Bonsoir Étienne,
Je partage ton point de vue. Utiliser du MDF peut sembler amateur. Actuellement je suis dans l'incapacité de réaliser des feuillets de bois massifs, sinon c'est cette solution que j’aurais choisi. Cet escalier est pour moi, pas du tout pour un client.
Concernant la colle, elle ne sera pas choisie au hasard, je l'attends d'un jour à l'autre. Je posterai l'intégralité de cette fabrication sur ce forum.
Merci pour ton intervention.
Bonjour à tous,
J'ai réalisé un essai avec du CP 5 mm extérieur.
A ma grande surprise, je trouve qu'il accepte assez facilement de s'entourer autour de mon gabarit.
Pour qu'il se place bien, j'ai commencé par réaliser un dessous en MDF 3 mm qui me permet de tracer le mouvement que je souhaite.
Au-dessus de ce médium, j'ai enroulé deux épaisseurs sans trop d'encombre.
Ce qui apparaît sur la photo n'est pas encore collé, juste mis en place par les liteaux vissés dans le gabarit.
Actuellement sur la chantier, la température est beaucoup trop basse pour coller.
Dès la remontée des températures, je commence le collage.
Hello,
Actuellement juste 2 épaisseurs de CP 5 mm ''non collées''
Ma maison se situe en Haute-Savoie à 900 mètres d'altitude et la température se situe aux environs de -4 ou -5 °. Donc pas de collage maintenant.
Terminé, je souhaite 10 plis pour atteindre 50 mm pour les deux limons (intérieur & extérieur).
Je colle l'ensemble des feuilles avec une surcote et je débillarde un fois que tout est collé. Je pense également plaquer le chant que ne pas voir les chants du CP.
Je ferai des photos le moment venu.
kaj
En effet, délicat mais loin d'être impossible. 1ère possibilité réaliser des sections courtes (joints perpendiculaire à l'arête) 2ème possibilité réaliser des joints en sifflets (le plus aligné possible sur la longueur et attendre que le fil sorte de lui même de la largeur du limon. pour la rampe ..... Uniquement métal !
campion
Bonjour,
Merci pour les images. Deux possibilités pour plaquer un chant : Soit réaliser des longueurs de placages assez courtes avec le joint perpendiculaire à l'arrête du limon, soit réaliser des coupes en sifflets pour obtenir le fil du bois le plus possible dans l'axe du limon.
Sur la seconde image, ont voit bien le joint réalisé perpendiculaire à l'arête. Joli travail.
Bonsoir Étienne,
L'épaisseur des limons sera peu épaisse (50/55 mm) je reste persuadé que rien ne sera visible. Le fil du bois (à moi de choisir quelque chose de bien droit) ne se verra pas. Je dois également ajouter que les limons seront laqués !!
Tout cela sera montré dès fabrication.
A bientôt donc ....
Pour bloquer les marches côté collet, j'ai réalisé des entailles en biais (plus étroites vers le nez de marche).
J'ai débillardé la crémaillère,
Collé des liteaux (chêne) qui permettront le vissage des marches,
on aperçoit également 4 trous qui permettent de loger un tourillon entre crémaillère et marches pour un maintient maximal.
Les contremarches sont en multiplies de contreplaqué de 5 mm (4 épaisseurs collées sur un gabarit ayant le rayon des marches).
Ces contremarches sont vissées sur la crémaillère,
Un renfort est également collé/vissé à l'intérieur des contremarches et vissé par le dessus de chaque marche, au niveau de l’alaise merisier.
On peut apercevoir les renforts collés/vissés sur le dessous des marches.
La première marche est composé d'un motif et d'un liseret acajou pour l'agrémenter.
Fabrication de la main-courante en multiplies.
Je fabrique actuellement les poteaux (acier) qui soutiendront cette main-courante et un début de finition sur l'ensemble de l'escalier;
La couleur n'est pas définitive (hormis les marches, 5 couches de polyuréthane bi-composant).
J'ai également commencé le dessous de l'escalier en MDF de 3 mm.
Merci beaucoup Sylvain pour ce partage. J'aurais adoré voie cette maquette de près.
Attention Laurent, si le plan de travail en hêtre dont tu parles est celui auquel je pense, il est formé de plusieurs pièces de bois collées entre elles. Le risque que tu pourrais rencontrer (selon ton type d'assemblages des marches dans les limons) serait qu'il se creuse (c'est à dire qu'il se cintre dans le sens de la largeur. Reste plutôt sur du panneau ou des marches en massif. Peut-être nous dire quel genre d'escalier tu souhaites réaliser ? (Échelle de meunier je suppose ?)
En souhaitant réaliser un quart tournant pour ton premier escalier, tu ne choisis pas le plus simple !!
