Bonjour, le résultat est très chouette. Félicitations.
Des petites remarques pour aider (je l'espère) :
Si tu fait le corroyage de pièces et que tu ne les utilise pas tout de suite il faut les contraindre. Le mieux c'est de les presser sous cales et sere-joints sur un établi. Bien sûr, on doit vite disposer de 200 m2 d'atelier et plusieurs établis ... Par contre, avec du scotch de masquage de peintre large, si tu fais de paquets en serrant bien tes pièces, ça peut s'avérer suffisant. Les déformations d'une pièce sont balancées par celles des autres.
Lorsque tu serres tes assemblages, pense à 2 choses : Mettre tes serre joints dans le même sens; Ca fait gagner de la place. Et surtout, bien les positionner dans l'axe des pièces à serrer, et avec des cales de serrage pour répartir l'effort et ne pas abîmer tes pièces toutes neuves. Bon, ça fait trois choses en fait :)
Et merci pour le partage.
Jean.
Bonjour,
Si vous voulez sécuriser la barrière, il faut mettre un aimant type porte de placard, mais avec une force de 25 KG. Ma femme est assistante maternelle et ce système a été approuvé par le contrôle départementale. Les adultes peuvent ouvrir sans problème, les enfants ne peuvent pas avant d'avoir l'age de prendre les escaliers seuls. Ca marche aussi très bien pour les portes ordinaires (type descente de cave ...)
Sinon elle est très belle cette barrière
Original et apaisante comme idée. ça m'a fait penser à cette vidéo de la chaine PAJU. Comme quoi le vélo mène à tout, y compris pas forcement quelque part, c'est le trajet qui compte.
youtube.com/wa...h?v=UbOGRS_rS-E
Du travail dans l'excellence.
Allez tous voir le site et surtout le lien de l'atelier partagé. Enfin des femmes dans le bâtiment et ça fait du bien. Mes élèves sont à 99.9 % des "mâles" et lutter contre les préjugés sexiste au quotidien relève du supplice de Sisyphe. Vous toutes faites progresser les esprits de la meilleure des manières : l'exemple et la qualité de vos réalisations. Tout le projet respire la sérénité , alors simplement merci.
Félicitations.
Amadeus41 , bonjour. Chez ce quincailler : trenois.com/catalogue/requete
ce sont des charnières invisibles à percer de chez hettich.
Merci pour les commentaires.
Le bras n'est pas réduit dans les deux sens. Il "perd" de l'épaisseur vers le bout mais il garde la même largeur tout du long. Le but est de l'alléger pour profiter de l'effet de levier avec le contrepoids.
Pour l'éjection du "boulet" (balle de tennis ici), on a fait au moins mille tirs et ça a toujours marché sans problème. C'est le système de crochet au bout de la poche qui fait que le boulet est éjecté. Un des côtés de la poche se détache et la balle part en tir parabolique.
Le poids de cette version n'est pas suffisant pour donner une inertie qu'il faille arrêter par des systèmes de cordes de rappel compliqués. Par contre si on veut faire taille réelle (genre 15 mètres de haut et donc plusieurs tonnes de matériel je dis pas...
Bonjour Ninja rouge,
Je suis allé voir la page wiki dont tu parles. 2 remarques:
1- Les cordes avec le palan situées sous le bras lanceur servent à armer l'engin. Dans les versions taille réelle, le contrepoids faisant plusieurs tonnes il fallait évidemment un système de renvoi pour pouvoir faire descendre le bras en position basse. Je suis certain qu'elles ne servaient pas à retenir le bras. Il faut que la force soit entièrement libérée au bout du bras lanceur pour être efficace, et en plus il y a une telle énergie à retenir si on le veut que quelques cordes en chanvre à l'époque auraient sans doute explosé.
2- Si tu te documentes, fais attention parce que les anciennes gravures d'époque sont très souvent inexactes. Les architectes et les constructeurs introduisaient exprès des erreurs dans les plans pour éviter l'espionnage militaire à l'époque. C'est pour ça que les reconstitutions actuelles fonctionnelles sont faites par des archéologues ou des spécialistes très pointus qui doivent refaire les calculs de A à Z la plupart du temps.
Sinon, bon à savoir tiré du blog ferdelance.be
"le trébuchet
Utilisée du XIIe jusqu'au XVIe siècle, il a une portée de 220 m. Lance des boulet de 150kg toutes les heures. Plus de 100 servants de pièce!!!
Son nom vient de l’occitan "trebuca", qui apporte des ennuis et par dérision, le trébuchet, nom donné a la balance de précision des orfèvres. Il nous reste le verbe "trébucher", tomber, faire tomber. Il a un contrepoids mobile. Ce contrepoids est donc toujours dans la même position verticale. Cela lui donne précision de tir et longévité. De plus sa résistance avec peu de choc lui permet de prendre des mesure gigantesques. Les plus grand connu atteignent les 16 mètres de haut."
Donc : Un ou deux tirs à l'heure max pour environ une centaine de servants qui s'activent autour (autant dire rien du tout). Peut être une solution pour réduire le chômage ? :)
Bonjour,
Belle machine ! Les élèves de CE2 avec qui j'ai fait le projet auraient été un peu dépassés pour la construction je pense, et on avait pas de coefficient de perte (les parents d'élèves on été très pointilleux là dessus..)
Bonjour David39, ravi que tu ai pu te servir des plans. Quelles modifs a tu apporté ?
Si tu as des photos je suis très intéressé, parce que moi je n'avais pas pensé à en faire lors du projet.
C'est un projet fait avec tes élèves de quel niveau ? J'enseigne en EREA avec des élèves comme les tiens : Le retour d'expérience m'intéresse grandement (difficultés et points forts)
Bonjour,
Désolé pour ma réponse très tardive.
Alors, les balles de tennis que nous avons utilisées comme projectiles allaient à environ 15 mètres. Pour faire un chamboule tout c'est très bien.
quand le bras est armé, la fronde est placée au bout de la rigole ce qui te donne la longueur de ficelle. Tu peux faire des essais pour tester, mais perso je me suis contenté de cette solution.
Cordialement,
Jean
Je parie pour "diantre", ou bien "Ah bah ZUT alors !!"
J'ai bon ?
Sinon, le résultat vaut bien la peine. C'est très propre.