
tu places le tourillon dans ta perceuse à colonne, et tu descends pour pouvoir le coincer dans l'étau. Tu dévisses ta foreuse, et la remonte. Puis tu places la mèche dans ta foreuse et tu fores le tourillon. Comme il a été bloqué dans l'étau en étant centré par la foreuse, ta mèche doit trouver également le centre du tourillon

D'expérience également, c'est bien vrai qu'il y a beaucoup plus de trous que nécessaire. Pour moi, le système 32 est un système avant industriel, réalisé via commande numérique.
Dans les derniers placards réalisés, je n'ai plus fait que des séries de 3 trous à hauteur estimée des planches pour pouvoir les monter ou les descendre un peu

Pour la part, j'ai l'impression que, puisque l'air est dévié assez brusquement de son mouvement naturel (l'air chaud monte), sa vitesse de déplacement diminue; c'est le même principe quand dans les tuyaux de ventilation ou d'aspiration, où on essaie de ne pas avoir d'angles 'brusques'.
Pour le reste, difficile de mesurer la perte d'efficacité sans une étude en laboratoire...

Celle que j'avais sur mon camping-car (traduction pour la France : tente sur remorque) avait 4 pieds réglables et 2 poignées, ce qui permettait de la déplacer où on voulait dans la tente. Elle était posée sur des longerons mobiles horizontaux en bout de remorque, avec un prise pour tout l'éclairage.

Bonjour, il faut également prendre en compte le coût régulier des éventuels produits de protection pour du bois placé à l'extérieur. Il y a quelques années, j'ai décidé de remplacer la clôture brise-vue d'une école par des planches en composite, tellement le coût d'entretien était élevé (produit + personnel)
j'ai un support de perceuse du genre joint. Largement suffisant et précis pour percer perpendiculairement. Quand c'est au milieu d'un panneau, je mets un poids sur le plateau, et je fais pivoter la colonne pour pouvoir percer en dehors du plateau. Quand je dois percer sur la tranche, je le fixe horizontalement sur un côté d'établi, et je pose mon panneau sur l'établi.