Cela dépend du plateau si c'est des lames simplement coller ou si il a des renforts, et du piétement si il comprend des traverses dans la largeur du plateau sur lequel celui-ci repose. pour le déport de 500 sur la longueur pas trop de problème mais les 350 peuvent être fragiles selon la conception du plateau. Pousser l'épaisseur à 38 ou 40 ne fera pas de mal même esthétiquement 35 c'est un peu fin a mon gout.
il te faudra tout de même un support, même collée un panneaux ne tient pas tout seul il faut des traverses, d'autant plus pour un établi, et d'autant plus pour des planches aux chant non dressés (défaut de perpendiculaires avec les faces?) il vaudrai en savoir plus sur le projet, si le but c'est de s'amuser en faisant des mortaises dans un style vaguement antique très bien, si le but c'est de faire un établi tu te fait chier pour rien.
Il est peu probable que olivier te réponde, la "communauté de l'aire du bois" n'est pas en lien directe avec sa chaine.(il revoie par ici car c'est le bonne endroit pour poser des question lier au travail du bois)
Le val-chromate c'est du mdf donc pas spécialement résistant mais tout dépend de l'utilisation et surtout de la finition appliquer dessus.
L'échappée sous l'escalier doit être de 190 mini pour une habitation.
Pour la fixation il est possible d'ouvrir le placo pour le renforcer ou d'aller chercher du dur derrière, créer des appuis c'est également très bien et assez simple.
Je me méfierais de la bande en désafleur qui est peut être un simple couvre joint.
le filtre cartouche est indispenssable, la chaussette n'est valable que pour les gros copos (dego rabot...) pas la siure et pousierres fines.
Pour l'aspie, normalement en atelier il faudrait un classe M, le clase L etan valable que sur chantier (moins bonne filtration mais exposition plus occasionnel?) le tien est ctL ou ctM, il me semble que le sac réutilisable fait perdre à l'aspie sa classe d'emploi.
toutes les poussières qui ne sont pas bloquées par les filtres sont ventilées dans l'espace , c'est les plus fines, les plus dangereuse.
Attention ce n'est pas le même modèle de charnière pour les trois montages type, un modèle par montage; droite, demie coudée, couder.
pour les 3-7 mm faut mieux tabler sur 5 pour garder une marge gauche droite en réglage axe de perçage à 22,5.
je ne comprends pas la difficulté pour la fixation des embases.
oui deux charnières à 10 - 12 du bord c'est très bien.
pour les gond il faut soit les couper dans le mure (disqueuse) soit il faudra les enlever entièrement (taper dessus, buriner, la résistance dépendra beaucoup du support) si les nouveaux gonds son proche des emplacements des anciens la deuxième solution s'impose.
oui il faudra les traitée; saturateur, lasure...
En sciant d'un côté puis de l'autre, la coupe est gérable avec une circulaire descendant à 80 mm ce qui est fréquent en location.
pour la manute; empruntée ou louée un fenwick, 400k ca commence a faire sans outil mécanisée bien qu' avec de la pratique en gestion de charge on peut aussi jouer au égyptiens, palans, élingues, pont, roulette, transpalette, pince à roulette, des bras..
les traitements de surface ont une efficacité limitée.
les produits accessibles au non professionnel ont une efficacité limitée.
les xylophage c'est une vrai merde, suivant leur éta au moment du traitement (larve...) , la profondeur d'infection...elles peuvent résisté.
Sans comptée les zones difficilement traitable.
le traitement ht permet de tuer les bêtes éventuellement présentes et donc garantir leur absence, je ne crois pas que cela modifie la classe d'emplois, les traitement carbonisant la surface semble eux agir sur la capacité du bois à tenir l'extérieur, sans être magique non plus.
le frêne est classe d'emploi 1 donc même traitée il faut mieux éviter l'extérieur.
salut,
je ne pense pas que cela pose trop de problème, le seul hic c’est de ne pas ajouter trop de poids (la charpente ayant été dimensionnée pour son propre poids et les charges neige). bien choisir ces points de fixation; pannes, et chevrons sous l'habillage.
je ne pense pas qu'il soit nécessaire de renforcer la structure pour le poids du grimpeur ou pour les efforts qu'il ferait subir à la structure, un grimpeur c'est rarement très lourd.
La partie verticale nécessite une structure autonome qui pourrait être prise entre le poteau et le mur, en évitant d'utiliser la panne comme élément porteur.
Après c'est vu de loin et la structure c'est pas mon métier.
Pour faire ça très sérieusement faudrait recalculer les charges admissible en fonction de tes section, les poids... et voir quel marge il reste.