Tout est réalisable mais il faudra beaucoup te documenter. Quantité de choses existent sur la toile en termes d'explications. Pour commencer il faut comprendre la démarche qui permet de calculer un escalier. Ensuite, il faudra le tracer. Et enfin le réaliser. Pour la réalisation, il te faudra quelques électroportatifs et des pièces de bois (bien choisie).
Je me permets encore un conseil (Sans vouloir être hautain) as-tu regardez chez un vendeur type Gédimat ou autre ? ils vendent des escaliers prêt à la pose à des tarifs corrects.
Pour être concurrentiel (entre une fabrication personnelle et une industrielle) il faut tout prendre en compte (temps passé, machines, pièces de bois, visserie, éventuellement ''erreurs'' qui oblige à recommander du bois, ...ETC).
Mais si tu te sens prêt, vas-y ! c'est ainsi que l'on progresse dans la vie.
Actuellement je construis ma maison (auto constructeur) et j'en suis justement à mon escalier ....
Je connais bien TopSolid, j'ai travaillé avec (j'étais prof dans un Lycée du bois) et en retraite depuis septembre dernier.
Pour en revenir à l'escalier, je me permets de penser que ta décision est sage !! non pas que je pense que tu sois incapable de réaliser des assemblages (je répète''tout est possible'') mais quart tournant avec contremarche pour un premier essai .... Pas simple. Si tu as besoin d'autres conseils, tu peux garder mon contact. Je te répondrai avec plaisir. Jacques
Attention..... Tu risques de ne pas retrouver ce genre de produit en trouvant le prix excessif !
Robland ne vend plus ces pièces qui commence à dater.
Cela m'est arrivé au cours de ma vie .... Et si mon erreur peut aider mon prochain !
Bonjour et merci beaucoup. Très sympa à utiliser.
Je comprends mieux ce que tu expliquais.
En effet le capot de la raboteuse est visiblement sorti de sa position. Lorsque j'ai acheté ma machine, elle était très sale et demandait une remise ne état complète. J'ai donc démonté pour voir l'état des différents roulements, courroies et autres. C'est la première image sur laquelle on peut voir les parties raboteuses démontées.
Sur la seconde image (Remontage) j'ai replacé les parties supérieurs qui coiffent les arbres (porte-outil, anti recul, et les deux arbres responsables de l'avancement des bois).
Si mes souvenirs sont justes (?) il faut replacer le capot en même temps que l’ensemble de ces arbres.
Donc ..... il faudrait peut être ôter ces parties supérieurs pour replacer ton capot ?
Je vérifie cette après midi mes propos .... et je reviens te dire.
Après vérification, je retire mon explication. Pas besoin d'ouvrir le corps de la machine.
Il existe une vis sur le côté avec un écrou de blocage.
De mémoire (donc faillible ..) tu débloque l'écrou, ce qui reste est une longue vis avec une empreinte BTR en bout. cette empreinte te permet de visser ou dévisser une longue vis qui traverse complètement le capot et vient se visser de l'autre côté du bâti.
Si ton capot n'est plus en place, l'écrou doit être débloqué et la longue vis, passablement dévissée.
Ou alors, la longue vis n'est plus présente ?
J'espère avoir été clair ....
N'hésites pas au besoin.
Ce qui me semble bizarre en regardant à nouveau tes photos, c'est que ce capot est plus long que ce qu'il devrait être !
Lorsque tu as eu ta machine, était-il en place ou ainsi ?
Je vois bien sur la gauche de l'image, la partie défoncée qui permet au capot de venir se placer et de tourner parfaitement bien. Mais (est-ce un effet d'optique ?) le capot du côté droit de l'image me semble légèrement trop long pour venir prendre place au même endroit que l'autre côté, en glissant contre le bâti et permettre à la longue vis de venir le verrouiller à cette place en permettant une rotation autour de la longue vis ....
A toi de me dire ?
Pour ne pas te dire de bétises .... je dois redémonter ce capot car mes souvenirs ne sont pas suffisamment clairs dans mon esprit.
Je le ferai lundi dans la journée.
Concernant où trouver cette pièce (tige) tu peux la trouvera chez le représentant Robland de ta région. Attention, toutes ces pièces sont chères chez les dépositaires de la marque ....
Enfin, est-ce qu'une tige fileté pourrait faire l'affaire, réponse lundi en fin d'après midi.
Dans l'hypothèse d'une réponse favorable, il restera l'empreinte BTR pour serrer cette vis ....
Désolé pour le retard mais actuellement je construis ma maison ....
Heureusement que j'ai démonté. Je reconfirme mes propos du premier message : je trouve le capot trop long pour l'espace entre les deux côtés de la machine.
