Si tu sors du domaine de validité pour la longueur du tenon, peut-être regarder les calculs proposés par ligna-tools qui sont peut être moins génériques ing-tools.de/m...hwalbenschwanz/ mais ils vont supposer que la géométrie est exactement celle du gabarit. J'ai pas encore regardé.
Edit: tous les calculs sont faits pour lz=25mm aussi.
J'ai de la marge de progression en dessin ! 
Une épure que j'avais faite sur un morceau de carton par rambarrement à l'époque. Le plus simple ici je pense que c'est une herse de la croupe (du pan que tu veux lattis). Tu peux regarder la fig 1 de la planche 19 de la deuxième partie de Delataille.
dneis Non, c'est probablement comme ça qu'il faudrait faire si tu as pas des bois droits mais j'ai pas encore pratiqué ça.
Cabanié propose deux tracés mais comme sur le premier par occupation ses pieds ne sont pas en arêtier c'est un cas particulier et c'est moyennement intéressant.
Ce dont je parlais est la figure ci-dessous, toute simple.
Sinon il est encore dispo sur le site du CNPF. J'ai reçu le mien aujourd'hui ;) en plus c'est l'occasion de prendre ceux de Drénou sur les racines et la biologie des arbres.
deuxième édition 1925
inversion, 1890 et pas 1980
2eme édition 1947, réédition 2001
Réédition en 2001 aux éditions Jean-Cyrille Godefroy
Oui j'ai fini de lire le premier, il faut encore que je passe à la planche sur de l'arêtier sur tasseaux et des repos pour pouvoir dire que je l'ai vraiment terminé.
Ça va assez vite comme pas mal des bouquins de trait mais pour qqun qui s'intéressait déjà un peu au sujet avant je trouve le rythme vraiment pas mal. J'ai une bibliothèque bien fournie sur la charpente maintenant et j'ai choisi de commencer par ça pour le trait (j'ai picoré pas mal d'autres bouquins ou ressources sur le net avant).
C'est les balustres fixées dans les contremarches qui portent l'escalier ?
Çà n'est pas pareil, la litière change beaucoup de choses sur ce point. Ça reste pas le truc le plus drôle du monde mais plus grand chose à voir avec la vidange d'une tinette. eautarcie.org/05c.html
Juste pour l'ordre de grandeur, ils donnent 80m3/heure, on va prendre un mètre de chute, ça va faire qqch 800kJ/h soit dans les 200W après il faut mettre le rendement de la conversion et de la roue, il va pas rester énorme mais c'est très joli symboliquement.
Un autre ordre de grandeur qui va faire plus mal, le temps pour s'y retrouver par rapport au kWh à 16cts d'edf. 40k€ pour 0.2kW ça sera équivalent à 16cts le kWh après 40000/(0.16*0.2) soit 1 250 000 heures soit dans les 140 ans ...
C'est probablement un peu plus, j'ai pris juste l’énergie potentielle de l'eau et ça va forcement dépendre aussi de la vitesse à laquelle elle arrive, je vais chercher si je trouve des exemples.
Ajout: Les autres calculs que je trouve pour ce genre de roue font ça aussi et on est pas derrière une conduite, 22L/s c'est vraiment peu pour espérer en tirer qqch de significatif (et une turbine ferait mieux qu'une roue sauf côté déco et plaisir du charpentier).
Mon programme pour la soirée est fait.
A propos de papier qui coûte cher, c'est quoi le meilleur plan pour les exercices de trait ? J'ai cherché des ramettes de papier ordinaire en A2 mais pas facile de trouver des prix raisonnables sans en prendre une palette.
chevron d'emprunt
Tu as les deux dans le trait et dans la conception industrielle (tôles, ...).
Pas encore eu le temps de me plonger dedans mais regardez Cours de trait, premier carnet de Patrick Macaire et Maurice Pommier. Ça pourrait correspondre à ce que vous décrivez.
(J'essaierai de faire les revues sur l'adb quand j'aurai fini ma pile de bouquins).
Emprunt = chevron d'emprunt ici ? Pour moi emprunt signifie un peu comme virtuel en optique. Si on a une sablière de pente, on a aussi une sablière d'emprunt et c'est à cette sablière virtuelle (qui est la trace horizontale) que le chevron d'emprunt sera perpendiculaire.
C'est beau et ce que l'on voit derrière aussi !
C'est les samares qui sont toxiques donc il y a un peu de temps pour réagir après les rejets, une petite vingtaine d'années.