Faux cadre avec des baguettes profilées collées. Ça se faisait pas mal dans les années 50-60 (souvent porte blanche avec baguettes peintes de la même couleur que le papier-peint fleuri!). Ça imite de façon plus ou moins lointaine un grand cadre.
Si les paumelles peuvent supporter le poids, on peut même imaginer de rapporter le cadre d'une porte avec chapeau de gendarme, ou tarabiscotée chinée. Si le client aime la chine, il doit bien pouvoir finir un meuble à transformer!
Non, il faut voir à l'usage. Si t'es musclé des doigts, un épais t'ira peut-être mieux. D'autres préfèrent les fins... Perso: j'aime les épais mais pas gros, plus facile à courber! Le mieux reste de se les tailler dans une vieille scie: tu te fais plusieurs cintres... Des racloirs, j'en ai hérité d'une douzaine minimum. Je ne prends jamais le même ou presque! Il y en a toujours un affuté et qui va bien pour ce que je veux finir...
La refente était mon objectif 1 quand j'ai acheté ma scie à ruban. Comme je n'y connais rien, j'ai simplement expliqué mes besoins au vendeur qui m'a conseillé sur le modèle de scie et les lames. Si tu n'es pas en contact avec ton vendeur, trouve un affûteur dans ton coin.
Tu connais la longueur de ruban, la largeur max est spécifiée par le constructeur, reste plus qu'à se faire conseiller sur le pas.
Je dirais également merisier, pour les qualités par racmterrof , mais aussi tout simplement parce que tu en trouveras plus facilement que d'autres fruitiers (et pour moins cher)
Plus c'est grand et plus c'est facile d'un point de vue précision, mais c'est aussi plus physique.
J'avais fait une table inspirée de celle de Schwartz.
Un copain outillé m'avait précorroyé les pièces, mais j'ai tout mis aux cotes finales et fait les assemblages à la main.
Ce que j'appelle coulisseau, c'est les traverses qui reçoivent les mortaises (dans lesquelles viennent les pieds). Je les ai d'abord profilé au rabot. Puis je les ai utilisé comme guide pour entailler la rainure en QA.
J'avais galéré parce que les coulisseaux n'étaient pas gainé. Depuis, je gaine (enfin, je l'ai refait qu'une fois!)
Reporter une pente, c'est pas sorcier. On s'applique au traçage. Et on descend doucement au rabot ou à la scie jusqu'au trait. Le seul truc, c'est de prendre de la marge en ayant un coulisseau plus long que nécessaire.
Horreur, du bois tout tordu, non traité et sans platines inox sur plot béton!!!! ;)
Blague à part, il y a pas grand chose de plus beau qu'une belle charpente piquée main...