«Oak Celui là ne pousse plus... depuis très longtemps», j’ai cru que ça faisait référence au bois recherché...
Ben oui, personne n’est obligé à rien. Chacun est bien libre d’utiliser les outils qu’il juge les plus adaptés à chaque projet. Ça n'empêche pas de donner des pistes pour répondre à des questions.
Kentaro Si ça peut te rassurer, il y a même des projets fabrications pour lesquels je ne fais pas de croquis du tout. Joff avait l’air de s’excuser de ne pas avoir un logiciel de dessin 3D : on lui a donné une piste pour répondre à un éventuel besoin. «Tu peux» est différent de «il faut».
Quant au terme de projet, il n’a pas que des connotations managériales : lexicographie chaque époque valorise son vocabulaire, il faudrait faire la chasse aussi à «acter», «problématique», et j‘en passe...
C’est vrai que les «franglicismes» sont souvent risibles parce qu’ils dénotent des lacunes dans le vocabulaire en français ou qu’ils veulent montrer qu’il ont un «vrai métier», avec de «vraies compétences». Ce qui me gène plus c’est lorsque le vocabulaire est utilisé pour manipuler la pensée, notamment en politique : les problèmes sont par exemple devenus de «sujets».
Mais ce n‘est pas le lieu pour ce genre de débat, et c’est tant mieux...
Je ne sais pas si ça peut vous aider, mais une réflexion sur les sujet et un travail existent là : Forum Copain des copeaux
Et récemment il y a eu le Le Rhinocrétaire II de François-Xavier Lalanne : Rhinocrétaire
Si ça peut relancer cette chaîne qui le mérite bien à mon avis...
Salut,
il me semble surtout pour les charnières que les amortisseurs ne sont pas compatibles avec les Push-to-open parce qu’il faut pousser la porte pour réarmer le système «push» ; donc ça obligerait à forcer sur l’amortisseur. C’était en tout cas comme ça chez Blum quand j’en avais installé chez moi.
Bonjour,
une question : tu règles tes fers, mais c’est par rapport à la table de sortie que tu règles ensuite, non ? C’est peut-être là qu’est l’os…
Je ne suis pas mécano, mais pour avoir fait ça souvent sur une Lurem 26+…, je ferais :
-réglage de la table de sortie par rapport à l’arbre porte-fers (1mm +/-au dessus de l’arbre) (c’est ce que j’ai sur ma génius26) comme tu as fait
-vérifier qu’elle est parallèle (voire sur le même plan que la table de scie.)
-réglage de la table d’entrée par rapport à celle de sortie
-réglage des fers
-vérification et éventuellement réglage de la table de rabotage (par essais de rabotage)
Voilà, si ça peut aider...
Et régler le point pivot qui ne joue pas sur la longueur avant le côté manette ? (mais je suppose que tu as déjà essayé…)
Ben, d’abord la vis que tu appelles «liaison ponctuelle» de façon qu’elle mette la table d’entrée côté scie à hauteur de la table de sortie. Mais je ne connais pas ta machine, je ne suis sûr de rien, hein...
"glissières en quête d'abonnement" : je me demande si ce n'est pas un problème de saisie automatique..."glissière en queue d'aronde" peut-être ?
Sinon, je n'ai peut-être pas tout compris à ton projet, mais pourquoi ne pas faire simplement un "bloc" et d'y placer le tiroir à l'intérieur (comme sur ton image en fait), mais sans coulisse mécanique ; le coulissement peut se faire simplement bois sur bois avec les côtés du tiroir qui glisseraient sur des languettes d'usure de 2/3 mm fixées sur la planche basse du bloc.
Pour répondre à la question de départ, pour savoir si le bois est à l'hygrométrie de la pièce, on peut placer les bois dans la pièce dont un raboté, puis mesurer en 3 différents endroits au pied à coulisse l'épaisseur et sa largeur chaque jour.
C'est empirique, pas parfait, mais ça fonctionne.
Quand ça se stabilise, c'est bon. Sur du bois coupé depuis plusieurs années et stockés dehors, il faut guère qu'une quinzaine pour des épaisseurs de +/- 20mm. (le faire aussi avec les plus grosses sections).
On peut même se faire un joli graphique avec un tableur...
C’est pour le doute sur les placages que tu dis ça ?
J’avais un doute sur les placages de grandes dimensions.
CH...+bois très sombre+pas poussé depuis longtemps+noyé ,ça m‘a rappelé un coutelier qui utilise ce bois pour ses manches de couteaux.