Merci SebRecup ! Merci pour la rapidité et la précision de la réponse. Je vais creuser la piste suggérée.
Merci Oak ! C'est la réponse à laquelle je m'attendais. Je ne vois d'ailleurs pas comment j'aurais pu prévenir ce genre d'ennui. De toute façon, une nappe cache bien des misères.
Merci encore
Bonjour,
Votre idée de commencer par les bases vient à point nommé. Elle remet en perspective tous les petits films de menuiserie publiés sur YouTube, qui nous font souvent prendre de très mauvaises habitudes ou sont incompréhensibles pour qui n'est pas du métier. Comme tous mes prédécesseurs dans les commentaires, je vous en suis très reconnaissant.
Réflexion entendue voici bien longtemps, de la bouche d'un informaticien :
« Entre
Ce que je pense
Ce que je voudrais écrire
Ce que j’arrive à mettre sur écran (le contenu)
La façon dont je l’écris (le style)
Et
La façon dont les autres me lisent
Ce qu’ils pensent comprendre
Ce qu’ils comprennent réellement
Ce qu’ils en pensent
Ce qu’ils ressentent
Il y a au moins neuf risques de malentendus »
Il faut quelque temps pour s’en rendre compte, et plus encore pour s’y habituer, quand on y arrive.
C’est le lot de tous les auteurs, et sans doute de tous les humains.
Tempérer , nuancer, amender n’est pas détruire.
Courage, Borisi ! Si nous n’étions pas avec toi, nous ne prendrions même pas la peine de te dire notre avis.
Merci à tous pour le soin apporté à vos réponses et l'esprit critique qui les caractérise.
J'ai ôté au couteau à enduit et avec une fraise à bois tout ce qui pouvait l'être, ce qui fait vraiment beaucoup, davantage encore que ce que montrent les photos.
La cause est simple : la firme qui a placé la véranda n'était regardante ni sur la qualité du bois ni sur son traitement (je doute qu'il ait été hydrofugé ou choisi pour sa résistance à l'eau) ; le reste de la structure semble en bon état.
Je poursuis le débridement des zones de gangrène, j'aère, j'empêche autant que possible le contact entre bois et pluie, je me renseigne sur les pistes que vous m'avez ouvertes... et je croise les doigts.
Ta réponse est le bon sens même. Je pense à une solution mixte : remplacer le bois trop abimé par un bois de classe 4 et combler les trous de petite dimension par de la résine époxy. Tout cela va me demander une solide réflexion avant de me lancer mais je n'ai plus le choix. Heureusment les structures portantes senmblent indemnes. Je vais de toute façon inspecter toute la structure avec un humidimètre. La suite au prochain épisode.
Ton observation est tout à fait judicieuse. C'est en effet une des anomalies - cachées - relevées dans la construction. Je compte mettre un bourrage en mousse qui sera collé avec du silicone.
Pour l'humidimètre, j'attends de le recevoir ; il s'agit d'un appareil de milieu de gamme (~70 Euro), ce qui me donne quelque garantie. Un appareil plus élaboré coûte beaucoup plus cher (> 200 Euro), ce qui est excessif quand on n'est pas un professionnel.
Si j'arrive à assainir la construction, je ferai part de la marche suivie. Sinon...
Merci
Merci graeme ! C'est la solution que j'ai choisie pour le moment, sans beaucoup d'illusions. Merci encore
Merci Bricolo36 ! Et non le plan n'est pas dans le couvercle du boîtier mais votre suggestion est intéressante. J'y pense.
Merci Smaug ! Votre réponse est très circonstanciée et me permet d'aller plus loin. Merci encore
Et en outre, il fait comprendre à celles et ceux qui les regardent de haut, qu'il faut beaucoup d'intelligence, de courage et d'humilité pour affronter la matière comme le font beaucoup de travailleurs dit manuels.
Vous avez raison : c'est vrai aussi, "en même temps" comme aime à le dire votre président. On envisage une reconversion d'un coeur plus léger quand on s'adosse à un gros matelas de billets, mais on se casse aussi les dents, et bien plus qu'on ne le dit.
Le truc "retour aux sources", "retour à la nature", "contact avec la nature, la matière", "épanouissement personnel"..., très peu pour moi. Les échardes dans les mains, la sciure plein le nez, les mains dans le cambouis, les mille et une petites écorchures, un projet qui tourne en eau de boudin après des jours de travail n'ont rien d'épanouissant.
J'ai proposé ce livre parce qu'il revient sur le bien-fondé de la distinction "col bleu, col blanc", ou "travail manuel - travail intellectuel" ou aussi "tâches de conception - tâches d'exécution" qu'a imposé l'industrialisation.
Ceci dit, le monde tel qu'il va aujourd'hui n'a pas de quoi réjouir. Il est même à bien des égards franchement lugubre.
Merci Jean Galmot ! Pitêt' mais j'aimerais en être certain.
Merci Jean Galmot ! A ma connaissance il n'y a pas eu de tourneur dans les artisans du bois de la famille mais les échanges et les récupérations sont toujours possibles et qui ne rêve pas de posséder un bel outil, même sans en avoir un usage immédiat ?
Merci Peuch ! Et oui, à quoi ? C'est bien la question que je me pose... et d'autres avec moi si j'en juge d'après les réponses (on ne s'ennuie pas).
Merci goldfinger ! Très bonne réponse. Je vous donne davantage d'info quand j'en saurai davantage.
Merci Neiru !Merci pour la réponse et pour l'humour. Cray déconseille d'acheter et de restaurer un rabot de seconde main, pour qui n'a pas l'expérience des rabots. Je prends le temps de me retourner, en prenant votre avis en considération. Merci encore.