain de laisser la porte ouverte, de chauffer la maison, éventuellement, de tirer avec des cordes judicieusement placées pour contraindre la porte, et de voir ce qui se passe.
Des portes qui voilent, cela arrive tous les jours. Ce n'est sans doute pas la peine d'incriminer les entreprises qui ont rénové.
Corentintin Cela fait des années que sur cette plateforme, je donne des conseils à tous ceux qui cherchent à se reconvertir.
Parce que moi aussi, je l'ai fait, et parce que je trouve que c'est une formidable aventure.
Mais cette fois-ci, j'en ai eu marre, et j'ai poussé mon coup de gueule.
C'est tombé aujourd'hui, cela aurait pu tomber sur un autre.
Je ne suis pas d'"emblée désagréable". Je dis simplement ce que je pense, et comme je le pense et j'ai mon franc parler. Je ne pratique pas la "net attitude", ni la pensée marschmallow de notre temps.
On a toujours le même profil de jeunes trentenaires surdiplômés qui sont dans l'"investissement personnel", qui "ne savent pas", qui "se demandent", qui "s'inquiètent" sur leur "future satisfaction", si leurs "attentes seront comblées" ou non, si "leur avenir sera assuré", s'il y aura de la "stabilité", etc, etc, etc...
Bref, qui veulent le beurre et l'argent du beurre.
Tout ça avec l'idée romantique du type qui fait des copeaux avec son rabot et fait des queues d'arondes avec ses beaux ciseaux au milieu des pots de vernis.
Faut arrêter le romantisme, et faut arrêter de se poser des questions de gosses, et de gosses de riches.
Les menuisiers, les vrais, ils se sont pas demandés s'il y avait des perspectives, de la satisfaction, de la stabilité.
On les a mis à 14 ans dans une classe professionnelle, dans une formation à 16 ou 17, et ils se sont retrouvés comme apprenti qui se faisait botter le cul par un petit chef, à faire tourner une machine dans le bruit d'un atelier empoussièré.
Alors, l'avenir, les perspectives, la satisfaction, ils n'y ont pas vraiment pensé. Ils n'ont pas eu ce privilège...
Certes, la satisfaction est venue avec l'âge, l'expérience, le savoir faire. Mais quand il a fallu prendre la décision (qu'on leur a plus ou moins imposé à l'origine), ils n'ont pas vraiment pensé à tout ça.
Alors, à tous les jeunes trentenaires privilégiés qui ont le vague à l'âme, sachez que la satisfaction, la stabilité, les perspectives, elles ne tombent pas du ciel, et cela ne dépend pas du métier, quel qu'il soit, mais de soi-même et soi-même seul.
michel22440 Je ne suis pas donneur de leçons... Je dis simplement ce que je pense. Ce n'est pas "mainstream" ? ce n'est pas "oui, peut-être mais quand même..." ? Cela n'a rien à voir avec la pensée "marshmallow" ? Ce n'est pas "gentilloux, bien poli? " C'est trop "direct" et pas assez "nuancé"? C'est pas assez "faux cul" ?
Ben oui, et c'est fait exprès, pour faire bouger les lignes, faire réfléchir.
J'aurais pu dire exactement la même chose en étant faux cul, et mettant cinquante sous entendus, en faisant semblant d'être gentil et poli, mais cela n'aurait pas eu le même impact.
Voila voila...
michel22440 Version chatgpt plus "faux cul". C'est mieux ?
Ce qui m’interpelle dans ta présentation, c’est que tu ne mentionnes pas vraiment d’expérience pratique : avoir déjà travaillé le bois, bricolé dans ton garage, fabriqué tes meubles, ou encore un environnement familial ou professionnel lié à ce domaine. Ces éléments seraient intéressants à partager, car ils montreraient que tu as déjà un premier contact avec cette réalité.
Si tu n’as jamais eu l’occasion de le faire, cela ne veut pas dire que c’est impossible, mais il est normal de se poser davantage de questions avant de se lancer.
Il ne faut pas oublier non plus que tu exerces actuellement dans un secteur porteur : le nucléaire connaît un nouvel essor, et c’est une chance à considérer. Si l’entreprise où tu es ne te convient pas, tu peux toujours envisager de changer de structure. Mais il est aussi important de garder à l’esprit les avantages de ta situation actuelle : tu as une formation, une stabilité et une rémunération qui sont loin d’être négligeables. Beaucoup de personnes qui travaillent dans des métiers manuels, comme la menuiserie par exemple, connaissent des conditions difficiles pour un salaire modeste.
