JPLegno 

J'en ai vu là lejeunefreres....et-ameublement/
Mais je n'ai pas encore eu l'occasion d'avoir affaire à eux.

Il me semble me souvenir que le vinaigre d'alcool peut avoir quelque effet ...

Je dirais les offrir ou les vendre en l'état à qui en aurait besoin. Mais je ne dis pas ça parce que je suis intéressé. hein ! Je n'en ai pas besoin.

J’en ai acheté, à mon sens, elles sont de très bonne qualité, rien à redire.
Par rapport à des fraises que j'utilise et plus anciennes qui étaient dans le milieu de gamme, elles sont très bien.
Mais je n'ai pas de CMT par exemple pour comparer.

A mon avis, il y a bien-sûr le commerce et le marketing, mais surtout il faut penser qu'au début de la fabrication des premières machines (fin XIXe - début XXe s) les marchés n'étaient autant inter- connectés et le constructeurs sont partis sur des logiques techniques différentes.
Cela dépend sans doute aussi des habitudes de travail à la main au moment où ont été conçues les machines.
Là où il y a une philosophie vraiment différente parce que l'approche du travail du bois est très différente c'est en Asie, au Japon particulièrement.
Rabot et scie qu'on tire au lieu de pousser, travail au sol...Voir par exemple les vidéos qui montrent cette raboteuse de finition dont le fer est immobile et c'est le bois qui est entraîné.
Sujet intéressant.

Bonjour,
une hypothèse à vérifier : à l'époque où j'avais une Lurem 26 plus, lorsque la chaine était détendue et frottait un peu sur le haut de l’arbre de la raboteuse, c'était que les bagues de friction des rouleaux entraineurs étaient usées, et ainsi l’écartement des roues dentées était réduit.
Je ne sais pas si sur la C20 ce sont des bagues ou des roulements, mais ce serait à voir (?)

Je ne voudrais pas passer pour le casse-pied de l'orthographe, mais il faudrait rajouter un «t» pour parler de bitte d'amarrage, cela éviterait les méprises...

Bonjour, dans mes souvenirs, il faut démonter la chaine (il y a un maillon prévu pour cela, comme sur les vélos) et ensuite, dans la partie creuse entre les deux parties dentées, il faut enlever la goupille qui traverse l’axe, avec un chasse goupille.

Il y a aussi les limes Vallorbe vendues chez Gaignard Millon par exemple.

Il me semble que le plus simple serait de fixer des montants sur l’encadrement de la baie pour retrouver un support continu sur toute la hauteur. Ensuite la question des charnières se simplifie.
Par contre, ça fait perdre un peu de largeur de passage...

Et les charnières ou paumelles coudées de la sorte : quincaillerie-...ge-90-j532.html ?

Et avec un tournevis plat et assez long en utilisant les crans dans la base du pied ?

Oui, c’est 16mm, mais il doit y avoir une seconde bague (appelée «douille» dans la doc) qui permet de prendre des bédanes de 19mm.
Il faut mesurer le diamètre intérieur de la bague.
Pour d’autres infos, voir là :

Se peut-il qu'il s'agisse d'un porte droite, c'est à dire sans chantournements ?

J'ai des forets Tivoly qui me satisfont pour le métal.
Et leurs mèches à bois en forme de foret et avec une pointe de centrage sont redoutables.
diy.ecata.tivo...407/10864070001

Je ferais pareil, ça marche bien ce système. Selon le poids des portes bien sûr. Sur le lien que tu as mis il y en a pour des portes jusqu’à 30kg, ça laisse de la marge, non ?