A vrai dire il n'y a rien à faire, j'ai pris une première photo pour la base ensuite une deuxième pour le style et la structure. Ensuite le bouton générer. Ça mouline trente secondes et on regarde ce qu'elle a pondu, j'ai trouvé ça pas mal. J'ai essayé avec mon portrait ça peut être vraiment surprenant
Il faut attraper le coup de main.
Vidéo de executionbois
Sylvain je te joins une méthode de calcul pour le balancement des marches par progression arithmétique qui est très proche de la tienne,(peut être la connais tu?) mais je la trouve plus simple. Je cite mes sources: Construction des escaliers en béton armé et des escaliers dits balancés de RAYMOND CHAISE. je joins un autre message pour la suite
La suite,modestement je pense avoir vu une petite erreur sur une page j'ai fait un scan de ta page et un autre de mon calcul suivant la méthode du livre les deux calculs arrivent pratiquement au même résultat .D'autre part je suis époustouflé par ton travail.
Bonne soirée
Les formes de ton escalier sont très élégantes tout en restant sobres .Avec la porte et la cloison qui font partie intégrante de l'escalier. Du grand art !! Et ce n'est que la deuxième étude pratique ça promet pour la suite !
j'en suis au tout premier balbutiement ,j'ai suivi un tuto pour faire une surface un volume.... pas grand chose...
J'aimerai appuyer sur coup de cœur à chaque article que tu publie, mais on a droit qu'à une fois, alors je le fait comme ça.
Tes explications sont très claires et tu fournis un travail énorme gratuitement pour transmettre un savoir, le dernier escalier que je viens de tracer j'ai pensé à la zone idéale de balancement suivant ta méthode, je ne la connaissait pas . Quant à corriger, j’apprends encore beaucoup de choses grâce à toi et grâce à ce site que je ne connaissait pas il y a 2 mois. J'ai encore des archives que je publierai, mais je n'ai que des explications partielles.
Quand le limon et la main courante sont des pièces distincts je n'appelais pas ça des noyaux débillardés je parlais de limon et de main courante débillardés ou courbes. Mais apparemment je suis dans l’erreur niveau appellation. Si tu peux éclairer ma lanterne...A part ça je lis toujours tes articles avec avec un grand intérêt !
Le principal est évidement d'arriver à faire l'ouvrage, c'est vrai qu’il y a des appellations locales à chaque entreprise et à chaque région. Merci de ta réponse.
Salut Sylvain,j'épluche toujours tes articles avec appétit !
Dans le résumé des normes peut-être pourrais tu ajouter la norme pour garde-corps constitués d'éléments horizontaux . J'ai trouvé ça sur ce document page 10 Normes
Je me souviens avoir eu en main un gabarit ayant la forme d'un pavé (schéma) , ce gabarit existe t'il encore? Je ne me souviens plus des dimensions. (sans doute voisin du gabarit actuel)
Toujours admiratif de ton travail !
Je viens de lire le dernier épisode , je ne connaissais pas la technique des plafonds en BA 10 , merci pour tout ce savoir. Il est vrai que les plafonds deviennent de plus en plus rares dans les constructions actuelles et c'est effectivement dommage ( temps et argent on en revient toujours à ça ...)
Que dire ? à part que tes articles sont parfaits et je m'aperçois que mes escaliers ne l'étaient pas toujours...parfaits!
Je viens de lire ton article, je suis dans mon trip, c'est clair net et précis (y'a plus qu'a!). Je vais poster un de mes tracé qui sera raccord avec ton article.
Tu fais des miracles avec sketchUp c'est d'un réalisme! Je suis toujours aussi fan de ton boulot. Le déroulement est très clair. Je souhaite que beaucoup de boiseux s'inspirent de ton traité pour réaliser un premier escalier.
Pour les mains courantes je les faisais comme toi sur le limon, alors que la théorie voudrai que l'on garde les 900 mm du nez au dessus de la main courante ce qui n'est pas toujours esthétique dans les parties balancées et surtout dans le cas de balustres tournés comme tu l'indique (les embases restent constantes). Et d'autre part cette méthode est pratique !
