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86 commentaires
Glorfindelrb
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Bonjour Benjamindiot , de combien de temps dispose-t-on normalement pour terminer le sujet ?

Glorfindelrb

Bonjour, votre système de montage ne peut pas vous permettre de négliger la structure. Monté comme ça tout le garde-corps est fixé sur des languettes de tôle de 4mm d'épaisseur. Il manque de rigidité mais il est surtout dangereux.
Je vois mal comment couper à une reprise des ancrages ici.

Même en posant les pieds dans le bon sens, ça vaudrait la peine de les justifier, vous ne devez pas être si loin que cela des valeurs admissibles données. Le moment donné à 0.36kNm est vite atteint avec un bras de levier de minimum 1m.

Glorfindelrb

J'ai fait pour suivre les hauteurs des marches d'un escalier existant. J'ai pris la pente de la marche suivante de chaque côté du cintre et j'ai raccordé à la cerce sur le développement.

Glorfindelrb
( Modifié )

Bonjour kaj , suite à la lecture de ce pas à pas j'ai cherché un peu et le sujet me semble traité dans l'encyclopédie des métiers de la menuiserie dans l'étude des pièces courbes entièrement moulurées.

(Je me permets juste de reprendre deux figures qui montre bien l’intérêt de la section droite pour les moulures, je vous laisse voir l'ouvrage et commenterai à partir de mes dessins après).

Pour l'épure, l'approche utilisée (ou ce que j'en ai retenu) est la suivante:

  • en plan on trace le plan médian de la main courante
  • on fait le développement de la surface d'aplomb passant par l'axe de la main courante, on y reporte les génératrices.
  • on reporte la retombée de la main-courante perpendiculairement à la pente du développement.
  • on reporte en plan les sections droites (on a leurs largeurs en plan sur le développement et elles sont sur les tangentes du plan médian)
  • on a les points pour construire l'élévation à partir de ces sections.

Cela donne les points des sections droites et permet de tracer des lignes de chantournement d'aplomb pour obtenir le volume englobant celui en sections droites auquel on revient par la suite. J'ai fait un essai ce week-end mais comme c'est ma première pièce débillardée j'ai peu de références pour juger des changements que ça induit. Je posterai mon exercice.

par Glorfindelrb il y a 3 ans
Glorfindelrb

J'en ai une mais trop petite, je ne l'utilise pas. J'utilise une règle roulante (ou le compas et la règle si j'ai déjà des traits qui vont pour).

Glorfindelrb

Bonjour et merci, j'ai commencé à m’intéresser au sujet courant 2019 je crois, j'ai découvert la stéréotomie après puis j'y suis revenu par intermittence. Il faudrait d'ailleurs que je reprenne. Pour vraiment pratiquer la charpente il faudrait aussi que je trouve l'occasion de tailler et lever des pièces un peu plus grandes, ça viendra peut-être.

Glorfindelrb
( Modifié )

Bonjour Louis - LMB de Felletin je veux bien participer à la relecture. Mais en dehors de la partie RDM du début, je me demande si ça ne revient pas à réécrire le guide d'application d'Yves Benoit. Bon forcément l'ambition étant la même et la norme aussi ça va se ressembler mais il faudra se poser la question de ce qui est apporté en plus.
Peut être en ne restant pas uniquement sur le texte et des exercices corrigés mais en ajoutant des vidéos (mais ça devient lourd à produire).

Glorfindelrb

L'idée semble bonne et apporterait qqch qui n'existe pas à ma connaissance (mais la question ne semble pas trop prendre pour l'instant).

Glorfindelrb

Je vous conseille plutôt de commencer par l'eurocode 5 par l'exemple des mêmes auteurs.
Pour les coefficients dans "Dimensionner les barres et les assemblages en bois, ils sont expliqués à la fin du chapitre comprenant les tables pour le cas de charge considéré. C'est des coefficients utilisés lorsque l'on dévie des hypothèses de la table.

Glorfindelrb

Ça parait en effet beaucoup. Le retrait radial total sur de l’épicéa (variation radiale entre l'état saturé et anhydre) est de l'ordre de 4%. Le contact entre 2 grumes bouge peut être aussi.