C’est pourquoi mon conseil serait de profiter des atouts dont tu disposes aujourd’hui, afin de construire sereinement ton avenir (logement, famille, projets personnels). Rien ne t’empêche, en parallèle, de cultiver ta passion du bois comme un loisir. Et le moment venu, tu pourras toujours envisager d’en faire plus si tu en ressens encore le besoin.
Si tu veux vraiment clarifier tes doutes, je t’invite à passer quelques jours dans un atelier : tu verras rapidement si c’est un appel profond ou plutôt une envie ponctuelle.
Changer de vie est un choix qui s’impose souvent comme une évidence intérieure. Si tu en es encore à chercher à rationaliser la décision par une longue liste de questions, c’est peut-être simplement le signe que ce n’est pas encore le bon moment — et ce n’est pas grave.
.../...
Cela fait plusieurs années que je partage ici des conseils à celles et ceux qui souhaitent se reconvertir.
Je l’ai moi-même vécu, et je considère que c’est une aventure enrichissante et pleine de sens.
Aujourd’hui, j’ai eu besoin d’exprimer un ressenti plus direct. Ce n’est pas dirigé contre une personne en particulier : cela aurait pu concerner n’importe quelle discussion du même type.
Je ne cherche pas à être désagréable. J’ai simplement tendance à dire les choses telles que je les perçois, sans forcément arrondir les angles. Je ne pratique pas toujours la « net attitude » au sens strict, mais mon intention reste de partager un point de vue sincère.
Ce que je remarque souvent, c’est un profil récurrent : des jeunes trentenaires très diplômés, en pleine réflexion personnelle, qui hésitent, qui doutent, qui s’interrogent beaucoup sur leur avenir, leur satisfaction, la stabilité, ou encore leurs attentes.
C’est une démarche compréhensible, mais parfois elle semble alimentée par une vision un peu idéalisée du métier manuel — celle de l’artisan qui rabote, qui sculpte des assemblages parfaits, dans une ambiance presque romantique d’atelier.
Or, la réalité est plus rude. Les menuisiers, ceux qui ont appris ce métier tôt, n’ont souvent pas eu l’occasion de se poser toutes ces questions existentielles. Beaucoup ont été orientés jeunes vers une formation professionnelle, parfois dès 14 ans, et se sont retrouvés apprentis dans des ateliers exigeants, avec leur lot de bruit, de poussière et de hiérarchie stricte.
La « satisfaction » n’était pas le moteur initial. Elle est venue plus tard, avec l’expérience, la maîtrise et le savoir-faire.
C’est pourquoi je veux rappeler que la stabilité, la satisfaction ou les perspectives ne dépendent pas uniquement d’un métier, quel qu’il soit, mais surtout de la manière dont chacun choisit de s’y investir.
Retour au style direct...
Au fait, si tu as l'intention d'aller chez les Compagnons à Marseille (à Marseille!), ne leur parle pas de tes vagues à l'âme, et, surtout, ne dis pas que tu es ingénieur dans le nucléaire...
Parce que les Compagnons, c'est des gens polis, gentils et bienveillants et tout et tout, mais ils ont leurs limites...
Rob1dbois Ah Ah!! Et la version Chatgpt, tu ne l'aimes pas non plus ?
Xime Oui, bien sur, chacun sait que les ingénieurs, ce sont les OS de ce monde moderne...
Va donc dire ça à un vrai OS..
Plus généralement, le type ingénieur qui se présente comme apprenti dans un atelier, il va se faire accueillir comme un extra terrestre ou un rigolo. On ne le dira peut-être pas, parce que les gens sont polis, mais on le pensera...
Excusez moi encore, le café du commerce revient, mais je reprends une réflexion de Xime . Il ne s'agit pas de distribuer des baffes, mais j'ai du mal à laisser passer ce genre de réflexion.
Les ingénieurs seraient victimes du système d'orientation de l'Education Nationale?
Ils seraient ingénieurs à l'"insu de leur plein gré" ? Salaire de sortie à tout juste 23 ans entre 30 000 et 50 000 brut, et ce serait à l'insu de leur plein gré ?
Le coût de formation d'un ingénieur, c'est au minimum 50 000 € sur les 5 ans, payé par l'Etat, donc les impôts de tout le monde.
Il ne s'agit pas de monter les gens contre les autres, mais il faudrait peut-être avoir un peu de décence, non ?
Perso, j'ai moi aussi profité du système, mais je n'oserais jamais dire ce genre de choses.
Corentintin C'est intéressant, ta manière de voir les choses... Si on répond au Monsieur dans le cadre de ses interrogations, alors, c'est bien, par contre, si on commence à dire que ses interrogations sont mal posées, alors là, c'est pas bien, c'est pas constructif, cela ne répond pas à la question, etc...