C'est toi qu'il faut remercier, je me contente de mettre mon grain de sel. Les deux procédés montrent la différence entre la théorie pure et la pratique (l’esthétique aussi car ce n'est pas toujours très facile à trouver au début .)
Encore un gros chapitre!
Ça fait très longtemps que je n'ai plus fait de chevillages à la tire , grâce à toi j'aurai appris que je les faisais à la mode charpentier ,je trouvais ça plus simple et plus rapide que le décalage à la menuisier.
Je viens de regarder rapidement tous tes dessins, maintenant je vais lire!
Plus tard les générations à venir pourrons dire en parlant d'escalier "J'ai vu ça dans le SYLVAIN " Et d'autre part tu devrais enlever petit devant traité. Chapeau pour ton travail!
Sylvain , d'une part j’aimerais savoir si j'ai tout bien compris sur la réduction des profils et d'autre part j'ai scanné la méthode du livre de Willibald Mannes (toit et charpentes en bois) Avec sa méthode il n'y a pas moyen d’utiliser des parties de profil entier vu que la déformation est progressive sur toute la longueur.
Dans ma vie professionnelle je n'ai participé qu'une seule fois à un escalier avec balustres chantournés , deux volées droites avec palier intermédiaire, j'ai eu a faire les pilastres qui avaient une section de 200/200 ils étaient assemblés à 45°avec des panneaux avec des têtes assez importantes, sur cet escalier je n' ai fait "que " les pilastres. Un collègue a fait les balustres sur une radiale avec des outils fabriqués pour l'occasion, heureusement que tous les balustres étaient réguliers! Pour cette raison: je découvre les amputations pour les rampants! ( Pour les doigts malheureusement ça fait longtemps!)
Je suis retourné voir ton escalier:c'est un modèle du genre!
Ta méthode en panneau doit effectivement gagner du temps et assure un usinage régulier de tous les balustres ce qui est aussi un plus. Le top!
Tu as du t'éclater avec du boulot pareil!
Pour la belle époque: il y a vraiment deux places ou j'ai eu du beau travail a faire en méthode traditionnelle et une bonne liberté d'action . Après j'ai connu la commande numérique c'était diffèrent.
Merci pour tes explications c'est un plaisir.
Mon travail sur commande numérique consistait à l'usinage, le programme était fait par un collègue avec 2 logiciels ( compass et alphaCAM , je ne connais que les noms pas l'utilisation) . Je m'occupais de la gestion des outils longueur diamètre emplacement.
Origine des différentes pièces. Le serrage était un point délicat surtout pour les mains courantes l’outil de moulure passe dessus et dessous. La machine va chercher l'outil sur un carrousel de 15 places , la machine se déplace au dessus de la table de 6 m. Pour les marches la machine travaillait à droite et à gauche sur 2 postes ( c'était rapide il fallait placer une marche d'un côté durant l'usinage de l'autre). C’était intéressant mais plus réellement le même métier.
Je viens de faire un zoom et j'ai mesuré sur le résultat pour pouvoir constater les différences suivantes:
Ton procédé est au top, le piédouche et le chapiteau sont conservés, la bague se déplace suivant la fuyante mais ne diminue pas d'épaisseur, le reste diminue suivant la perspective. Je trouve ça très esthétique et proportionné.
Tu fais un super travail de transmission de savoir et j’apprends beaucoup de choses avec ton traité ( Je ne connaissais pas le traçage avec des cales de devers). Aujourd'hui j' ai regardé les premières planches du Jamin qui traite des plafonds rampants. J'ai toujours l'impression de débuter un peu quand je vois toute cette somme de savoir!
jeanco77 tout pareil que Sylvain, seulement une petite différence je suis adepte des fixations mécaniques c'est à dire insert au fond de l'entaille de marche et tige filetée avec chapelle dans la marche de cette façon le serre joint est inclus dans l’escalier (seul bémol de la solution: on voit des bouchons en sous face.) Pour tes entailles tu peux peut-être refaire deux marches en fonction de tes entailles et faire le reste comme tu as prévu au départ avec ton nouveau gabarit.
Sylvain , merci pour l'homme ... pas tout jeune!
jeanco77 une photo ( tu trouves ça chez Berner ou chez Würth )
C'est top, je viens de voir que tu as complété ton chapitre par la déformation d'éléments assemblés.