Glorfindelrb

Niouniou il n'y a pas de retrait avec la variation en eau libre dans le bois. Il ne faut bien calculer qu'à partir du point de saturation, c'est la baisse de l'eau dans les celluloses et les hémicelluloses qui fait varier les dimensions, pas l'eau dans les vaisseaux ou trachéides. Le point de saturation est vers 33% sur l'épicéa.

Glorfindelrb
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Je ne pense pas que ça soit lié à la présence ou non de coyaux, uniquement au fait que les pièces soient apparentes sous le débord de toiture. C'est le cas pour les coyaux du lien mais ça peut s'appliquer aussi sans coyaux (cf la définition que j'ai mise en réponse).

Glorfindelrb
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La MMC couvre bien à la fois les comportements solides et fluides. Il y a le MOOC de Michel Maya de l'ENSAM qui revient de temps à autre sur le sujet sur France Université Numérique si le sujet vous intéresse, le cours de Michel Maya est ici lms.fun-mooc.f...deformables.pdf

(Il y a aussi un cours de dimensionnement en mécanique (RdM) de l'ENS Cachan).

Il me semble que la RdM n'est rien d'autre que la MMC avec un ensemble d'hypothèses simplificatrices donc elle reste et restera pertinente là où ces hypothèses sont raisonnables ou pour un calcul en première approche permettant d'obtenir un résultat sans passer par la simulation numérique et les éléments finis. D'un point de vue fondamental en revanche je veux bien croire que ça ne soit pas pertinent de la considérer comme autre chose qu'un cas particulier de la MMC.

Comme je doute du sérieux de la question de dranac qui a créé un compte pour la poser et ne s'est pas reconnecté depuis, je pense que ça ne vaut pas la peine de s'écharper dans les réponses.

Glorfindelrb
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j'ajoute le Barberot pour les jolies gravures mais ça n'est pas ça qui va permettre de calculer, et poser un pont de 15m. (Le Delataille qui est exceptionnel sur le trait est d'ailleurs assez inutile sur les ponts en bois, il donne juste qq exemples).
Je suis un fervent partisan du travail amateur quand il est fait sérieusement mais il y a quand même des limites qui sont largement dépassées là.

par Glorfindelrb il y a 3 ans
Glorfindelrb

Ça n'est pas prévu. J'essaierai de profiter d'avoir une cabane de jardin à refaire pour pratiquer le pavillon carré et peut être une lucarne en un peu plus grand mais ça n'est pas pour tout de suite.

par Glorfindelrb il y a 3 ans
Glorfindelrb

Le modèle est Kinsman KWH1. (C'est mal mais j'étais pressé et je l'ai pris sur Amazon).

il y a 4 ans
Glorfindelrb

dependancesbois il faut justement faire en même temps et ne pas avoir peur de passer une soirée sur une seule page sur laquelle on coince un peu.
C'est présenté avec simplicité mais chaque schéma demande de prendre un certain temps pour le comprendre, faire l'exercice avec des maquettes aide pas mal même si ça demande de la mise en place.
Il faut que je m'y remette pour voir ce que j'ai perdu et attaquer le 2eme.

Glorfindelrb
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Il va falloir bien recaler les roues tous les ans.

Glorfindelrb

Pour la sablière

  • sans prendre en compte les mortaises
  • en ne prenant que les 3 appuis sur les poteaux et pas la structure intermédiaire
  • classe 2

J'obtiens :
ELU(STR)

  • flexion 0.61
  • cisaillement 0.31
  • compression sous les appuis (en prenant 5cm d'appuis) 0.14
    ELS
  • Uinst(neige) 11.1mm
  • Utot 22.7mm
    Pour des limites Winst 12.2, Wfin 29.2 mais Wnet,fin de 18.3.
    Donc en l'état ça passe pas mais uniquement pour la flèche nette finale et avec 5mm de contre-fleche sur les pièces ça passerait. Tout ça sans tenir compte de la structure intermédiaire ni des liens donc ça semble bon.
par Ckréation il y a 3 ans
Glorfindelrb
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Tu as calculé combien ça devait reprendre Ckréation ? Parce que comme le dit BastienLB tu as uniquement ton chevillage qui va travailler pour les éléments verticaux.
Edit: et la colle mais je ne sais pas comment ça se compte.