je crois que c'est la première fois que je vois le mot "thuriféraire" employé au sens propre dans une conversation!
malin! et très réussi
quelques pistes évoquées ici
c'est encore un autre type de solution: s'orienter vers un atelier moins gourmand en machines. Une Dégau/rabot, une scie à ruban, pourquoi pas une perceuse à colonne ou une scie radiale. Ça reste des machines faciles à déplacer, peu encombrantes et avec tout ça tu fais absolument tout ce que tu veux en massif. (tu peux même faire sans machine, mais faut vouloir...) Après, si tu veux faire du panneau... Une idée de lecture: "the minimalist woodworker" de Vic Tesolin (un gars de chez Veritas). Orienté "outils à mains" mais avec quelques machines.
La descente est moins critique: posé sur un montage de chevrons (plutôt des bastaings, dans ton cas). Un levier, tu enlèves un chevron à la fois, d'un côté puis de l'autre, jusqu'au sol... Mais 1m, ça fait quand même haut. La baie reste reste la meilleure solution. Peut-être continuer quand même un peu à chercher dans cette direction (= trouver une solution d'habillage extérieur pour ne pas avoir à refaire la façade; calculer le cout de revient par rapport aux économies faites sur un projet d'aménagement bois...)
Belle bête. Tu peux encore l'améliorer: ajouter une potence pour suspendre une boîte de conserve percée. Avant d'aiguiser, tu mets de l'eau qui s'écoule gentiment. Tu as besoin de moins d'eau et tu peux évacuer l'eau en continu pour éviter d'avoir de la pierre qui trempe. Je crois qu'il y a eu une question sur le sujet...
Puisque c'est le festival des "trucs de sciage", encore un: quand tu pars de travers, arrête de scier. (c'est le meilleur conseil qu'on m'ait donné)
waouw super! j'avais vu la vidéo de Roy H et ça me trotte dans la tête depuis... tu peux nous montrer la scie à guichet? c'est le début de la découpe qui m'intrigue le plus...
ça y est, tu m'as convaincu d'essayer la boite à recaler ;)
joli boite. La prochaine en QA avec coupes d'onglet?
ben dis donc, quant tu lestes un établi, t'y vas pas de main morte!
bon courage pour la suite
Difficile, de toute façon, d'inventer une nouvelle technique dans un art manuel millénaire...
oui, mais pas pour son usage initial: je ne m'étais pas rendu compte que c'était uniquement pour faire des plates bandes, et j'avais été déçu de ne pas pouvoir aller au fond de ma feuillure. J'avais fini au guillaume:
servimg.com/view/19870961/21
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Effectivement, le profil qui n'est pas à 90 change tout. La joue mobile aussi en fait (dans les feuillerets à plates-bandes c'est une pièce plate rapportée sur la semelle avec deux vis). Je serais curieux de le voir en action.
Peut-être peux-tu envisager de bâtir une sorte de placard? Ce sera toujours ça de pris.
J'en ai un couvert et l'autre non couvert. Comme dit Folgansky , faut juste voir ce qui se passe à l'intérieur. Tu dois avoir du copeau en quantité, c'est parfait pour compenser un trop gros apport de vert (après une tonte) ou d'humidité.
Voilà un objet pratique qui permet de faire un bon exercice de taille: ça devrait donner des idées à José Das Neves pour ses cours!
On peut faire des wastringues avec un fer classique. Comme ici par exemple:
L'équivalent japonais du wastringue, dont le nom m'échappe, est fait avec un fer plat coincé. En fait, ce n'est jamais qu'un rabot qu'on tient par les côtés.