Ce capot est bien pris en sandwich entre les deux coiffes qui tiennent l'ensemble des axes. Plus simplement, il faut bien démonter les deux parties supérieurs pour rentre le capot dans ses logements de chaque côté (voir image de gauche dans mon premier message).
La vis et le contre-écrou ne servant qu'à réduire le jeu latéral.
Voici la vis démontée et la photo qui montre tout ce que tu dois démonter pour remettre ton capot en place.
Tu n'as pas répondu lorsque je t'avais demandé si tu avais eu la machine ainsi (capot démonté) ?
Maintenant à toi de savoir si tu te sens capable de le faire ...
Salutations.
Je pourrais peut être t'aider plus si tu faisais d'autres photos montrant les différentes parties (perforation pour l'axe côté D & G, les deux bouts du capot D & G). Je n'imagine pas que Robland ait réalisé plusieurs principes de verrouillage capot. A mon avis, le tiens comme le mien sont identiques. En revanche, peut être (?) que le dernier propriétaire (cavant toi) ait bidouillé quelque chose ?
Il semblerait (la photo n'est pas suffisamment nette pour être sûr) que ta vis soit cassée ?
Aujourd'hui je prends le temps de mieux expliquer ....
Je pense que les deux bouts du capot (partie arrondie que l'on aperçoit sur ta dernière image) se loge dans les deux trous des parties supérieurs qui coiffent les arbres (voir mes premières images, lorsque j'avais démonté ma machine).
Lorsque le capot est parfaitement inséré dans ses deux réservations, il est parfaitement tenu.
Impossible pour lui de sortir de ses deux logements.
Enfin la vis (que je pensais + longue et responsable de la tenue du capot) ne sert uniquement à diminuer le jeu latéral.
Cela je l'ai vérifié lorsque que j'ai ôté la vis il y a quelques jours, pour pouvoir faire les deux dernières photos.
Donc elle a très peu d'intérêt sur ton problème actuel.
Bonjour Michael,
Merci pour tes vidéos. Très instructives.
Je construis actuellement ma maison et j'aimerais connaître la façon de raccorder deux noues en parties hautes. J'ai trouvé à peu près tout sur Internet concernant la fabrication de noues sauf ce raccordement.
Si tu avais un croquis, une vidéo disponible ... Ou si tu pouvais en faire une pour l'occasion !
Merci beaucoup.
Bonjour Michael,
Oui, ce patronyme n'est pas choisi au hasard.
Je viens de rentrer ma 24 & 25èmes motos.
Bonsoir,
Je partage totalement ton avis sur la résistance de ce matériaux dans les sens des épaisseurs. C'est un peu mon propos dans une des réponses faites à l'un d'entre-vous qui est intervenu sur ce sujet. Je parlais de fibres courtes. Nous savons tous que le MDF est broyé très fin pour répondre au cahier des charges des industriels de l'ameublement, cuisinistes Etc ... Il permet d'obtenir des chants suffisamment fins pour réaliser le laquage pas exemple, ce qui n'était pas possible avec le panneau de particules. J'ai testé ce matin avec une chute de CP 5 mm si je parvenais à le cintrer sans casse .... Pas facile !! sur un rayon de 25 cm. Je pense procéder de la façon suivante : Commencer par 3 plis de MDF de 3mm et de continuer par du CP 5mm. Mon gabarit n'est pas métallique, mais en bois. Je crains qu'il ne tienne pas pour contrer immédiatement du CP. En revanche, avec le renfort des premiers plis cela ne devrait plus poser de problème. Merci pour ton intervention.
Bonjour Bonbonveronbi,
Merci beaucoup pour ton retour.
Rassuré par ta réponse, je n'aurais pas imaginé utiliser de la fibre courte (MDF) dans le cas d'un élément structurel. Pour avoir déjà travaillé cette matière en 3 mm d'épaisseur dans plusieurs situations tordues, je vais procédé à des essais avec différentes épaisseurs.
Encore merci pour ta participation.
Hello ukinoki,
Le bruit ..... du trois cylindres 2 temps !!!
Dépassé certes, mais inimitable ......
Comme toi, passionné de cette monture.
A sa sortie, j'avais 13 ans. Pas vraiment fan de motos à l'époque (plutôt d'Alpine berlinette) j'ai pourtant vraiment reçu un choc en la voyant !! Plus tard, terminant mon service militaire, je me suis mis en quête d'en trouver une. A cette époque internet n'existant pas, il n'était pas simple de trouver les choses comme aujourd'hui. Ma chance, à ce moment là, peu de personne les recherche. J'en possède 2 : 1972 et 1974. Aujourd'hui ..... Impensable à acheter.
Au plaisir de te lire.
