Bonjour
J'ai eu une lurem, mais ta pièce ne m'évoque rien. De mémoire ma pièce était d'un profil différent, logiquement sur une extrémité de l'arbre tu inserts ta pièce dans l'arbre et coincé contre la table. En faisant ainsi tu immobilises l'arbre exactement dans la même position à chaque réglage de fer.
Bonjour
Avec un tel alésage il s'agit de fraises destinées à des machines automatiques, un peu dans l'esprit des 4 faces, moulurières et autres machines industrielles. Plus précisément je ne peux pas te dire pour quelle machine elles sont destinées, mais c'est certain ce n'est pas pour une machine traditionnelle, telle qu'une toupie.
Pour répondre à ta question:
Pas de joint entre les lames engendre un problème de ventilation nécessaire à la conservation du bois, il faut qu'il sèche rapidement car humidité égale pourriture;
Mettre un grillage ou autre, c'est stocker la cochonnerie entre les lames avec conservation d'une certaine humidité.
Pas de strie supérieure c'est prendre le risque d'avoir une terrasse glissante. Il faut se dire que si les fabricants de terrasse usinent les lames avec de stries c'est certainement pas pour rien qu'ils acceptent un travail supplémentaire. Les gens de métier ne font rien pour rien , alors autant profiter de leur expérience.
Pour l'essence, le robinier est parfait, le mélèze aussi après le douglas (les deux derniers sont moins performants).
Le problème du robinier c'est sa stabilité, j'ai une terrasse fait avec et certaines font des "huit" alors que d'autres sont restées rectilignes. Le robinier est peu imprégnable et une finition dessus est un peu illusoire, après il faut aimer le grisonnement.
traditionnellement cet assemblage se fait en tenon mortaise avec une vis de rappel au milieu du tenon sur le long pan.
Avec ta domino tu fais ta mortaise et le tenon à la scie manuelle.
Il est nécessaire d'avoir une bonne section des pied de lit. Généralement mes longs pans font 30mm d'épaisseur.
Après il y plein de types d'assemblage possible : des tourillons, des dominos , des vis, et des quincailleries spécifiques.
Pour moi dans une fourchette de 2500 à 3000, après suivant l état on discute et puis il y a également l' affinité avec ce voisin (et non son épouse!).
plus sérieusement, l'ancien utilisateur devrait être un peu brute quand on voit l'état des guides de toupies. là il faut se méfier de sa bonne utilisation et de son entretien et cette suspicion est un point négatif. En positif tu as l'avanceur et l'aspi est une machine séparée que tu ne peux pas faire valoir.
Je ne vois pas le guide de dégauchissage, regarde bien car ce genre de pièce au détail va plomber ton achat. Pour avoir eu du similaire Lurem n'est pas mal mais les pièces détachées se compliquent.
Bonjour,
Je pense qu'il faut que tu réfléchisses à la conception un support spécifique en ferraille. Il faut qu'il s'adapte au profil de ta dalle et isole du sol les poteaux. Le bois doit être aéré au maximum et non l'humidité enfermée dans un joint de silicone qui finit toujours par pourrir. Laissant l'eau pénétrer sans qu'elle puisse ressortir ou sécher véritablement. Pour avoir été confronté à ce genre de conception j'avais utilisé du fer plat que j'avais fait souder. En faisant ainsi tu auras certainement quelque chose de plus costaud que ce que le commerce peut t'offrir.
Bon courage
Si le fabricant préconise deux plateaux sur la même machine c'est que le moteur est prévu pour du 150 et donc accepte du 125. Qui peut plus peut moins. En revanche la démarche contraire n'est pas possible, si ta machine est prévue pour un plateau de 125 et que tu désires insérer un plateau de 150, il faut s'assurer que le moteur sera suffisamment puissant et le carter admet des plus grands plateau de ponçage.
De mon point de vue, ma machine prend les deux mais je ne travaille qu'avec du 125 et je doute qu'un 150 soit un gain de temps conséquent. A vérifier mais attendons d'autres avis
Bonjour
2 mètres c'est grand mais tout dépend également du poids de chaque vantail.
Coté écharpes, il est nécessaire que la confection réponde à une certaine rigueur mais également les charnières.
Les portes lourdes sont parfaites sur un axe pivot au sol sur lequel chaque vantail repose. C'est ce pivot qui porte l'ensemble. La fixation supérieure assure la verticalité. En faisant ainsi les vantaux ne piquent pas du nez.