Donc, si on reste dans le cadre, ok, c'est bien, c'est constructif. Mais si on sort du cadre, ça, c'est pas bien.
Cela me rappelle des choses...
Par contre, je suis très déçu, personne n'a réagi à la version édulcorée, par chatgpt... Cela dit la même chose, mais façon "faux cul". Si j'avais commencé par cette version, personne n'aurait trouvé à y redire... Comme quoi les gens réagissent seulement à la forme, et pas aux idées...
Rob1dbois C'est bien ce que je disais... Quand quelqu'un sort du cadre, et qu'on n'est pas d'accord avec lui, on l'accuse de ne pas être "pertinent" ou de ne pas être "constructif"...
Toute personne qui n'est pas "mainstream" est qualifiée de "non constructif" et "non pertinent".
En fait, c'est la traduction sophistiquée à la mode 3.0 de "Tu nous emmerdes, ferme ta gueule"...
La censure du groupe social est devenu plus subtile, mais c'est toujours la même chose.
Rob1dbois Ah, cela s'aggrave!... Quand on tape sur quelqu'un et que le quelqu'un essaie de répondre, on l'accuse de se "victimiser"... Bravo, tu maîtrises fort bien la dialectique de la censure moderne ! 
Tysam974 Faut pas t'en aller comme ça! Y a plein de gens gentils et bienveillants par ici... 
Olivier80 On peut mettre une planche pour protéger, tout en bénéficiant de la robustesse du bâti de l'établi, ce qui ne serait pas le cas avec une planche et deux tréteaux.
On peut aussi facilement enlever la planche de protection quand on trouve que cela gène.
On peut aussi ne rien mettre et laisser le plateau s'abîmer, un établi n'est pas une oeuvre d'art. D'ailleurs, je n'ai jamais compris pourquoi beaucoup s'amusent à réaliser un établi ultra fignolé comme si c'était leur "chef d'oeuvre". Un simple plateau bien plat, mais mal fini ailleurs, sur un bâti grossier mais bien robuste, suffirait amplement.
Nicoel 1 € le litre. Il y a 1000 L dans 1 m3. Donc, 1000 € le m3.
Il est vrai que dire 1 € le litre plutôt que 1000 € le m3, cela ne fait pas pareil...
Le bois brut, c'est le même prix que le lait
Le bois raboté, c'est moins cher que le beurre (7300 € la tonne, le beurre a une densité de 1, donc 7300 € le m3...)
Nicoel Le litre est une unité de volume, comme le m3. Si tu veux, on peut dire 1 dm3, mais c'est moins parlant.
0,911, c'est presque 1, non ? J'ai arrondi pour aller vite. On n'est pas à 10% près.
Nicoel Disons que c'est rigolo de faire des "têtes à queues"... Associer des choses qu'on n'associe pas d'habitude... par exemple, le bois et le lait...
Benuri Une idée bête... Tu prend un bout de papier, découpé à la largeur de ta pièce diagonale, tu la positionnes en bas, sur la traverse, comme tu le veux, et tu pivotes le bout de papier jusqu'à ce qu'il se retrouve en haut exactement la où tu veux. Et tu mesures ce que cela donne...
Bingo!
Sinon, on peut faire ça avec un peu de maths, de la trigo...
Benuri Ok, ok...
Soit le Point A sur la traverse basse, à 80 mm du bord.
Soit le point B sur la traverse haute, à 80 mm du bord.
Tu traces un cercle de diametre égal à la largeur du "bras de force" centré en A.
Tu traces la droite passant par B et tangent au cercle centré en A.
Pareil en haut, tu traces un cercle identique centré en B, et tu traces une ligne passant par A et tangent au cercle centre en B.
et voila...
Pour info, je n'ai pas de problème avec les logiciels 2D et 3D, mais je les utilise à bon escient...
stefdefoot Mon zami, je crois que j'ai donné la solution et que le monsieur, ben, il est content... 
C'est mieux que de perdre son temps avec des "pas d'accord" à tout bout de chant et rien d'autre. Elle est où, ta réponse constructive à toi ?
Et pis, je dis ce que j'ai envie de dire, na!!!
stefdefoot Et toi, t'aimes bien parler pour ne rien dire...
Erebor Oui, mais un portillon, c'est quand même pas un 'système complexe"...
Entièrement d'accord sur l'intérêt des modelisations 3D sur des trucs compliqués, mais là, un portillon, cela se traite avec un bout de papier...
PS: Je crois que pour ta solution, il y a un problème. Si tu prends la largeur du bras sur la perpendiculaire à la droite reliant les 2 points, on n'a pas la bonne largeur, car on se base sur la diagonale de la pièce "bras de force".
FBO87 Modifier la place des gonds, cela ne va pas être facile du tout...