Salut,
Super de voir quelqu'un se lancer !
J'ai suivi un parcours équivalent et je me suis posé les mêmes questions sur les étapes 3 et 4.
J'ai fait le choix de sauter l'étape 3, mais avec le recul, c'était une erreur.
Mon entreprise a tenu 2 ans, et puis il a fallu fermer.
En prenant plus de temps, et plus d'expérience, je n'aurai peut être pas échoué...
Bon courage
sixela Bonjour,
Plusieurs causes :
- manque de clients
- manque de trésorerie
Je n'ai pas bu la tasse lors de l'arrêt, mais j'ai mis fin à l'entreprise avant d'avoir des dettes.
En fait j'ai dépensé le petit pécule que j'avais pour investir dans du matos, alors que j'aurai du en garder beaucoup plus pour avoir de quoi tenir suffisamment longtemps pour que la clientèle soit récurrente.
Et puis, je voulais ne faire que du meuble haut de gamme, donc une niche... pour laquelle les clients sont encore plus rare.
Oui, mais je pense que c'est d'abord lié à l'obligation d'assurance pour certains corps de métier du batiment => Menuisier (touche au corps du batiment, il a donc obligation de prendre une assurance décennale). Et c'est l'assureur de décenale qui va exiger un titre professionnel.
Après, comme d'autre l'on dit => se rapprocher de la CMA de son département.
Ara ,
Un peu hors sujet, mais pas trop, mais super bien expliqué, voici une vidéo de "La Charpenterie" (il et sur l'AdB je crois).
On y voit que la déformation principale du plateau va se situer sur une bande centrale d'environ 5cm.
Bonjour Erebor,
J'ai l'avis exactement contraire...
Toutes les colles vinyliques se valent (le marketing a mis en tête de tous que seule Titebond vendue a prix d'or est valable...)
Par contre, les colles vinyliques nécessitent une pression de serrage minimum pour être efficace : de l'ordre de 1N/mm² (colle D3 de chez Kleiberit), ce qui peut faire beaucoup suivant la surface encollée.
Les anciens n'utilisaient pas les mêmes colles, et donc pas les mêmes serres-joints.
oui, vu l'explication, il s'agit de l'épaisseur du disque (hors parties coupantes). on dit aussi l’âme. les parties carbures rapportées sur cette âme font un trait de coupe plus large que l'épaisseur de l'âme (c'est ce que l'on appelle la voie).
Le couteau diviseur doit idéalement avoir une épaisseur comprise entre les 2 (épaisseur de la voie et épaisseur de l'âme).
il existe des presses a briquettes automatique.
A priori ça coute très cher (autour de 20000€ HT quand je me suis renseigné en 2016), j'en avait vu une tourner en automatique dans un lycée pro. Reste la problématique principale : trier le bois des produits pétrolier (colles, résines, mélaminés...) pour avoir un produit que l'on peut utiliser pour se chauffer sans polluer.