Hello Boisenformes,
Je suis allé voir le warrior de Nuair sur Internet. Très intéressant ! je ne le connaissais pas. Visiblement capable de réaliser du sablage ou aérogommage en effet. Si l'on creuse un peu plus pour cette réalisation, il faut ajouter à ce compresseur, un ballon d'accumulation d'air (une cuve) et pour finir l’équipement, une sableuse. Selon la grosseur du travail et la répétitivité de ce travail, il peut devenir attrayant en effet. Dans le cas d'une utilisation très occasionnelle, il devient trop onéreux. A suivre ....
Merci Boisenformes pour ce partage que je vais suivre car il est prévu un achat de cet ordre pour moi.
Bonjour Sylvain,
La transmission du savoir .... Vaste sujet.
Diplômé en ébénisterie, menuiserie et charpente après des années d'expériences et âgé de 50 ans, j'ai passé le concours de Prof en 2009 (10ème au concours externe pour les connaisseurs).
Le Président en place à cette époque ne remplace plus un prof sur deux pour diminuer la dette du Pays. NE PAS OUBLIER CELA.
J'ai bourlingué dans pas mal d'entreprises privées et j'avais même monté mon atelier de restauration de meubles d'époque durant plusieurs années.
La plus mauvaise entreprise que j'ai fréquenté est sans conteste l’Éducation Nationale.
Retraité depuis une année, j'avais pourtant vraiment la foi !!
Je n'ai jamais milité pour aucun parti, ni jamais été syndicalisé.
Je n'ai jamais défilé dans les rues pour hurler des slogans préparés.
Mais revenons au premier jour de mon emploi ....
Nous sommes le vendredi 28 Aout 2009 et dans 2 jours je dois faire ma rentrée.
Où cela ? Dans quel établissement ?
Je n'ai reçu, ni appel téléphonique, ni courrier, ni courriel.
Je décroche donc mon téléphone et appelle le rectorat dont je dépends.
Une toute petite voix féminine et juvénile me répond qu'elle m'a oubliée !
Je dois me présenter lundi 31 aout à 9 h00 dans mon établissement nommé ........ et situé à 200 KM de mon domicile.
Où vais-je dormir ? Où vais-je manger ? Comment vais-je faire pour m'organiser ?
Ce n'est pas leur problème, c'est le mien.
Le grand jour arrivé, lors de ma présentation à mon chef d'établissement, j'explique la situation. Celui-ci me renvoie vers le gestionnaire pour me trouver ''provisoirement'' une chambre.
Le gestionnaire balayera d'un geste vif ma demande, arguant de ne pas avoir de temps à me consacrer.
La ''presque'' fin de journée arrivée (récréation de 15h00) je me casserai le nez contre sa porte déjà close.
Je dormirai ainsi les deux premières nuits dans ma voiture garée dans le Lycée.
Au cours de la seconde nuit, je serai réveillé par quelques coups frappés contre la vitre de ma portière sur le coup des 2h00.
Scène mythique des films policiers .... Le faisceau lumineux de sa lampe braqué sur mon visage, il ne manque que le chien tenu en laisse.
Nous faisons connaissance.
Lui, le gardien de nuit.
Moi, le pauvre Prof délocalisé.
Après un court échange de paroles il me propose de porter à la connaissance du chef d'établissement, via une main courante sur son livre de bord, mes douces soirées.
Cette suggestion se voulant être une aide à la situation dans laquelle je me trouvais.
En effet, le lendemain le téléphone de l’atelier s'est agité aux cours des 30 premières minutes de la matinée. La secrétaire du Patron me demandant de passer le voir le plus tôt possible .....
Je me voyais déjà dormir bien au chaud sous une épaisse couverture.
Bonjour Monsieur ......,
Je viens d'être informé que vous dormez dans votre voiture dans l’enceinte du lycée.
Que vous choisissiez ce mode de vie vous regarde mais n'ayant aucunement envie d'être
traité d'antisocial par l'ensemble des personnes de ce lycée, je vous interdit à partir de ce jour de dormir dans le Lycée.
Vous irez dormir où bon vous semble, sur n'importe quel parking; MAIS PAS ICI !
Au revoir monsieur.
Mon cas n'est isolé. J'ai rencontré un collègue qui à dormi durant 4 années dans le gymnase de son établissement sur un tapis mousse de sol grâce à la complicité des Profs de Gym.
Je referme là, la parenthèse sur cet épisode. Ma vie de Prof en additionne beaucoup plus encore.
A 62 ans, je suis parti la mort dans l'âme. J'ai adoré les jeunes.
Ma fiche de paie indique la somme (en bas à droite, chiffre net) 1830 €.
Je suis titulaire d'un BAC + 3
Après la réussite du concours, j'ai encore fait une année d'université (IUFM) avant d'intégrer une classe.
Transmission du savoir ..... Un vaste sujet qui commence par les intervenants.