Sur un de tes dessins j'ai eu une hésitation.
D'autre part, merci, je viens de voir que tu as référencé mon épure .
Bon week-end à toi aussi
Je connaissais le principe de garde corps à bas coût pour l'avoir pratiqué quelques fois mais je ne savais pas que je travaillais à l’Américaine. Je viens de parcourir rapidement ton nouvel article: toujours énormément de détails très enrichissants! Je vais lire tout ça attentivement. Je publie un garde corps qui cadre avec ton article (j'ai peu de photos).
Grace à toi il ne restera aucune ombre sur les escaliers dans la tête des boiseux présents sur ce site!
Vu le nombre de visites nombreux sont ceux qui s’intéressent à ton traité!
Après cette saine lecture du dimanche matin. Chapeau, comme toujours tout est décortiqué. Je constate aussi qu'en pratique dans la plupart des cas beaucoup d'étapes sont escamotées dans un but de rentabilité pas forcément dans un but de pérennité. Au cours de mes différentes étapes j'ai eu maintes fois le débat du montage à blanc de l'escalier avant la pose ou non. Je l'ai toujours fait malgré les oppositions ( Tu n'es pas sûr de ton travail? Couramment entendu! ) Encore une fois tu fais un super boulot!
Il est vrai que le montage de l'échiffre reste un moment délicat et qu'un léger jeu aux assemblages rend un énorme service pour faire joindre tous les balustres. C'est pour cette raison que le tenon avec épaulements a toujours eu ma préférence sur les tourillons ou dominos qui donne une position unique. La remarque sur la colle aussi est très importante , mieux vaut qu'elle ne déborde pas!
Toujours aussi intéressant!
J'utilisai de la résorcine, dans le cas du gros quart de cercle j'ai relevé (Tempolite RL 1150, composition Formol+alcool furfurylique).
Dans tous les cas la colle se présente sous la forme d'un liquide brun jaunâtre et le durcisseur en poudre dosé à 20%. Après séchage le joint reste brun bien visible et la colle très dure et coupante, avant usinage je ponçai grossièrement les bavures de colle en travers avec un grain 60 pour éviter les coupures lors des manipulations, au démoulage l'utilisation de gants est souhaitable. Il existe certainement d'autres colles que je ne connais pas non plus.
Je n'ai pas trop le temps de lire ton nouvel article en ce moment, mais comme toujours un gros travail de ta part ,beaucoup de détails de passion. Je lis tout en fin de semaine, je ne loupe rien!
Une autre méthode d'entaillage pour les stylobates qui évite le contre profilage des nez particulièrement quand il sont moulurés et d'autre part c'est une facilité pour le serrage. Évidement le sciage doit être exécuté avec soin pour que le stylobate descende en force mais pas trop. Je pense que tu connais cette méthode et j'aimerais savoir ce que tu en pense. Si le deuxième tome est aussi fourni , un régal!
Sylvain as tu vu les articles concernant etiennedesthuilliers ? :menuisier charpentier et :rampiste Bravo à Monsieur Desthuilliers, je suis admiratif d'un tel parcours et d'un tel savoir!
Avec plaisir, pour l'instant je suis à l'arrêt sur l'escalier double révolution (d'autres occupations) mais je n'abandonne pas. J'ai tout de même adopté un rythme retraité...
En lisant ce chapitre j'ai rajeuni de quelques années, j'ai suivi exactement ce cours et le dernier dessin: c'est une porte, un palier, c'est le moment où ça fait tilt! Après le sujet est inépuisable!
Je ne connaissais pas le terme cherche rallongé, par curiosité j'ai fait une recherche et je suis tomber sur une belle surprise: [superbe entreprise avec charpente à la Philibert Delorme] il y a de beaux escaliers aussi (lechercherallo...tier/charpente/)
Pour ceux qui aime les maths et en adéquation avec ton article, je donne le lien de la sinusoïde cylindre tronqué
Voilà ce que j'ai compris sur la "normale".
Si ne suis pas dans le juste je ne demande qu'a être corrigé.
Bon si on voit les deux la même chose c'est encourageant.Définition de la normale Je suis bien incapable de faire ce calcul, mais ça donne une idée.
