Mig bien dit, je me permets d'ajouter cette citation du grand maître charpentier Raoul VERGEZ :
Qui est le maître ?
Celui qui ne le sait pas.
Qui est le compagnon ?
Celui qui ne le dit pas.
Qui est l'apprenti ?
Tout le monde.
Peut être une idée de Boris
je viens d'ajouter les légendes si besoin je reviendrai sur le principe que j'emploie, merci pour tes commentaires et pour le lien
Sylvain,méthode du livre de Jean Martin qui correspond à ton commentaire.
Machine qui utilisait le même principe pour l'entaillage le chariot se déplace d'un pas à chaque marche,contremarche j'ai vu fonctionner ce type de machine sans l'avoir jamais utiliser (la photo provient d'une vente)
stefchrys
1- je trace une ligne sur le papier.
Sur cette ligne je reporte une division régulière qui correspond au pas à l'aide de la calculette avec une addition constante pas+pas+pas
2- je trace des triangles de base sur toute la longueur
3- je trace les marches balancées avec le relevé de l'épure (bande de papier) aux emplacements nécessaires en conservant les marches droites utiles
Merci de ton commentaire sympa FMJ
Le papier que j'utilise provient d'une papeterie, ce sont pour eux des chutes de rouleaux qui font de 50 cm à plus d'un mètre de large. Il peut rester plusieurs dizaines de mètres de long, il arrive qu'un bout soit défectueux, mais peu importe c'est pour recouper. Pour transférer les repères se sont des rouleaux de comptabilité récupèrés. Tu peux aussi utiliser une pige. Pour les épures de (luxe) j'achète du papier de traceur informatique, je réserve ça aux maquettes.
Pour les limons, les papiers sont collés avec de la colle UHU en prenant soin de le placer bien droit. Je trace la ligne de réference sur le bois et je fais des petites lumières dans le papier, afin d'aligner le papier dessus. Je maintiens le papier par le milieu avec une cale et une presse et j'étale la colle sur le bois de part et d'autre tout en collant le papier. Pour les poteaux je préfère reporter le tracé sur le bois, mais il est possible de coller aussi le papier, le collage est assez délicat sur les angles ( ne coller que les parties utiles)
Un pour toi et un pour Sylvain !!
Tu dis qu' une machine 5 axes peux usiner ces pièces courbes facilement et rapidement, c'est pas si évident que ça et c'est bien ,car il faudra toujours des professionnels capables de comprendre et de raisonner dans leurs têtes en 3D avec ou sans machine. Petites questions : le développement est fait à l'axe ? Pour le deuxième limon courbe, en ayant du 60 pour arriver en 148 de bloc capable tu colle sur la hauteur ou en épaisseur?
Je suivrai avec un grand intérêt ce travail ça va être du lourd!
j'ai souvent dit " bloc capable " ça représente le volume, "section capable" serait plutôt une coupe de ce volume.
C'est effectivement affaire de goût. Personnellement j'aime bien cette forme végétale qui s'enroule un peu comme une feuille. Toutes les courbes partent du sol ou l'escalier semble prendre racines.
executionbois il y a un peu de cette forme, mais en beaucoup plus stylisé. Et c'est une belle succession pour ton atelier !
Tu aurais fait deux gabarits simples, un pour les marches, un pour les contremarches ton problème d'arrondi disparaissait et de plus tu peux entailler les nez différents dans le balancement.
sylvainlefrancomtois ah ça c'est sûr !
Saint Obois prier pour nous pauvres menuisiers. Bienvenue à toi nyril
Qu'un logiciel reproduise une moulure, une corniche, une volute je veux bien, mais si tu fais une sculpture qui doit faire ressortir ton humeur, ta personnalité, laisse le logiciel de côté il ne fera pas ce que tu veux.