Tu as un modèle sous les yeux , inspire de la manière dont ils ont procédé afin de savoir comment aborder tes difficultés.
Pour le choix de l'essence, tous les éléments porteurs en bois dur et le remplissage avec le reste comme le tilleul.
Pour la réalisation du solivage, je ferai ainsi:
je réalise des mortaises ouvertes dans mes poutres, ensuite j'installe mes solives mais avant je fais un méplat sur la face inférieure afin que l'appui sur la poutre soit le plus correct possible. J'installe l'ensemble en essayant de faire au mieux au regard de leur forme.
Puis je mettrai un niveau laser régler sur la face supérieure de la poutre de référence et tout les solives qui dépassent de la ligne laser sont redescendues au trait avec un rabot électrique.
Cette solution t'évite de devoir passer chaque solive sur la scie à ruban. Porter et surtout maintenir des pièces lourdes, longues et faire un sciage droit relève à mon avis du petit bonheur à la chance.
Mais attendons les autres solutions!
Cocom résume bien la situation, tous les avis sont dans la nature.
L'angle faible est destiné au travail de bois de bout, ce qui n'est pas le plus fréquent.
Les autres font le reste. De mon point de vue le 62 n'est pas le plus polyvalent, c'est un rabot spécifique pour le recalage, mais tu peux recaler également avec un 6 ou une demie varlope en bois. En plus c'est un rabot fragile par sa conception et trop léger à mon gout.
Tu peux jouer sur les angles d'attaque en changeant les fers mais c'est un peu galère si à chaque fois il rerégler la bête.
Pour moi le plus utile est celui que l'on rencontre le plus, soit un N° 4 ou 5, ce n'est peut être pas par hasard.
Pour finir c'est bien à toi et en fonction de ce que tu fais qui va définir le rabot qui te convient le mieux.
Si le prix n'est pas un problème c'est toujours mieux d'avoir un bon outil irréprochable.
Pour le fer ce n'est pas dit que tu vas le torturer et au pire il se remplace. Mais de là à avoir usé un fer tu auras fait des copeaux.
Sinon je rejoins l'avis de Chatongris.
Après un stanley d'occase peut faire une bonne transition/compromis
Bonjour,
Si ta combinée est pourvue d'un arbre de 30, le plus simple ne serait pas de manchonner celui ci afin qu'il fasse 50.
Ta combinée est-elle prévue par le constructeur pour recevoir un arbre de 50. Tu as encore le recours aux bagues mais il faut accepter de perdre un peu de hauteur de travail.
Quelle est la raison d'un tel choix stp.
je ne connais pas le cèdre comme bois, mais il se travaille en ébénisterie.
Il est à ta portée et tu n'as que le mal de faire scier.
A quoi bon hésiter tu n'auras jamais des planches pour moins cher.
Après il faut que la bille soit assez jolie afin de donner des planches exploitables.
Si tu scies rapidement( quelques mois) c'est possible de laisser en état, en revanche il serait bien de l'écorcer car c'est souvent par l'écorce que les insectes sont attirés.
Bonjour,
les tôles polycarbonates se travaillent bien, il faut juste bien adaptée la vitesse de sciage ainsi que la taille des dents de la lame afin d'éviter les éclats.
Sinon elles laissent passer la lumière mais leur "transparence" donne une image floutée, imprécise. En sus elles jaunissent avec le temps, se rayent et deviennent cassantes.
Dans la mesure du possible, perso, je m'orienterai plus vers la pose de vitres en verre sécurite. A l'achat c'est onéreux mais la combine serait d'en récupérer d'occasion. Les vitrines de magasin comme les portes faites avec ce verre. J'ignore si tu as un fabricant de fenêtres Alu pvc dans ton coin, mais cela me semble une bonne piste.
Le projet est réalisable il faut juste attendre l'opportunité de récupérer.
Une autre idée serait d'utiliser les vitres de porte fenêtre, (plus facile à trouver d'occase) posées dans des rails alu pour tôles polycarbonate. Il faut obligatoirement vérifier que le verre est compatible avec une pose en hauteur, afin de ne pas fabriquer une guillotine en cas de bris.
En fait c'est une véranda sans mur que tu dois fabriquer
si le parquet est posé comme cela semble être le cas, la seule solution c'est le ponçage, en commençant avec du grain 40 et ainsi de suite.
il faut absolument enlever tout le vernis car l'huile ne prendra pas sur les zones encore vernies.
Pour le choix de l'huile, il y a un grand choix et là il faut se référer aux indications du fabricant.