Je recommence le lien voilà
comme aujourd’hui j'ai eu changement de programme je n’avais rien à faire donc un petit dessin! Dis moi ce que tu en pense, si c'est lisible et surtout si c'est juste!
Encore une démonstration magistrale et un travail énorme. Ton cours est très clair, mais comme tu le dis pour ceux qui découvrent ne surtout pas brûler les étapes, bien assimiler un chapitre avant de passer au suivant. C'est comme les maths. Tu es une chance pour l'air du bois. Avis d'un addicte !
Principe du raccord de main courante développé dans le livre de Jean Martin (la ligne intérieure se développe dans un seul plan). J'ai photocopié le livre et j'ai fait une mise en situation. Pour le novice le plus étonnant: avec un développement courbe on obtient une fois mis en place un seul plan sans bosse!
Toujours aussi passionnant (finalement ça me change de mes tracas). Encore un beau chapitre, c'est clair, précis...
essais de retour à la normale (dans tous les sens du terme)
j'ai fait une vue en plan de mon croquis en tenant compte de l'équerrage à la normale.
1- vue en plan classique, ici se sera le dessous de la main courante.
2-élévations de chaque partie.
3-traçage des tangentes extérieures et intérieures.
4-épaisseur de le main courante sur l'élévation.
5-détermination de la section sur l'élévation.
6-descente de la section sur la vue en plan.
7-traçage du dessus de la main courante sur la vue en plan en faisant la jonction des sections trouvées (en rouge).
le dessus n'est plus à l'aplomb du dessous.
Merci Nico dès mon plus jeune age je me suis toujours appliqué à ne pas dépasser dans mes coloriages!
Merci Sylvain, je vais essayer de faire l'élévation d'une seule pièce en partant des sections ainsi trouvées (dis moi si je me trompe: ça va être du croche irrégulier?)
Voici l'élévation, je pense quelle est correcte en tout cas elle a une bonne gueule.
j'ai tracé le bas classiquement.
j'ai fait le haut avec la vue des sections en plan et en prenant les altitudes sur les différentes sections.
Les calibres maintenant!
La suite: j'ai déterminé les sections verticales a a' et h h'sur l’élévation pour trouver le dévers. J'ai tracé le volume capable sur l'élévation . J'ai redescendu les points de dévers qui coupent les plans du volume capable sur la vue en plan x x' et z z'. Pour la coupe au centre j'ai fait une vue à part.
Maintenant j'ai tous les points pour tracer les calibres.
J'espère être clair et "avoir bon" qu'en pense tu ? En tout cas ça fait un peu fumer les neurones !
Mon étude est finalement à contre courant puisque monsieur Desthuilliers a eu la démarche inverse afin de se passer d'épure, mais ça me piquai de trouver sa méthode en épure étant donné qu'aucun livre ne la présente (faut être tordu!) Quand j'aurai fini l'ensemble avec les calibres je pense mettre mon épure en pas à pas en citant le maître, j'aurai ainsi sa réaction.
Tu nous fait les mains courantes de la Ferté en maquette ça va être top!!
niconathy fait gaffe c'est de la drogue!
Merci, c'est toujours un plaisir d'échanger avec toi et ce que tu obtiens avec du carton plume c'est exceptionnel.
Tu as accompli un véritable exploit, surtout à une échelle aussi petite, je suis toujours aussi admiratif de ton travail!
Que tout ceux qui regardent en prennent plein les yeux! Et un jour tu verras fleurir plein de petites maquettes!
Merci Boris, Boris Beaulant
d'avoir activé à nouveau les commentaires pour toutes les personnes qui viennent consulter ce travail magistral
La main-courante en débillardé est certainement la partie la plus délicate "ingrate".
Beaucoup pourront te faire remarquer qu'il y a "des bosses".
Beaucoup moins nombreux seront ceux qui t'expliquerons comment les éviter.
J'ai fait un pas à pas ici sur l'initiation à la courbe, tu y trouveras de nombreuses références de livres, de pas à pas…
Le plus difficile est certainement de voir la pièce finale avant de commencer.
Je n'ai pas vraiment compris ta méthode, aurais-tu des photos de l'épure et du déroulement ?